* Ukraine *
© Andrea Izzotti
MOSCOU, 30 juillet - RIA Novosti

L'intention de restituer à Kiev le statut de puissance nucléaire n'est qu'un prétexte utilisé par Washington pour déployer des armes nucléaires en Ukraine, considère Konstantin Sivkov, président de l'Académie russe des problèmes géopolitiques.
A la chute de l'Union soviétique, l'Ukraine a hérité d'un stock d'armes nucléaires. Toutefois, Kiev y a renoncé en 1993 en adhérant au mémorandum de Budapest. En échange, la Russie, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis s'engageaient à garantir la sécurité de l'Etat ukrainien.
Il y a une semaine, sur fond de poursuite de la confrontation dans le sud-est du pays, les députés du parti nationaliste Svoboda ont proposé de restituer à l'Ukraine son statut de puissance nucléaire.
"De quelle puissance nucléaire peut-il s'agir si l'Ukraine ne possède (…) ni écoles scientifiques, ni technologies nécessaires à la fabrication d'armes nucléaires? Elle ne possède même pas les matières premières destinées à ces fins. La réponse est évidente: des armes nucléaires américaines y seront déployées", a indiqué M.Sivkov lors d'une conférence de presse à RIA Novosti.
Les Etats-Unis accusent la Russie d'avoir violé le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (INF). Dans le même temps, selon l'expert, Washington bafoue les accords internationaux.
"Les Etats-Unis installent à bord de chasseurs tactiques appartenant à des pays dénucléarisés des équipements permettant d'utiliser des armes nucléaires de fabrication américaine, faisant de ces Etats des pays nucléaires. Voici une preuve d'une violation directe de la loi et du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires", a expliqué M.Sivkov.
Selon lui, tout ceci peut être perçu comme une démarche antirusse: "Pourquoi l'Ukraine aurait-elle besoin d'armes nucléaires américaines? Bien entendu, contre la Russie".
Il est presque sur que ce sont les militaires Ukrainiens qui ont abattu le boeing de la Malaysia. Ils se seraient trompé de cible en croyant abattre l'avion de Vladimir Poutine qui revenait de l'Amérique du Sud du sommet des B.R.I.C.S.
Poutine a eu chaud aux fesses, j'espère que cela lui servira de leçon. L'Ukraine est un pays à grand risque de fait des fous qui y sont.

Par La Voix de la Russie |
Les militants, qui soutiennent une sortie de Venise de l’Italie, ont l’intention d’organiser le 23 août prochain, dans la cité lacustre, le procès de trois hauts responsables politiques : le président américain, Barack Obama, le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, et le président ukrainien, Piotr Porochenko, mis en cause pour le meurtre de civils dans le Donbass.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_08_13/Obama-et-Po rochenko-juges-a-Venise-7 804/
L’Ukraine annonce avoir détruit la plupart des véhicules blindés russes entrés sur son territoire !

Le blindés russes étaient invisibles contrairement on vol MH17 qui, lui, était bien réel (abattu sans sommations)!
Il faut taper sur la Russie, et chaque action de sa part, chaque mouvement, chaque décision doit être critiquée puisqu’elle représente l’ennemie de la démocratie, de la paix, du monde en général, et bien plus encore… Ça, c’est ce que nous sommes censés penser suivant les médias ou les politiques. Une des attaques contre Poutine et la Russie a eu lieu récemment dans Le Figaro, et comme les autres, elle est relativement aisée à démonter, il suffit de chercher un peu, de s’informer, même si certains des arguments présentés ici peuvent paraître plus ou moins discutables… Quand aux principaux critiques que sont les USA et l’UE vis-à-vis de la Russie, c’est quand même l’hôpital qui se fout de la charité…

Vu chez Les moutons fous
Eh bien, eh bien, voilà que, tout à coup, les raisons du crash du Boeing 777 sont classées secret défense !
La Hollande, La Belgique, L’Australie et l’Ukraine ont signé, il y a 10 jours, un « Accord de Non-Divulgation », qui interdit à ces pays de divulguer les résultats de l’enquête concernant le MH17 et leur donne un droit de veto les uns sur les autres. On ne sait pas trop encore ce qu’il en est de la Malaisie. Elle a d’abord « catégoriquement refusé de signer », puis elle l’a peut-être fait discrètement. Cela n’a pas été confirmé par Kuala Lumpur. L’accord signé le 8 août stipule que les progrès et les résultats de l’enquête sur le terrible accident survenu au Boeing 777 malaisien seront gardés secrets.
Selon le correspondant de [l’Agence de presse] Unian, à un briefing à Kiev, le 10 août, le porte-parole du Procureur Général, Yuri Boychenko, a déclaré que l’enquête se poursuivait et que ses résultats ne seraient publiés que lorsqu’elle serait tout à fait terminée, et seulement si tous les signataires étaient d’accord.
Chaque signataire peut exercer son droit de veto, sans avoir à le justifier.
Tout simplement ENORME!
Les russes savent maintenant qui a abattu le Boeing 777. (Nous aussi?)
Confrontée à l’habituel matraquage de la machine à propagande occidentale, la Russie a su gérer intelligemment la crise ukrainienne ce qui lui offre désormais l’opportunité qui est aussi pour elle un impératif stratégique majeur, de tenter une manœuvre de dislocation du front occidental.

