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CAC 40

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Cac 40 : Entrées de Dassault Aviation, Amundi ou Spie... Voici à quoi pourrait ressembler la composition du CAC 40 en 2030

Aujourd'hui à 07:00
De 1987 à 2030, il suffit d'imaginer

(BFM Bourse) - Depuis 1987, le CAC 40 a eu de multiples visages, témoin des tendances boursières qui ont animé la cote parisienne. La rédaction de BFM Bourse vous propose de faire un petit saut de quelques années dans le futur pour imaginer la composition du principal indice de la Bourse de Paris à horizon 2030. Voici le résultat, avec un peu d'intuition, beaucoup d'imagination et la participation de plusieurs spécialistes de marché qui nous ont aidés à nous projeter dans cinq ans.

En avril 2021, l'équipe de BFM Bourse s'était livrée à un délicat exercice de "Bourse-fiction". Il s'agissait alors d'imaginer la composition de l'indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, en 2025.

Parmi les prédictions, le groupe de défense Thales ne faisait plus partie de l'indice phare, un retrait qui était alors pris avec philosophie. En revanche, le groupe Bolloré était appelé à faire son entrée dans le "saint des saints" du marché parisien, une consécration pour son 200e anniversaire. Dans l'univers des foncières, Covivio devait remplacer Unibail-Rodamco-Westfield qui était passée par une sérieuse cure d'amaigrissement en cédant l'essentiel des actifs nord-américains apportés dans la (coûteuse) corbeille de la mariée Westfield.

Le spécialiste des jeux vidéo Ubisoft était appelé à prendre la place d'un Atos très fragilisé. Société Générale quant à elle, devait tirer sa révérence au profit du gestionnaire d'actifs Amundi, le conseil scientifique des indices considérant qu'il n'était plus représentatif d'avoir autant de banques dans l'indice phare.

L'année 2025 touchant à sa fin, et le conseil scientifique des indices d'Euronext ayant rendu son verdict pour la dernière fois de l'année, consacrant l'entrée d'Eiffage (pour la première fois de son histoire) au détriment de l'inventeur des titres-restaurant Edenred, il est désormais l'heure de faire un bilan. La boule de cristal utilisée par nos équipes était-elle fiable?

Thales et Société Générale fidèles au poste

Thales s'est maintenu dans l'indice phare parisien et a même gagné plus de 200%* depuis 2021. Le secteur de la défense s'est en effet particulièrement illustré avec l'éclatement de la guerre en Ukraine, début 2022 et les multiples annonces de hausses des budgets militaires en Europe. En juin, les pays membres de l'Otan se sont engagés à investir 5% par an de leur PIB dans les dépenses de défense d'ici à 2035, contre une précédente cible de 2%.

Membre inaugural du CAC 40, Société Générale n'en a pas été évincé depuis. La banque rouge et noire prend même 150% en 2025, signant de très loin la meilleure performance de l'indice (Thales est deuxième, et le troisième est Bouygues qui ne gagne "que" 55%). Et encore, la progression de la banque de La Défense aurait probablement été plus élevée si le risque politique n'avait pas refait surface en France à partir de la fin de l'été.

L'établissement dirigé par Slawomir Krupa a livré une succession de résultats trimestriels supérieurs aux attentes, et a soigné son retour à l'actionnaire en annonçant des programmes de rachats d'actions. Pour plusieurs analystes, le titre Société Générale a encore du potentiel.

Ubisoft n'a, de son côté, jamais intégré le plus important indice parisien, enchaînant les revers (l'action perd plus de 90% en cinq ans). Unibail-Rodamco-Westfield a, lui, conservé sa place au sein du CAC 40 et a stoppé son programme de cessions massives aux États-Unis au début de l'année.

