Depuis quelques temps, toutes les compagnies aeriennes se sont mise a redecoller, sous l'effet de
la baisse du cours du brut, de la bonne tenue du traffic premium et des volume en cargo.
Un donnee interessante, pres de 6% du capital de AF est actuellement shortee (attention - a ne pas
confondre avec les positions VAD en SRD des petits porteurs). Je ne vais pourtant pas me positionner
sur AF mais plutot sur IAG.
Les chiffres de cette derniere (fusion BA et Iberia) ont plutot bien ete recus la semaine passee et
la fin du conflit avec les syndicats avant-hier donne la voir libre pour une reappreciation du
titre. Un autre facteur de support est la part plus importante de titre shortes - pres de 8%.
AF: 12.205
IAG: 246p
Stoxx 50 Futures: 2879
CAC40:3989
Bonjour alpha,
Tes recherches et infos très fouillés sont l'idéal avant de se placer, très bonnes approches.
Instructif aussi, le comportement des valeurs similaires avant et après une new, et ou s'être
placé.
Cependant sans critique, le bénef en % short même important représente quoi en MONTANT €. ?
sur quel durée moyenne ?
Simplement pour comparer avec une transaction classique, réalisée à tres court terme.
Antares,
C'est 6% du capital qui est techniquement "on loan", c'est-a-dire prete principalement par des
investisseurs institutionnels aux short-sellers via le "prime broker desk" des banques
d'investissement. En echange, les institutionnels recoivent une fee de l'ordre du Libor ou
Euribor.
De fait, beaucoup de preteurs sont des index-trackers pour qui la performance absolue importe peu.
Le Libor leur permet de suporter les couts d'administration, l'autre source de revenus etant la
commission de gestion generalement tres basse.
Dans le cas de AF (tout comme celui de BA de memoire), il faut toutefois avoir a l'esprit que la
societe a emis des convertibles il y a deux ans je crois, donc une partie de ces titres en pret
representent un arbitrage qui ne se denouera qu'a la convertion - id est ne representent pas une
approche directionnelle.
Le reste de ta question sur les "benefices" n'est pas tres clair ou - excuse-moi d'avance - non
pertinente.
AF publiera jeudi matin avec une conf call l'apres-midi.
Sinon, oui, c'est mon approche, de fouiller l'info, l'analyser, la comparer et anticiper les
effets qu'elle puisse avoir. Cela me reussit, sans fausse modestie, particulierement dans les
marches sans tendance.
Alpha, bravo tu maitrises tes opérations.
Ma question ? démontrer peut-être que les produits DERIVES (barrière désactivante, perte avec
le temps) accentuait le risque de perte . Et avec ces produits par mesure de précaution
l'investissement est limité,
- exemple 3000 en produits dérivés bénéf 10% = 300 de bénéf.
- investissement classique sur action 6000 bénéf 6% = 600 de bénef. sans risque de grosse perte,
et beaucoup moins de risque de manipulation des cours et ceci sans être schotché à un écran.
Mais chacun sa technique avec ses moyens.
Antares,
Je ne comprends pas bien ce que les produits derives ont a faire avec le fait que 6% du capital de
Air-France est emprunte.
Les institutionnels shortent les titres de deux manieres essentiellement.
Ils appellent leur prime broker et demande s'ils peuvent emprunter les titres. Il y a des titres a
emprunter pour autant qu'ils y a des actionnaires qui acceptent de preter leurs titres. S'il y a
beaucoup d'actionnaires qui ont deja prete leurs titres, alors il est plus difficile de se procurer
de nouveaux titres a emprunter, et la prime a payer pour l'emprunt peut grimper bien au dela du
Libor / Euribor que je mentionnais precedemment. Pour des small caps, il n'est pas rare de payer 5%
par an pour emprunter des titres. Enfin, certains titres ne peuvent tout simplement pas etre
empruntes pour des raisons sur lesquelles je ne m'etendrais pas.