L’attitude russe, toute de retenue et de rappel constant aux règles élémentaires de cohabitation intelligente dans un monde civilisé, n’a évidemment aucune chance d’enrayer la machine de guerre propagandiste américano-sioniste. Ce n’est d’ailleurs pas son objectif. Entrer dans le jeu de la surenchère médiatique conduirait inéluctablement la Russie à une « course aux armements » sur ce terrain où elle part avec un lourd handicap qu’elle sait ne pas pouvoir combler. D’ailleurs, y-a-t-elle-même intérêt ?
La propagande occidentale est essentiellement à usage interne et à destination des États-vassaux. Elle consiste en un lavage de cerveau et un reformatage permanent des esprits pour imposer sa vision du monde, mais nécessite un environnement culturel et institutionnel favorable pour donner ses pleins effets. Pour le reste du monde (en fait l’essentiel de l’humanité), elle dispense des « éléments de langage » pour traduire la politique occidentale en effets spéciaux médiatiques et offre la vision du monde caricaturale des productions audiovisuelles américaines.
Ce système de propagande s’avère relativement efficace pour les populations occidentales soumises à son influence depuis la Seconde Guerre mondiale, mais il n’en va pas de même dans le reste du monde.
Voir sur: Les moutons enragés.
© RIA Novosti. Alexei Druzhinin
MINSK, 26 août- RIA Novosti
La Russie se prononce pour le renforcement de la coopération entre l'Union européenne et la Communauté économique eurasiatique, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine, précisant que Moscou saluait l'idée de mettre en place un espace économique unique entre ces deux entités.
"Nous appelons à renforcer la coopération entre l'UE et la Communauté économique eurasiatique, à entamer la recherche de moyens permettant de conjuguer les deux processus d'intégration", a déclaré M. Poutine lors de la rencontre des chefs des Etats membres de l'Union douanière (Russie, Biélorussie, Kazakhstan) avec le président ukrainien Piotr Porochenko et les représentants de la Commission européenne à Minsk.
Le président russe a espéré que tous les participants à la rencontre de Minsk partageaient l'objectif stratégique consistant à créer un espace économique unique de Lisbonne à Vladivostok.
"Nous sommes prêts à examiner toute proposition fondée sur la prise en compte des intérêts réciproques", a conclu le chef de l'Etat russe.

Voilà un président digne et droit dans ses bottes. Vive Poutine.

Trouvé sur le site reseauinternational.net sur lequel je vois souvent passer des articles forts intéressants. Je salut au passage l’équipe de ce site comme tous ceux qui font un vrai travail de ré information.
Comment 40 caisses d’or sont emportées mystérieusement en Ukraine et 36 tonnes d’or apparaissent par magie en Irak peu de temps après ?
Le mois dernier, deux nouvelles d’apparence anodine sont passées dans la presse sans toutefois soulever peu de poussière derrière elles. Mais lorsqu’on les mets côte à côte, il y a de quoi se poser des questions. Merci à Dantec du Forum-Gold de m’avoir aidé à faire le rapprochement.

Tout d’abord, le 7 mars, il y a cette rumeur qui a connu une grande publicité du côté Russe de l’Europe et qui a complètement été passé sous couvert du côté de l’Europe-OTAN : l’Ukraine aurait évacué de l’or de ses réserves nationales dissimulé dans 40 caisses non marquées dans le plus grand secret, de nuit, via un avion banalisé et sous grande escorte armée. Cependant, cela n’a pas empêché quelques médias Internet d’en parler, comme Newswire24 ici.
L’Ukraine craignant une invasion russe aurait, dit-on, mis ses réserves d’or en sécurité avec l’aide des américains. La CIA est naturellement citée comme à chaque fois qu’un complot américain est suspecté. D’après le WGC, l’Ukraine dispose de réserves officielles en or de 42,3 tonnes, ce qui les positionne en 48e place dans le classement mondial.

Vu sur: Les moutons enragés.
BRUXELLES, 30 août - RIA Novosti
L'Union européenne va allouer un autre milliard d'euros à l'Ukraine, a annoncé le président du pays Piotr Porochenko à l'issue de négociations avec le président de la Commission européenne Jose Manuel Barroso.
"Nous avons examiné la possibilité d'octroi d'un crédit supplémentaire et de mise en place d'un programme spécial d'aide pour le rétablissement du Donbass. La décision de l'UE de débloquer un milliard d'euros dans le cadre de la troisième vague de soutien macrofinancier revêt une importance fondamentale pour nous. Je remercie le président Barroso pour cette nouvelle positive", a déclaré M. Porochenko lors d'une conférence de presse.

La Commission européenne projetait d'apporter un soutien macrofinancier à la Banque nationale de l'Ukraine sous la forme de prêts d'une durée allant jusqu'à 15 ans. Ces fonds devaient servir à financer la balance des paiements.
L'Ukraine est au bord d'un défaut de paiement. Selon la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), cette année, l'économie ukrainienne chutera de 7% et en 2015, sa croissance sera nulle.
Pour sauver l'économie, Kiev compte sur des emprunts extérieurs. Début mai, le pays a reçu la première tranche des 3,2 milliards de dollars du crédit promis par le Fonds monétaire international (FMI). Le montant de la deuxième tranche s'élève à 1,4 milliard de dollars.
Les cons tribuables de l'UE devraient payer!

La Grande-Bretagne et six autres Etats vont créer une nouvelle force expéditionnaire conjointe (Joint Expeditionary Force: JEF) d’au moins 10 000 personnes pour renforcer la puissance de l’OTAN en réponse à l’agression russe en Ukraine.
Cette force sera l’une des décisions les plus audacieuses prises par des membres de l’OTAN en réponse à la crise ukrainienne. L’objectif est de créer une force pleinement opérationnelle, de la taille d’une division, susceptible d’effectuer un déploiement rapide et, des exercices réguliers et fréquents.
Les responsables dans la planification de cette force déclarent qu’elle aura la capacité d’augmenter de manière significative la taille de ses unités.
Cette force intégrera des unités aériennes et navales ainsi que des troupes au sol et sera dirigée par un commandement britannique, avec les autres nations participantes qui devraient fournir des troupes spécialisées ainsi que des unités.
A l’heure actuelle, les pays concernés sont le Danemark, la Lettonie, l’Estonie, la Lituanie, la Norvège et les Pays-Bas. Le Canada a également exprimé son souhait d’intégrer cette nouvelle force.
L’annonce de la création de cette force est prévue la semaine prochaine, par la voix du Premier ministre britannique, David Cameron, qui sera l’hôte du sommet de l’Otan au Pays de Galles.
Le modèle pour cette nouvelle force (JEF) sera la force expéditionnaire franco-britannique, qui a mis des années à se construire et devrait être pleinement opérationnelle d’ici 2016. La coordination d’une force issue de sept pays sera sans doute un défi encore plus important.
Vu chez Les moutons fous
Faut-il souligner la "sauvage agression russe"!!!