Rendons cependant à César ce qui appartient à César : certaines des projections se sont matérialisées. Eurofins Scientific a bien intégré le CAC 40 en septembre 2021 lorsque son action évoluait à ses zéniths boursiers avec la pandémie de Covid-19, en lieu et place de l'entreprise de services informatiques Atos qui a enchaîné les déconvenues, et les augmentations de capital extrêmement dilutives.

Teleperformance n'a quitté le CAC 40 qu'en septembre 2025, évincé par... Euronext après plusieurs publications décevantes ainsi qu'en raison de craintes d'un bouleversement de son modèle économique, qui serait menacé d'obsolescence par l'essor de l'intelligence artificielle (IA) générative.

Cela montre que l'exercice de style est loin d'être aisé, tant les chocs géopolitiques et économiques peuvent changer la donne. Nul n'était par exemple en mesure de prédire une guerre en Ukraine, un événement qui a logiquement propulsé les valeurs de la défense.

Pour cette cuvée prospective 2025, nous allons marcher sur les traces de nos illustres aventuriers. Pour ne pas fausser le marché, nous nous sommes donc abstenus de lorgner la liste des actions ayant le plus fortement progressé en 2025. Et la curiosité étant aussi l'ADN de notre métier, nous n'avons pas non plus résisté à l'envie irrépressible de consulter la composition du CAC 40 en 2030, que voici en avant-première.

  • Accor
  • Air Liquide
  • Airbus
  • Alstom
  • Amundi
  • ArcelorMittal
  • Axa
  • BNP Paribas
  • Boursobank (ex-Société Générale)
  • Bouygues
  • Bureau Veritas
  • Capgemini
  • Danone
  • Dassault Aviation
  • Dassault Systèmes
  • Eiffage
  • Engie
  • Essilorluxottica
  • Euronext
  • Hermès
  • Kering
  • Legrand
  • L'Oréal
  • LVMH
  • Michelin
  • Orange
  • Pernod Ricard
  • Publicis
  • Renault
  • Safran
  • Saint-Gobain
  • Sanofi
  • Schneider Electric
  • Spie
  • STMicroelectronics
  • Thales
  • Totalenergies
  • Vinci
  • Veolia
  • + une licorne de l'IA, type Mistral

Amundi : cette fois-ci, c'est la bonne

L'un des dix premiers gérants d'actifs au monde, Amundi, devrait enfin intégrer le CAC 40 en 2030. Le groupe français s'est imposé comme un acteur majeur dans le domaine de la gestion passive avec sa palette d'ETF, ces fonds indiciels pour investir en Bourse. Ces produits ont gagné en popularité ces dernières années, plébiscités par leur simplicité, des frais moindres que sur d'autres actifs, un choix très large de produits et la possibilité d'épargner avec de faibles montants.

"Amundi a 12 milliards d'euros de capitalisation de marché, c'est typiquement une valeur que je verrai intégrer le CAC 40. Pas seulement pour des questions de volumes mais parce que cette société se situe sur des besoins qui vont se développer, tels que l'épargne, la capitalisation, la retraite par capitalisation", imagine Alexandre Baradez chef analyste chez IG.

Pour Frédéric Rozier, co-responsable de la gestion de portefeuille chez Mirabaud, Amundi est un candidat naturel à une entrée dans le CAC 40. "Amundi, qui est dans le top 10 des gestionnaires d’actifs, avec un important encours sous gestion, a toute sa place dans l'élite de la Bourse de Paris, et viendrait évincer la banque Crédit Agricole", avance-t-il.

"Toujours dans le secteur bancaire, Boursobank serait le nouveau nom de Société Générale, avec la montée en puissance de sa banque en ligne", projette-t-il.

Dassault Aviation, pour rejoindre Dassault Systèmes

Une entrée de Dassault Aviation fait aussi consensus chez les spécialistes de marché précédemment cités, malgré son faible flottant qui privait systématiquement l'entreprise d'une promotion dans l'indice vedette parisien.

