(BFM Bourse) - "Nos serveurs ont été attaqués de l'extérieur, via des sites Web institutionnels de Safran", explique Michel Pagès, le directeur de la protection industrielle de Safran, dans un entretien aux Echos. Si contrairement à Renault, le groupe d'aéronautique, de sécurité et de défense a bel et bien été victime d'une tentative de vol de données sensibles en juin 2009, dans la filiale Turbomeca, puis en janvier 2010, visant l'informatique centrale de Safran, le responsable assure qu'un secret de fabrication n'a été dérobé. Par ailleurs, si plusieurs serveurs devant servir à remonter les informations étaient situés à Singapour, à Taiwan, en Chine, en Suède et dans d'autres pays, Michel Pagès souligne que "cela ne préjuge en rien de l'identité de ceux qui sont derrière".
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