On commence un tout petit peu (hélas pas suffisamment) à se rendre compte qu’il y a une « guerre » qui est déclarée depuis un certain temps à l’ensemble de l’humanité. Certains cerveaux malades (dotés d’âmes complètements vendus) œuvrent jours et nuit à réduire l’être humain à l’état de « bétail » abruti, prêt à être mené à l’abatoire en croyant suivre sa propre volonté et même étant fier de la « liberté » dont il croit jouir… Évidement ce genre d’abrutissement collectif ne se « fabrique » pas du jour au lendemain. C’est le même principe de la grenouille qui est à l’œuvre ici : tous les jours, ça et là, sont distillées des « informations », des « inductions », des « pollutions » qui toutes « travaillent » à déstructurer tous les pans de ce qui constitue un être humain saint, responsable et équilibré.

Le conditionnement collectif :
Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus À l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée À des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu À caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir.
Toujours Les moutons fous.
Après avoir publié récemment un rapport sur les enlèvements en Ukraine, principalement centré sur les forces séparatistes et omettant sciemment de s’intéresser aux crimes de guerre de l’armée ukrainienne, Amnesty International en remet une couche dans la propagande au service du département d’état. L’ONG publie cette fois-ci des photos satellites sensées attester la présence de troupes russes (et oui, ils osent encore refaire le coup de la photo satellite !). L’ONG en profite au passage pour marteler le message du département d’état américain et de l’OTAN et appelle la Russie à « cesser l’afflux constant d’armements et d’autres ressources aux rebelles ».
Rien d’étonnant provenant de cette organisation dont les liens avec le département d’état US sont connus de longue date. Sa directrice, Suzanne Nossel, est une ancienne cadre du département d’état, on compte parmi ses principales sources de financement la fondation Open Society, du financier Georges Soros… Il y a quelques mois c’étaient les liens de l’ONG Human Rigths Watch avec l’administration US qui faisaient l’objet d’un courrier de protestation de plusieurs prix Nobel…
Ah ben, ça alors!

Ne rigolez pas… D’abord, les étourneaux, cela peut vraiment faire tomber un avion mais généralement en bouchant les moteurs ; pour le moment, aucun étourneau n’a réussi à transpercer la carlingue d’un avion, cependant Poutine, qui est une ordure, a mis au point une arme de destruction massive (raison pour laquelle il faut envahir Moscou) : l’étourneau blindé au bec à l’uranium appauvri (pour plus de force de pénétration dans l’acier). Dressées par le FSB (avant on disait KGB mais c’était quand Internet n’existait pas encore), une centaine d’escadrilles d’étourneaux génétiquement modifiés dans les laboratoires secrets installés sous le Kremlin par cette ordure de Poutine se sont donc envolées sur demande expresse du président russe qui parle l’étourneau. Il leur a dit « décollage immédiat, votre cible c’est l’avion malais, oui là, celui-là qui passe au-dessus de l’Ukraine, comme j’ai envie que les Occidentaux laminent mon économie en prenant des sanctions contre la Russie, il faut tuer au moins 300 innocents ». Fidèles, les étourneaux s’en sont retournés vers leur pigeonnier (les grosses boules servant de toit sur la place rouge, vous ne pensiez pas qu’elles étaient là par hasard tout de même ? Non, Poutine, qui est une ordure, s’en sert pour masquer ses rampes de lancement d’étourneaux blindés aux becs en uranium appauvri). Et c’est donc comme ça que le MH17 a été abattu, provoquant la mort de centaines de civils innocents, et ce que je vous dis est LA vérité.
Dixit: Charles Sannat.