En effet, le conseil scientifique se base non pas sur la capitalisation pure et simple mais sur la capitalisation dite "flottante", c'est-à-dire retraitée du capital détenu par les actionnaires qui ont vocation à rester sur le très long terme, comme l'Etat, les salariés ou les familles fondatrices. Dans le cas de Dassault Aviation, le flottant s'élève ainsi à 22,94% du total soit donc 4,9 milliards d'euros.

En 2030, le critère du flottant ne devrait plus brider l'entrée du fabricant du célèbre avion de combat Rafale qui monterait dans l'échelon supérieur cinq ans après avoir rejoint le CAC Next 20, une sorte d'antichambre du CAC 40 créée en 2005 qui rassemble les candidats les plus susceptibles de rejoindre l'indice le plus important de la Bourse de Paris.

"Le secteur de la défense n'est pas un phénomène de mode, les dépenses militaires s'inscrivent dans une tendance de long terme et dans ce contexte, il ne serait pas illogique de voir Dassault Aviation rejoindre Dassault Systèmes sur le CAC 40", fait valoir Alexandre Baradez.

Pour Frédéric Rozier, Dassault Aviation est aussi un excellent candidat à une entrée dans le CAC 40, malgré un faible flottant, grâce à sa valorisation qui sera portée par l’explosion des dépenses militaires de l’Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN), avec les nouveaux projets votés en 2025.

D'autant plus que le fabricant du Rafale et de la gamme d'avions d'affaires Falcon affiche une capitalisation boursière supérieure à celle de nombres de pensionnaires du CAC 40. Cette capitalisation s'élève actuellement à 21,31 milliards d'euros. L'entreprise présidée et dirigée par Éric Trappier se situerait à la 29e place de l'indice, entre Veolia (21,7 milliards) et STMicroelectronics (20,1 milliards d'euros) sur ce simple critère.

"L’entrée de Dassault Aviation dans le CAC 40 viendrait en outre compléter un secteur de la défense bien étoffé avec Thales, Airbus et Safran. D’ailleurs, la défense sera vouée à devenir le secteur le plus important de la Bourse de Paris", ajoute le spécialiste.

Spie : une entreprise dans le vent

Une entrée de Spie dans le saint des saints fait aussi partie des pronostics unanimement retenus par les deux spécialistes de marché. "On peut mettre cette valeur dans le CAC 40, car c'est une action qui est exposée aux infrastructures et aux innovations technologiques", en essor en Europe, explique Alexandre Baradez.

Frédéric Rozier cite aussi Spie comme potentiel candidat à une entrée dans le principal indice parisien "grâce à la reprise des programmes nucléaires, et ses contrats de prestations de services et de gestion technique". L'entrée de Spie dans l'élite boursière pourrait se faire au détriment... de Totalenergies, imagine le spécialiste de marché.

Ce scénario choc imaginé par Frédéric Rozier tient sur l’hypothèse suivante : "Après des années de bataille avec le gouvernement français, Totalenergies souhaite transférer son siège social hors de France, et sur fond de prise de contrôle rampante d’investisseurs étrangers, verrait sa cotation déplacée à New York".

Rappelons néanmoins que Totalenergies a précisé à plusieurs reprises qu'elle ne comptait aucunement abandonner la Bourse de Paris, qui reste sa place de cotation de référence, ni quitter son siège, situé à La Défense.

"Totalenergies restera une société européenne dont le siège est à Paris et dont le marché primaire d’introduction des actions restera Paris", avait indiqué en février le groupe dans un document.

Un CAC 40 "moins industriel"

L'exercice de "Bourse-Fiction" proposé par la rédaction de BFM Bourse a beaucoup inspiré Frédéric Rozier. "Soyons audacieux, et si on ajoutait la société "The Bitcoin Society" d'Eric Larchevêque, qui atteint pour la première fois une capitalisation de 30 milliards d'euros lui ouvrant les portes du CAC 40, alors que le Bitcoin vient de franchir pour la première fois le million d'euros en 2030". Concernant ce dernier point, c'est un scenario, qui n'a pas les faveurs du spécialiste du marché.