A supposer que des titres soient disponibles. Le prime-broker entrent un contract d'emprunt avec
l'institutionnel actionnaire (tout est evidemment formate, quai standardise). Deux mechanismes sont
disponibles:
Soit le prime-broker entre un contract de pret avec le short-seller, qui vend dans le marche les
titres. Il vend bien evidemment par le biais du prime-broker qui lui a trouve les titres.
Soit le prime-broker ecrit a la vente un contract CFD (produit derive) avec le short-seller et se
couvre en vendant dans le marche les titres qu'il a emprunte. L'avantage du CFD est qu'il n'y a
pas de droit au timbre paye par le client lors du rachat de la position vendeuse. Il y a d'autres
avantages notamment en matiere de declaration.
De retour a ta question, on ne sait pas comment les 6% ont ete atteint, qu'elle prise de risque
elle soutend (example: arbitrage avec la convertible = aucun; position LONG Lugthansa SHORT
Air-France = faible) c'est comme si on allait demander a chacun des gestionnaires d'expliquer leur
position, le pourquoi du comment. Avoir 1% en position longue dans Air-France est en fait
probabelement plus risque en valeur absolue que d'etre leverage simultanemment a 5x avec 5% de
position longue dans Lufthansa et 5% de position short dans Air-France
OK, je passe trop de temps a ecrire, je vais arreter la.
OK OK Alpha, n'allons pas plus loin, c'était juste afin de compter nos billes en fin d'année,
en utilisant produits dérivés et ou transactions simples sur actions, ces dernières ayant ma
préférence.
Chacun sa méthode, le principal est de débusquer les valeurs porteurse de bénéf. Merci.
OK Antares, no blemes, simplement je ne connais pas ton niveau d'experience, d'ou la longue
reponse sur l'emprunt de titres.
Mais inversemment, donne nous, a nous les lecteurs avises du forum, des idees d'investissement ou
de trades a quelques semaines, avec un outline de valorisation et de catalyste.
Merci.
Les resultats sont tombes ce matin, plus ou moins en lilgne a quelques cacaouetes pres.
En revanche le Management tient un discours plus prudent que ses concurrents BA-Iberia et dans une
moindre mesure Lufthansa sur les perspectives 2011 et passe le dividende. La reevaluation de la
participation dans Amadeus a certainement aide.
Achat a l'ouverture sur le bid 247.05 de International Consolidated Airlines Group, qui se traite a
des multiples quelques peu plus eleves mais avec une bien meilleur visibilite a mon avis.
IAG: 247.05 - 247.65
AF: 1205.3 - 1208.7
LHA: 1566 1571
EURO 50 Futures:2883
CAC40 FUTURES:4001
loupé hier après midi à 11.80 pour cours à 11.85 qui a monté rapidement.
Salut Antares,
En etant patient, tu devrais pouvoir etre attrapper AF-KLM a ton prix.
Je pense que le secteur aerien cote en Bourse hors low-cost devrait rattrapper son retard avec des
forward bookings solides, la fin de la chevauchee fantastique des cours du petrole sur les mois a
venir, un mix positif (traffic business - il n'y a qu'a voir les performances des hotels milieux
et haut de gamme et des agence de locations de voiture) et des hausses de capacite mieux
controllees.
Le probleme que j'ai avec AF, c'est le niveau de la dette, le faible niveau des marges en
comparaison avec Lufthansa et BA-Iberia (le cout du personnel en % des revenus est bien superieur)
et une competition low-cost qui a encore des parts de marches a gagner en France sur le trafic
horizontal et short-haul (ce qui est egalement le cas de Lufthansa mais dans une moindre mesure en
raison de l'existence de AirBerlin).
Je pense en revanche que Ryanair et EasyJet vont sous-performer les compagnies nationales, car plus
orientees sur le traffic loisir short-haul et plus dependentes des depenses de poches (le Coca-Cola
a €5 dans l'avion = 5%-10% du prix de la place hors taxe d'aeroport) comme la demontre le recent
profit warning de EZJ.
C'est bien ma chance, achat de British Airways le Jeudi matin, nouvelle eruption volcanique le
samedi qui suit.
Je vais ressortir le dossier de l'annee derniere avec les gagnants / perdants. Dans les grands
gagnants, n'oubliez pas Eurotunnel ainsi que la societe de ferry dont le nom m'echappe et qui est
cotee en Irelande.