L’information circule sur plusieurs sites russes et a été reprise par le parti communiste russe sur sa page officielle sans qu’il soit possible pour l’instant de remonter à la source. C’est le blog Russie politics, animé par Karine Bechet-Golovko, qui a l’habitude depuis le début du conflit de publier des articles plutôt pointus et bien informés, qui a porté l’information à la connaissance des internautes français. Cependant au vu de la barbarie déployée précédemment par les membres du secteur droit, comme lors du massacre d’Odessa, l’information n’a malheureusement pas de quoi surprendre. Ces gens se réclament du troisième Reich, ils aiment arborer les insignes de la division SS Das Reich, et considèrent les séparatistes comme des sous-hommes, ils sont capables de tout… Voilà donc la barbarie à l’oeuvre une fois de plus en Ukraine, de la part des « démocrates » soutenus et financés par l’UE et les pays occidentaux (et donc avec notre argent !!)
Honte à nos dirigeants qui se complaisent dans un fanatisme anti-russe et soutiennent la barbarie fasciste, honte à nos journalistes qui alimentent l’hystérie et les imprécations guerrières de Washington et préfèrent se boucher les yeux et les oreilles devant la bête immonde qu’ils contribuent, de par leur silence, à protéger. Car ceux qui se taisent sont complices.
Voir: Les moutons enragés.
Titre original de l’article : Qu’est-ce qui a tant effrayé l’USS Donald Cook en Mer Noire ?
Le Département d’État a reconnu que l’équipage du destroyer USS Donald Cook est gravement démoralisé depuis qu’il a été survolé en Mer Noire par un chasseur-bombardier russe Sukhoï-24 (Su-24) qui ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement un dispositif de guerre électronique.
Le 10 avril 2014, le destroyer USS Donald Cook arrivait en Mer Noire et le 12 avril un chasseur-bombardier russe Su-24 survolait ce vaisseau au cours de l’incident qui, d’après plusieurs medias, aurait totalement démoralisé l’équipage du navire US, à tel point que le Pentagone a émis une protestation [1].
L’USS Donald Cook (DDG-75) est un destroyer lanceur de missiles de quatrième génération dont l’arme fondamentale sont les missiles de croisière Tomahawk, ayant une portée maximale de 2 500 kilomètres et étant capables de porter des ogives nucléaires. Dans le cadre d’une mission de routine, l’USS Donald Cook est porteur de 56 Tomahawk mais en configuration d’attaque il est muni de 96 de ces missiles de croisière.
Ce destroyer US est équipé du système de combat de dernière génération Aegis. Il s’agit d’un système intégré capable de relier entre eux les moyens de défense antimissile de tous les navires où il est embarqué créant ainsi un grand réseau qui garantirait la détection, la poursuite et la destruction de centaines de cibles en même temps. L’USS Donald Cook est muni aussi de 4 énormes radars, dont la puissance est comparable à celle de plusieurs stations. Pour assurer sa protection, il est porteur en plus d’une cinquantaine de missiles antiaériens de divers types.
Or, le Su-24 russe qui survola l’USS Donald Cook ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement un nacelle, installée sous son fuselage, qui, selon la publication russe Rossíyskaya Gazeta [2], contenait un dispositif russe de guerre électronique dénommé Jibiny.
Quand l’avion russe a entamé la phase d’approche, ce dispositif de guerre électronique aurait inutilisé tous les radars, circuits de contrôle, systèmes de transmission d’information, etc. embarqués à bord du destroyer US. Autrement dit, le tout-puissant système Aegis, aujourd’hui incorporé – ou en phase d’installation – aux systèmes embarqués de défense des navires les plus modernes de la OTAN, a été tout simplement déconnecté comme un poste de télé qu’on éteint avec une télécommande.
Le Su-24 russe a ensuite simulé une attaque au missile contre l’USS Donald Cook, déjà rendu littéralement sourd et aveugle. Comme s’il réalisait un exercice d’entraînement, l’appareil russe – non armé – a répété la même manœuvre d’attaque au missile à 12 reprises avant de s’éloigner du destroyer US de quatrième génération.
Après cela, l’USS Donald Cook a tout de suite mis le cap sur un port en Roumanie.
Depuis cet incident, qui reste soigneusement occulté par la presse atlantiste malgré le foisonnement de commentaires parmi les spécialistes du secteur de la défense, le navire US n’a plus approché les eaux territoriales russes.
Selon quelques media spécialisés, 27 marins de l’USS Donald Cook auraient demandé à être relevés du service actif.
Et pan, dans les dents!
Le cadavre d’un jeune russophone accroché à la clôture d’une église par un ruban adhésif… Non, non, il ne se passe rien d’inquiétant en Ukraine… circulez, y’a rien à voir !

Le 30/09/2014.
Aujourd’hui, au centre de Kharkov, sur la palissade de l’église de la Nativité du Christ sur le Champ de Paul, a été crucifié par des combattants de la Garde Nationale ukrainienne un russophone, habitant de la ville et partisan d’Antimaïdan.
Comme l’apprit l’agence « Ural-Press-inform » par des déclarations officielles, le jeune garçon a été tué uniquement par ce qu’il faisait une collecte pour la population et les partisans du sud-est. Il envoyait des colis en secret dans le Donbass, en dépit de menaces permanentes de lui arracher la tête. Pour l’instant, la police et les autorités de Kharkov gardent le silence sur ce crime pourtant si frappant. Les membres des bataillons punitifs à Kharkov se donnent pour objectif de terroriser la population russophone de la ville avec la complicité des pouvoirs locaux. Pour la première fois, le centre industriel de l’Ukraine s’est figé dans l’attente de pogroms contre les Russes.
Source: Les moutons
Les médias occidentaux et la presse française subventionnée avec vos impôts pour vous mentir et relayer la propagande de l’OTAN ont fait leurs gros titres sur la chute de la statue de Lénine à Kharkiv en Ukraine. Cette opération de communication n’est pas sans rappeler le déboulonnage de la statue de Saddam lors de l’invasion de l’Irak en 2003. Ces déboulonnages symboliques sont sensés montrer la volonté populaire de tourner la page de la « dictature socialiste » et l’amour des habitants locaux pour l’occident. En Ukraine, la chute de la statue a été interprétée par les médias, selon la narrative mise au point par le gouvernement ukrainien et ses conseillers américains, comme une preuve du désir de la population locale de tourner la page « soviétique » et de rejoindre l’Union Européenne. La presse a donc fait ses gros titres sur les « militants pro-européens ». Problème, une petite enquête menée à partir des vidéos disponibles sur Internet montre qu’en fait de militants « démocrates », les déboulonneurs de Kharkiv sont des néo-nazis membres du bataillon Azov qui exécutent une opération de communication pour les caméras complices des médias occidentaux…

L’UE ne voulait pas punir la Russie, mais Washington l’ a obligé à le faire, a admis le vice-président américain Joe Biden. La Maison Blanche était au courant des risques économiques auxquels seraient confrontés leurs alliés européens s’ils adoptaient cette mesure, a-t-il reconnu.
« L’ordre international que nous avons soigneusement construit depuis la Seconde Guerre mondiale « est en train de vaciller, mais l’engagement des États-Unis dans le monde est plus important que jamais, a insisté M. Biden parlant jeudi des piliers de la politique étrangère de la Maison Blanche devant les étudiants de l’Université de Harvard.
L’une des principales réalisations, de son point de vue est que Washington a fait pression sur les États membres de l’Union européenne pour sanctionner la Russie. « Il est vrai qu’ils ne voulaient pas. Mais les Etats-Unis ont pris les choses en main et le président des États-Unis a insisté sur ce point. Parfois, nous avons même dû placer l’Europe dans une situation inconfortable afin qu’elle agisse et qu’elle fasse «payer [la Russie ] « , malgré les risques de dommages économiques que cela signifiait pour l’UE, le vice-président a avoué répondant aux questions des étudiants.
Donc, Mou 1er est bien le caniche des US!