Selon lui, il ne serait pas exclu que des entreprises innovantes entrent dans le CAC 40. "Une licorne pourrait tout à fait intégrer le CAC 40, à l’image du spécialiste de l’IA Mistral, après une potentielle double cotation en France et aux États-Unis".

"L’entreprise française Voodoo spécialisée dans le développement et l'édition d'applications et de jeux mobile, est valorisée 2/3 milliards, connaît une croissance significative et son entrée dans le CAC 40 marquerait le retour de l’entertainment (divertissement, NDLR) dans l’indice vedette parisien, avec dans son capital des acteurs chinois", avance-t-il aussi.

Interrogé sur l’arrivée d’une biotech comme Abivax dans le CAC 40, Frédéric Rozier estime que ces sociétés n’ont pas la capacité d’avancer en "standalone", donc en autonomie, et que les grands laboratoires pharmaceutiques les rachèteront bien avant d’atteindre l’élite de la Bourse de Paris.

En ce qui concerne les entreprises bien installées dans le CAC 40, Frédéric Rozier estime qu'elles connaîtront des fortunes diverses. Il imagine un mouvement d'ampleur dans un secteur du luxe qui "patine". Hermès se résout par exemple à racheter le groupe de spiritueux Rémy Cointreau, une autre entreprise familiale. "Cette manœuvre n’est pas sans rappeler le rachat de Moët Hennessy - le "MH" de LVMH - par Louis Vuitton à la fin des années 80", rappelle-t-il.

En ce qui concerne Capgemini, Frédéric Rozier, s'attend à ce que le groupe renverse la vapeur sur l'IA et qu’il montre qu'il est parvenu à s’adapter à cette évolution technologique. Selon lui, le groupe technologique va s’imposer comme un acteur incontournable pour aider les entreprises à intégrer l’IA générative au cœur de leurs opérations". "Une alliance avec Dassault Systèmes ne serait pas d’ailleurs à exclure, ce qui donnerait naissance à un acteur incontournable", ajoute-t-il.

"Toujours sur les entreprises incontournables du CAC 40, Air Liquide sera un acteur important grâce à l’hydrogène et à sa capacité à développer des énergies propres, qui viendront pallier le déficit en énergies avec les besoins toujours plus énergivores de l’IA", imagine-t-il.

Selon Frédéric Rozier, le paysage du CAC 40 à l'horizon 2030 sera cependant "moins industriel". Il n'exclut pas par exemple une sortie du groupe automobile Stellantis "après une prise de contrôle de la famille Agnelli qui souhaite mettre fin à la cotation à Paris pour se concentrer sur une double cotation à Milan et à New York". Son concurrent Renault, "resterait dans l’indice parisien, grâce au succès d’Alpine, qui est devenue une marque de référence dans le secteur du luxe automobile", avance-t-il.

"Alpine est désormais un nouvel acteur premium grâce à ses succès dans le secteur automobile sportif", ajoute le spécialiste de marché.

GTT, Getlink ou Alstom?

Parmi les autres candidats identifiés par la rédaction de BFM Bourse, on peut citer GTT ou Getlink qui pourraient entrer dans le saint des saints. Alstom pourrait aussi faire son retour dans le CAC 40.

Gaztransport et Technigaz (GTT) est ce que l'on appelle un "compounder", c'est-à-dire, pour reprendre la définition de Morgan Stanley, une entreprise de qualité, capable d'afficher une croissance et une performance boursière à l'épreuve des cycles et d'une conjoncture défavorable. Le spécialiste des membranes cryogéniques pour le transport de gaz naturel liquéfié (GNL) jouit d'une place de leader de marché solide et grâce à sa diversification sur la collecte et l'analyse de données liées à la sécurité maritime, il est parvenu à voguer vers le CAC 40 pour rejoindre Engie, son ex-maison mère.