Bonjour alpha,
Point maintenu mon ordre sur AF, la descente "programmée" du CAC, éruption ou pas, ne pouvait
pas porté les cours vers le haut.
UBS a change sa recommendation sur AF-KLM, de vendre a neutre. Je suis personnellement positif sur
les companies aeriennes nationales, et au sein du secteur, positif sur British-Airways-Iberia,
neutre sur AirFrance KLM, et prudent sur les low-costs.
Ryanair a sorti de beaux resultats ce matin, mais a fortement tempere l'enthousiasme des analystes
sur ses perspectives 2011. Priorite pour la societe: hausse des tarifs, baisse des capacites
(historique) et aggressivite accrue sur la France et l'Allemagne. Le titre en baisse de
6% ce matin.
Lien
reuters:
http://uk.reuters.com/article/2011/05/23/uk-ryanair-idUKTRE74M0IP20110523
Long sur BritishAirways- Iberia.
Antares,
Evidemment, si le marche descend, le marche descend, et s'il monte, il monte. Et s'il borne, il
borne. Et s'il y a des cendres en Islande et que l'espace aerien a un risque d'etre ferme, ben
oui, ca pese sur les titres lies au tourisme le jour ou la cotation reprend.
http://www.bloomberg.com/news/2011-05-23/ryanair-expects-similar-profit-this-year-on-fuel-slower-tra
ffic-growth.html
Ryanair Holdings Plc (RYA) will cut capacity for the first time in its history next winter as fuel
costs threaten to render dozens of routes unprofitable, ending decades of growth that made it
Europe’s No. 1 discount airline.
Ryanair fell the most in 20 months in Dublin trading after Chief Executive Officer Michael O’Leary
said he’d ground 80 of 300 jets and lay people off for the low season starting in October. Even
with a 12 percent fare increase he forecasts net income no higher than last year’s 401 million
euros ($563 million) -- or 18 percent less than estimated by analysts.
“It’s the first time ever that we’ll go negative on traffic,” O’Leary said in an
interview. “We take delivery of 50 aircraft this winter so instead of running around trying to
open up new bases and routes in November and December we’ll sit them on the ground. With higher
oil prices it makes no sense.”
Ryanair has transformed the European airline industry since O’Leary took over in 1990 after
studying the growth of Southwest Airlines Co. in the U.S., offering flights between cities never
previously served by air and luring passengers from established carriers with bargain-basement fares
and a no-frills service. More recently, the CEO signaled plans to attract higher-paying flyers after
exhausting opportunities to lift sales by charging for everything from checked bags to credit-card
bookings.
Wiped Out
The winter cuts mean passenger growth for the year that began on April 1 will be limited to about 4
percent, half last year’s pace, O’Leary said. Benefits from the service reductions and a fare
hike to be implemented after rivals imposed fuel surcharges will he wiped out as per-passenger
operating costs jump 13 percent on an anticipated 350 million-euro increase in the Dublin-based
carrier’s kerosene bill, he said.
Some pilot, cabin crew and engineering positions may be cut to allow for the reduced flying
requirement, O’Leary said at a briefing in London. The carrier typically offers three months’
unpaid leave when it needs to reduce headcount, and many of the people who take it don’t actually
return, he said.
“They are still going to be growing but at a much slower rate,” said Brian Devine an analyst at
NCB Stockbrokers Ltd. in London. “They were going to hit a boundary eventually but it’s happened
a bit sooner than people might have expected.”
Analysts had predicted adjusted net income of 490 million euros for the fiscal year that began on
April 1, according to the mean of 16 estimates compiled by Bloomberg.
Shares Tumble
Ryanair, founded in 1985 and transformed into a discount carrier five years later, fell as much as
8.4 percent to 3.25 euros, the biggest drop since July 27, 2009, based on closing prices, and was
trading at 3.36 euros as of 12:45 p.m. in the Irish capital, taking the stock’s slump this year to
11 percent.