octobre 7th, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
L’Union européenne ne voulait pas sanctionner la Russie, mais Washington l’a obligée à le faire, a reconnu le vice-président Joe Biden. La Maison Blanche savait quels risques économiques prendraient ses alliés européens s’ils adoptaient ces mesures, a-t-il admis.
« L’ordre international que nous avons construit méticuleusement après la seconde guerre mondiale est en train de s’éroder, mais l’engagement des Etats-Unis. dans le monde est plus important que jamais », a insisté Biden jeudi lors d’une conférence sur les piliers de la politique étrangère de la Maison Blanche devant les étudiants de l’Université Harvard.
Une des réalisations-clés, de son point de vue, est le fait que Washington ait obtenu de faire pression sur les Etats membres de l’UE pour qu’ils sanctionnent la Russie. « Il est vrai qu’ils ne voulaient pas le faire. Mais nous, Etats-Unis, nous avons assumé le leadership et le Président a insisté là dessus. Y compris s’il devait mettre l’Europe dans une position inconfortable pour qu’elle agisse et la fasse « payer » [la Russie], malgré le risque de dommages économiques que cela supposait pour l’UE », a avoué le vice-président en répondant à des questions des étudiants.
En ce qui concerne les autres défis de Washington sur l’agenda international, Biden a admis que les émeutes dans le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, soutenues par l’administration Obama, et la montée des extrémistes violents auront un effet durable et nécessiteront « une génération ou plus » pour s’apaiser. Toutefois, il a calmé le public : Les djihadistes comme l’Etat islamique sont un sérieux défi, mais ne représentent pas « une menace pour l’existence de notre mode de vie ou notre sécurité » (!). « Nous ne nous sommes pas écroulés après le 11 septembre. Nous n’avons pas molli après le Marathon de Boston », a-t-il argumenté.
Déjà publié précédemment: excusez moi.

Posté par Ender sur: Les moutons enragés
Signe évident que la guerre en Ukraine est prête à reprendre de l’ampleur, Victoria Nuland, fonctionnaire du département d’État des États-Unis, est arrivée à Kiev pour rencontrer les dirigeants du régime soutenu par l’Occident.
Récemment, le cessez le feu négocié le 5 septembre a été soumis à de fortes pressions, alors que les forces militaires ukrainiennes ont renforcé leur pilonnage d’artillerie sur la ville orientale de Donetsk, entrainant des pertes civiles quotidiennes.
Alors que des maisons civiles brulent, le régime de Kiev a commencé à parler ouvertement de se remettre sur le pied de guerre en « se préparant au combat » et en mobilisant de nouvelles unités militaires contre les régions du Donbass où il tente de réprimer le mouvement indépendantiste dans les Républiques autoproclamées des peuples de Donetsk et de Lougansk.
17 octobre, 2014 Posté par Benji sur les moutons
La Moldavie un des pays les plus pauvres d’Europe, est un petit pays coincé entre l’Ukraine et la Roumanie et qui a mis en place le délit d’opinion vis-à-vis de la Russie. Le choix n’existe plus, on ne peut avoir légalement une préférence pour la Russie, seule une opinion favorable pour l’Union Européenne est acceptée! Le pire de tout, la Moldavie fait partie du GUAM (Organisation pour la démocratie et le développement), tu parles d’une démocratie…
De là à y voir l’avenir de l’Europe avec le nouvel ordre mondial, il n’y a qu’un pas…

octobre 21st, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
Les renseignements allemands ont annoncé le 19 octobre que le Boeing malaisien aurait été abattu par un missile d’un système sol-air Bouk lancé par les forces d’autodéfense, écrit lundi le quotidien Vetcherniaïa Moskva.
Plus tôt, des représentants allemands disaient que l’avion avait été abattu par un missile sol-air tiré par un système S-125 du côté ukrainien. Que se trouve-il derrière cela? A qui profite ce jeu propagandiste? L’expert militaire Igor Korotchenko a accepté de partager son point de vue.
Les Allemands ont avancé deux versions contradictoires du crash du Boeing malaisien. Cela indique que l’hystérie médiatique se poursuit. En réalité, les renseignements allemands ne disposent pas de l’intégralité des informations contrairement à leurs collègues américains, qui savent parfaitement que c’est les forces ukrainiennes qui ont abattu l’avion. C’est la raison pour laquelle ils ne fournissent aucune photo réelle ou autres preuves pour appuyer la version sur l’implication des forces d’autodéfense et de la Russie dans cette tragédie – tous les indices pointent sur l’implication de l’Ukraine.
Quant à l’Allemagne, ces versions contradictoires montrent que les conclusions rendues publiques sont politiques, et non des renseignements réels. Ce n’est rien d’autre qu’une manipulation. Le dernier communiqué des renseignements allemands vise à influer sur l’opinion publique – les Allemands s’interrogent de plus en plus pourquoi la chancelière allemande Angela Merkel va à l’encontre des intérêts nationaux en adoptant des sanctions contre la Russie.
Les déclarations contradictoires de l’Allemagne indiquent qu’il y existe deux positions. Objective et manipulatrice. Et cela reflète la lutte entre deux points de vue, dont un s’appuie sur la vérité en disant que l’armée ukrainienne a abattu l’avion avec un système S-125, et un autre – politique – pour justifier la ligne antirusse d’Angela Merkel.
On se demande si cette tragédie fera finalement l’objet d’une enquête objective allant jusqu’au bout. Les débris du Boeing n’ont toujours pas été évacués. L’Ukraine tire sur les observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) qui tentent d’évacuer les débris de l’appareil. L’enquête ne mènera probablement nulle part – personne n’a l’intention d’identifier les véritables coupables. On sait déjà que l’avion a été abattu par l’Ukraine, et il serait très défavorable pour l’Occident de constater ce fait. Il n’existe aucune volonté de mener une enquête objective, d’autant que l’Occident a déjà accusé la Russie d’être responsable de la tragédie. Pour cette raison il est aujourd’hui plus simple de fermer l’enquête.
Pour établir la véritable cause du crash, il faut organiser une inspection des systèmes sol-air ukrainiens sur place, inspecter les systèmes S-125, forcer les services de sécurité ukrainiens à remettre à la commission internationale les enregistrements des centres de contrôle des vols confisqués. Rien de cela n’a été fait. Tout le reste n’est que de la démagogie.
Source : Sott
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" Un salaud ce Poutine non?" Non??

octobre 23rd, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
Au lieu d’ajouter un vaste territoire (plus grand que la France) à leur empire sans que ça ne leur coûte un sou, les Européens doivent maintenant déverser de l’argent dans un panier sans fond.