Getlink devrait surfer sur l'appétit grandissant pour le train qui s'impose de plus en plus comme une alternative écologique à l'avion pour les trajets continentaux. Selon les projections d'UBS, le nombre de passagers transportés pourrait passer à 14 millions de personnes en 2028. Les travaux d'agrandissement de la gare centrale d'Amsterdam pourraient à terme ajouter 800.000 passagers sur la liaison Londres-Amsterdam. De nouveaux opérateurs sur certaines routes (comme Paris-Londres) ou de nouvelles routes sont autant de possibilités d'augmentation du trafic à moyen-long terme.

A contrario, nous avons choisi de nous adosser sur le consensus des analystes, qui sont optimistes sur Alstom. L'équipementier ferroviaire a déjà une capitalisation relativement proche du CAC 40 (11,5 milliards d'euros). Plusieurs bureaux d'études, comme Citi, pense que la société devrait progresser en Bourse, ces prochaines années après avoir remis d'équerre sa rentabilité et son cash. Et enfin digérer le rachat douloureux de Bombardier Transport. Nous voyons donc Alstom revenir dans le CAC 40 d'ici à cinq ans.

Côté sorties, Carrefour et Eurofins semblent des candidats naturels à un potentiel départ, au vu de leurs capitalisations boursières relativement modestes (10 milliards d'euros et 11 milliards d'euros). "Carrefour et Eurofins pourraient peut-être sortir", juge d'ailleurs Alexandre Baradez. Dans une moindre mesure, c'est aussi le cas d'Unibail Rodamco-Westfield (13,3 milliards d'euros).

Les prédictions de ChatGPT pour 2030

Nous avons également consulté le robot conversationnel ChatGPT (qui n'existait pas en 2021) pour livrer ses prédictions sur une composition du CAC 40 en 2030.

"Voici un scénario plausible (mais non prédictif) de ce que pourrait être la composition du CAC 40 en 2030, basé sur les tendances actuelles : poids du luxe, montée de la tech, transition énergétique, consolidation bancaire, montée des infrastructures et de la santé", nous indique ChatGPT.

ChatGPT estime que 28 entreprises conservent leur place comme : LVMH, Hermès, Kering, Totalenergies, Air Liquide, Schneider Electric, Saint-Gobain, Danone, Sanofi, Airbus, Safran, Thales, Vinci, Eiffage, Veolia, Engie, Legrand, BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale, Axa, Capgemini, Dassault Systèmes, STMicroelectronics, Teleperformance, Michelin, Pernod Ricard, L’Oréal.

Or, quelques incohérences dans la liste de ChatGPT n'auront pas échappé à votre vigilance. Teleperformance a quitté le CAC 40 en septembre 2025 tandis qu'Eiffage n'était pas encore dans le CAC 40 lors de cette requête, il n'a intégré l'élite de la Bourse de Paris que le 22 décembre dernier.

Enfin, il cite 6 potentielles nouvelles entrées à l'image du spécialiste français de services et produits d'informatique dématérialisée (cloud) OVHcloud qui a connu plusieurs vies sur le SBF 120 depuis son introduction en Bourse en 2021. Ou plus étonnant de l'ex-star de l'hydrogène McPhy, qui a été liquidée en juillet 2025, après sa reprise partielle par John Cockerill Hydrogen, ou une privatisation partielle d'EDF.

Une biotech (Valneva, Innate Pharma) ainsi qu'une entreprise issue d’une grosse croissance ou fusion dans l'intelligence artificielle seraient aussi susceptibles d'intégrer d'ici 2030, le CAC 40. Tout comme le spécialiste des batteries de véhicules électriques Verkor, qui n'est pour l'heure, pas coté en Bourse.

*Variations à la clôture du mercredi 24 décembre

Sabrina Sadgui - ©2025 BFM Bourse
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