(BFM Bourse) - Le troisième choc pétrolier, expression de plus en plus employée pour qualifier la hausse inexorable des cours du pétrole, pose notamment des problèmes au secteur aérien. Selon des chiffres de l'Association internationale des transporteurs aériens, 24 compagnies aériennes ont fait faillite dans le monde depuis le début de l'année.
Comment le franco-néerlandais Air France – KLM gère-t-il la situation ? Plutôt bien grâce aux couvertures pétrolières. « A 130 dollars le barils, le surcoût est de 50 millions », a expliqué hier lors d'une conférence de presse à Roissy, Jean-Cyril Spinetta, le PDG du transporteur, cité par Les Echos. « Même si [le baril] atteint 150 dollars, nous resterons bénéficiaire », assure le patron de la compagnie aérienne.
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