Milan est venu, Milan est reparti [1] [2]. En dépit des déclarations des politiciens sur un accord sur les paramètres, aucune vraie solution à la crise du gaz en Ukraine n’a été trouvée.
Et la neige a commencé à tomber à Moscou. Dans une semaine ou deux sans doute, l’Ukraine suivra.
Voici un résumé de la situation : depuis juin, les Russes disent que le tarif du gaz est de 485 dollars pour 1000 m3, mais qu’ils sont prêts à offrir une remise de 100 dollars, à condition que l’Ukraine commence par payer ses factures de gaz en souffrance. Et il est certain que, vu la manière dont les Ukrainiens se sont comportés dans le passé, les Russes ne leur fourniront à nouveau du gaz que s’il est prépayé. Les Ukrainiens rejettent ces demandes et exigent le juste prix, qui est, selon eux, de 269 dollars (pour les dettes comme pour la future livraison), comme cela avait été négocié en décembre avec le président déchu Viktor Ianoukovytch.
Mais ce prix avait été négocié à une époque où l’Ukraine faisait encore partie de la zone d’influence russe et était l’amie de la Russie. Elle est actuellement une colonie occidentale et les tarifs du gaz sont désormais ceux du marché. Sous la pression des Européens, les Ukrainiens ont offert de payer leur dette sur la base de 320 dollars, en attendant qu’on parvienne à un accord final. Mais les Ukrainiens veulent que ce paiement corresponde aux prochaines livraisons de gaz et non au remboursement de leur dette. Les Russes ont refusé et sont rentrés chez eux.
Alors, que va-t-il se passer maintenant ? La température va chuter et l’Ukraine va souffrir. Ce n’est pas difficile de prévoir ce que le gouvernement ukrainien va faire : il va ponctionner illégalement le gaz destiné à l’Europe, comme il l’a fait en 2009, ce qui forcera les Russes à interrompre les livraisons de gaz à l’Europe, puisqu’elles passent par l’Ukraine. Et comme les Européens, sur ordre de Washington [3], ont stoppé la construction du South-Stream (après tout, on ne veut pas être trop dépendant de la Russie, n’est-ce pas ?), l’Europe dépend maintenant des gazoducs qui traversent l’Ukraine.
Devinez ce qui va arriver ensuite ? L’Europe va être obligée de payer la note ukrainienne. Et c’est bien normal, non ? Il ne faut pas oublier que les politiciens de l’Union européenne, qui sont allés à l’euro-Maïdan jouer les porteurs d’eau de l’Empire étasunien, ont proclamé leur solidarité avec le peuple ukrainien. Eh bien qu’ils paient maintenant ! Et pour le plus grand malheur des contribuables européens !
Au lieu d’ajouter un vaste territoire (plus grand que la France) à leur empire, sans que ça ne leur coûte un sou, les Européens doivent maintenant déverser de l’argent dans un désastre sans issue : la population ukrainienne est quatre fois celle de la Grèce et sa situation économique est bien pire encore. Nous leur souhaitons bonne chance ! D’autant plus que l’Union européenne a détruit ses relations avec la Russie, un des ses marchés les plus importants.
Leurs maîtres américains n’en peuvent plus de rire !!!
Alexander Mercouris
26 octobre, 2014 Posté par Benji sur les moutons enragés
La situation ne pouvait pas s’améliorer, là où les USA passent, la société trépasse… Car sans l’intervention plus ou moins discrète des Etats-Unis, jamais une telle situation n’aurait été possible, entre l’ingérence pour intégrer l’Ukraine dans l’Union Européenne, l’envoi de mercenaires d’Academi (ex-Blackwater) pour orienter les troubles et le soutien de politiciens ouvertement néo-nazis dont certains sont réellement dangereux puisque ayant tenus des propos extrêmement menaçants à l’encontre de la Russie, parlant même de tuer les populations… Étrangement, nous en revenons toujours aux Etats-Unis… Et donc, s’il est impossible de fournir ici un résumé détaillé et exhaustif des événements en Ukraine depuis le début du conflit, une présentation de la situation au 24 Octobre est possible.
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Ce billet vise essentiellement à vous informer sur les derniers développements relatifs à la guerre en cours en Ukraine, au 24 octobre 2014.
À la suite de l’utilisation d’un missile balistique tactique contre Donetsk par les Ukies, Zakharchenko a déclaré que le cessez-le-feu était, à toutes fins utiles, terminé.
Strelkov a lancé un avertissement officiel à propos de l’information voulant que les Ukies massaient des troupes en vue d’un assaut. D’après Strelkov, le plan des Ukies consiste à effectuer une poussée très brève et très rapide vers Donestk et la frontière russe, de façon à rendre l’État novorossien non viable et pouvoir ainsi négocier en position de force. Strelkov a certes l’habitude d’exagérer la menace afin de mieux la réduire, mais, cette fois, il y a des signaux clairs que son analyse est partagée par les militaires russes, et ces signaux sont les plus inquiétants qui soient.
Des sources russes, dont l’excellent blog du colonel Cassad, rapportent que le robinet du voentorg [L’aide clandestine russe] est de nouveau ouvert à fond et que d’importantes livraisons sont attendues. Je me réjouis bien sûr de savoir que la résistance novorossienne va acquérir de l’équipement (et de l’aide de spécialistes), ce dont elle a cruellement besoin, sauf que la reprise du voentorg me donne aussi à penser que les services du renseignement russes ont conclu qu’une attaque est très probable, et ce, très bientôt.
Je surveille la situation au Banderastan d’assez près et ce que je peux dire, c’est que le régime en place se fissure de partout. Je ne sais pas si Porochenko, et ses maîtres à penser aux USA, croient vraiment qu’une attaque peut réussir (j’en doute) ou veulent vraiment forcer la main à la Russie pour qu’elle intervienne ouvertement (c’est presque inévitable selon moi), mais un fait demeure : déclencher une guerre majeure pourrait bien être la seule façon de sauver le régime Porochenko, lequel est actuellement en chute libre.
KIEV, 31 octobre - RIA Novosti
L'armée ukrainienne a acheté des matériels pour 11,5 millions de dollars et a réparé près de 14.500 matériels de guerre, a annoncé vendredi à Kiev le vice-ministre ukrainien de la Défense Piotr Mekhed.
"Les troupes ont reçu des armes et matériels pour plus de 150 millions de hryvnias (environ 11,5 millions de dollars", a indiqué M.Mekhed devant les journalistes.
L'armée du pays s'est notamment dotée de chars modernisés Boulat, d'avions modernisés Su-25, de roquettes antichar Stougna-P, de systèmes optroniques d'autoprotection d'aéronefs Adros et d'hélicoptères Mi-8MTV.
Par ailleurs, l'armée ukrainienne recevra prochainement près de 700 caméras thermiques, plus de 600 armes d'infanterie et de nouveaux blindés BRT-4E.
L'Ukraine entend débloquer 1,268 milliard de hryvnias (quelque 100 millions de dollars) en 2014 pour l'achat d'armements et de matériels.
Selon le vice-ministre, il faut du temps pour bien équiper les soldats ukrainiens qui mènent une opération dans l'est du pays, notamment pour leur fournir des effets chauds pour l'hiver.
Kiev a lancé le 15 avril une opération "antiterroriste" d'envergure en vue de réprimer la révolte qui a éclaté dans le Donbass suite au renversement du président Viktor Ianoukovitch. Selon l'Onu, les hostilités ont fait plus de 3.700 morts et plus de 9.000 blessés parmi les civils. Le 5 septembre Kiev et les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk ont signé un accord de cessez-le-feu à Minsk. Le président ukrainien Piotr Porochenko a annoncé le 25 octobre que le cessez-le-feu avait permis à l'Ukraine de renforcer son armée.
Selon le président Porochenko, l'Etat ukrainien s'est engagé dans la voie de la guerre. Kiev a notamment l'intention de moderniser sa Marine et de se doter d'armes de précision et de missiles de croisière dès 2015 et compte lancer la construction d'une usine de munitions dans deux ans.
Question? D'où vient cet argent? Des US ou de l'UE ??? Va savoir!
BERLIN, 8 novembre - RIA Novosti

Les crises politiques survenues ces derniers mois résultent de "l'effondrement de la confiance", ce phénomène étant à son tour la conséquence logique des événements des années 1990, estime l'ex-président soviétique Mikhaïl Gorbatchev.
C'est précisément dans les années 1990 que les dirigeants occidentaux se sont proclamés vainqueurs dans la guerre froide et ont décidé de dominer le monde, a affirmé M. Gorbatchev à Berlin lors d'une réunion du New Policy Forum (NPF), organisation créée à son initiative.
"Ce qui s'est produit ces derniers mois pourrait être qualifié d'effondrement de la confiance. De cette confiance que nous avons créée avec tant de peine par des efforts conjugués à la sortie de la guerre froide, de cette confiance sans laquelle les relations internationales dans un monde normal sont inconcevables", a indiqué le père de la perestroïka.
Selon lui, "la situation actuelle plonge ses racines dans les événements des années 1990".
D'après M. Gorbatchev, la fin de la guerre froide a marqué le début du mouvement de l'Europe vers une paix plus durable, vers un nouvel ordre mondial.
"Or, au lieu de bâtir un mécanisme de sécurité européenne, de procéder à une démilitarisation d'envergure de la politique européenne - ce qui d'ailleurs a été promis par l'Otan dans sa déclaration de Londres - l'Occident et, en premier lieu, les Etats-Unis se sont déclarés vainqueurs dans la guerre froide", a constaté l'ex-président soviétique.
"Profitant de l'affaiblissement de la Russie et de la disparition des contrepoids, ils ont tenté d'asseoir leur domination mondiale", a déclaré Mikhaïl Gorbatchev. A l'appui de sa thèse, il a cité l'élargissement de l'Otan, les bombardements de la Yougoslavie, le soutien aux séparatistes kosovars, le déploiement d'un système de défense antimissile en Europe, l'invasion de l'Irak, l'intervention en Libye et la pression sur la Syrie.
"On pourrait dire, en utilisant le langage imagé, qu'un abcès s'est formé. Abcès qui s'est transformé ces derniers temps en une plaie sanglante", a indiqué M. Gorbatchev.
"Qui souffre le plus de ces bouleversements? C'est l'Europe, notre maison commune", a-t-il conclu.
Selon l'ancien président soviétique, l'Europe s'affaiblit, tandis que d'autres centres d'influence gagnent en puissance et en dynamisme.
13 novembre, 2014 Posté par Ender sur les moutons
Fondé en 1961, l’Atlantic Council (Conseil de l’Atlantique) se proclame « cercle de réflexion atlantiste influent auprès de l’OTAN« . L’Atlantic Council publie des documents favorables à la coopération transatlantique et internationale. Il déclare encourager ainsi le libre-échange entre les deux continents et, dans une moindre mesure, avec le reste du monde.
Selon sa charte, l’Atlantic Council est, depuis sa création, une institution non partisane, avec des membres modérés des deux tendances « gauche et droite ». En dépit de ses connexions, le Conseil se dit indépendant du gouvernement des États-Unis et de l’OTAN.
A / Qui sont ses intervenants ?
Très présent sur ce forum, Zbigniew Brzezinski est le géostratège qui a conseillé les présidents Jimmy Carter, George W. Bush et Barack Obama. L’Atlantic Council offre à Zbigniew Brzezinski une tribune permanente, lui permettant par exemple de rabâcher sans relâche son couplet favori du moment : « il est dans l’intérêt des américains que l’occident arme l’Ukraine ».
13 novembre, 2014 Posté par Ender sur les moutons dingues
Les médias français ont relayé unanimement les déclarations du gouvernement ukrainien et de l’OTAN affirmant que des renforts de troupes russes étaient arrivés en Ukraine. Ces affirmations s’inscrivent dans une longue série d’invasions imaginaires de l’Ukraine par l’armée russe. Aucune des précédentes pseudo invasions n’a jamais été confirmée ni étayée par la moindre preuve, comme lors de l’épisode de la soit-disant destruction d’une colonne blindée russe par l’armée ukrainienne, colonne qui n’avait en réalité jamais existé. Cependant, cette longue litanie d’accusations sans fondements trouve un écho démultiplié dans la presse occidentale qui accrédite l’idée que la Russie serait militairement impliquée dans le conflit ukrainien, ce qui alimente en retour l’escalade des sanctions diplomatiques et l’hystérie occidentale anti-Russe. Ce fait a ainsi réussi à s’imposer comme une évidence dans l’esprit des responsables politiques et dans l’opinion publique. Il s’agit en réalité de l’emploi d’une technique de propagande éprouvée qui veut que l’on retienne plus volontiers les accusations que leur démentis, il s’agit d’un biais médiatique lié au multiplicateur d’écho de l’actualité : les accusations sont largement relayées par les médias, alors que les démentis passent le plus souvent inaperçus car ils se situent dans un temps médiatique plus éloigné de l’événement, mais également moins « spectaculaire ». Ce biais est résumé dans la formule restée célèbre et attribuée à Francis Bacon : « diffamez, diffamez, il en restera toujours quelque chose ».
novembre 17th, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x

Le G20 se passe mal. Poutine va partir sans participer au dîner de gala final. Mais comment en aurait-il pu être autrement alors qu’à la veille de l’arrivée du président russe celui-ci a été violemment attaqué, à la limite de l’insulte, par Cameron, le caniche favori d’Obama, et le premier ministre australien Abbott, qui est lui le second caniche des USA dans le Pacifique ?
Le Premier ministre australien Tony Abbott a accusé M. Poutine de vouloir restaurer « la gloire perdue du tsarisme ou de l’Union soviétique», alors que David Cameron a stigmatisé une Russie qui agresse des pays plus petits qu’elle, en l’occurrence l’Ukraine. Vendredi, en amont du sommet qui dure jusqu’à dimanche, la Grande-Bretagne et l’Australie ont préparé un accueil saignant à Vladimir Poutine. Le tabloïd australien Courrier Mail, un torchon anglo-saxon clone de la presse trash britannique, résumait la situation en placardant en Une un ours arborant la médaille soviétique de l’ordre de la guerre patriotique affrontant un kangourou boxeur…
Cerise sur le gâteau pourri du G20, l’Australie demande sans vergogne à nouveau des comptes à la Russie sur le crash d’Air Maisya MH17 au-dessus de Donetsk. Alors que tout le monde sait que Kiev est coupable. Des photos satellites russes montrant un jet ukrainien tirant au canon sur l’avion malais, d’origine anonyme (pour l’instant) sont apparues hier sur le net, corroborant les hypothèses russes.
Menacé de nouvelles sanctions par des dirigeants de l’EU – cessons de dire « européens » (**) pour les kollabos de Washington – suicidaires, le président russe Vladimir Poutine a déjà averti préventivement que d’éventuelles nouvelles sanctions occidentales contre Moscou auraient « de graves conséquences pour l’économie ukrainienne », encore très liée à celle de son grand voisin, lors d’une interview à la chaîne allemande ARD diffusée ce samedi. « Les banques russes ont actuellement accordé un prêt de 25 milliards de dollars à l’économie ukrainienne (tout çà pour se faire insulter par la Junte de Kiev …). Si nos partenaires européens et américains veulent aider l’Ukraine, comment peuvent-ils saper la base financière, en limitant l’accès de nos institutions financières aux marchés mondiaux des capitaux? », s’est interrogé Poutine dans cette interview réalisée jeudi, avant le début du sommet du G20.
C’est dans cette « ambiance délétère » (dit Libération) que les principaux protagonistes sont réunis à Brisbane, ville de l’est de l’Australie « dont le coeur au bord de la Brisbane River est transformé en camp retranché survolé d’hélicoptères »: Vladimir Poutine, Barack Obama, François Hollande, les dirigeants de l’OTAN et de l’UE. La France joue aussi un rôle dans cette empoignade puisque Moscou lui a adressé un ultimatum, lui donnant 15 jours pour livrer le premier navire militaire Mistral commandé par la Russie à la France, et qui empoisonne les relations des deux pays. En raison de la soumission de Paris à Washington.
Signe de la mauvaise humeur russe, déjà amorcée par l’arrogante mauvaise fois occidentale sur le dossier ukrainien et la malhonnêteté française sur la livraison des navires Mistral (déjà payés rappelons-le) et dont Hollande et Poutine n’ont pas parlé lors de ce G20, le président russe Vladimir Poutine entend quitter plus tôt que prévu ce dimanche le sommet du G20 à Brisbane, indique une source au sein de la délégation russe, « alors que l’homme fort du Kremlin doit faire face à une pression accrue des Occidentaux sur fond de crise en Ukraine » (dixit l’AFP). « Le programme pour la deuxième journée a changé. Il a été raccourci », indique ce membre de la délégation russe. Vladimir Poutine participera aux réunions du sommet mais ne sera pas présent lors d’un déjeuner officiel et parlera devant la presse plus tôt que prévu. « Ce déjeuner est plus une sorte de divertissement » (sic), a ajouté la source.
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