Other European airlines also declined amid concern that a volcanic eruption in Iceland will ground
flights. EasyJet Plc (EZJ) dropped as much as 6.3 percent and International Consolidated Airlines
Group SA, parent of British Airways, fell 4.1 percent.
Luton, England-based EasyJet, Europe’s second-biggest low- cost airline, is also moving away from
a purely discount model as CEO Carolyn McCall seeks to attract business travelers by offering
flexible fares and selling tickets to corporate clients using dedicated sales teams rather than
purely via its website.
Ryanair’s sales rose 21 percent to 3.63 billion euros in the year ended March 31, while passenger
numbers reached 72 million. The airline had a charge of 26.1 million euros from disruption caused by
another volcanic eruption last April.
Economy, Austerity
Net income jumped 26 percent excluding the one-time item, Ryanair said in a statement, beating
estimates from analysts, who predicted earnings would rise 20 percent to 383 million euros,
according to data compiled by Bloomberg News.
Annual profit this fiscal year will be “similar” to last year’s level as higher fares serve
only to finance the higher fuel bill and costs from flying longer routes, O’Leary said, adding
that he “remains concerned” about the impact of sluggish economies, austerity measures and low
consumer confidence.
Capacity and network growth will kick in again for the next northern summer, according to O’Leary.
While Ryanair cuts seats each winter compared with preceding months as demand for travel wanes, it
has previously always shown year-to-year expansion.
“Wait until March and April,” he said. “There will still be strong growth next summer but
trying to open up new routes with high oil prices is stupid in the winter.”
Ryanair may still add planes to meet longer-term growth plans beyond 2016, O’Leary told
journalists, and will have accumulated “a bundle of cash” for the next order. The number of
bases will still increase to about 50 from 44 this fiscal year.
Areas such as Eastern Europe and Turkey provide scope for expansion at Ryanair, which will have a
fleet of 300 planes by the end of March 2012, up 28 from last year, though its success has attracted
new airlines to the marketplace and prompted established carriers to focus more on costs, NCB’s
Devine said.
Bonjour Alpha,
Bien tes moultes infos, et on te remercie. Mais "EVIDEMMENT" que tu cites, n'est peut-être pas,
pris en compte par tout le monde, puisque l'on ''encaisse des pertes".
Mon but c'est d'éviter ces dernières, en gérant l'évènement du moment,
sans noyer le poisson par x explications comme le font des conseillers qui ne recommandent
quasi-jamais de vendre.
Et de débusquer des valeurs, stables, mieux "haussières", dans la tourmente,
pour faire mieux que 1 pas en avant, 2 en arrière, ou l'inverse..
Antares,
Bien sur que pour gagner de l'argent, il faut d'abord eviter d'en perdre.
Ayant dis cela, ce qui est tout de meme remarquable sur le secteur aerien hier, c'est que les
valeurs US ont perdu entre 1% et 2% hier - ce qui ne semble pas beaucoup au regard du Beta des
companies aeriennes alors que les valeurs europeennes ont perdu entre 4% et 5%.
Il est facile d'en deduire l'impact du nuage Islandais en approche technique.
Ou tu peux prendre une vue analytique, AF perd €35m/jour avec une fermeture totale, la market cap
a chute de €140m hier.
Mon approche etant comme toujours Long - Short neutral , je suis relativemment immunise contre les
baisses & hausse generales de marches (mon P&L a baisse de 0.5% hier - en grande partie a cause de
IAG) et suis beaucoup plus sensible aux mouvements specifique des titres - a la recherche de Alphas.
En fait, les marches sans tendance sont ceux que je prefere. Je n'ai pas a ecouter les
pleurnicheries des grecs ou decrypter les propos ("reprofiling" de la dette) de tel ou tel
Ministre des Finances europeens.
Ce que veut le marche en ce moment, ce sont des Essilors, des Sodexos, des Danones, des valeurs de
croissance a) structurelle et b) positionnees mondialement. Quitte a payer un PEG de 1.5 - 2.0x.
Short ouvert il y deux jours sur Marks & Spencer a 400p:
http://uk.advfn.com/cmn/fbb/thread.php3?id=9589623
Alphahunter
Exact alpha, vue objective,
aussi peut-être pour le bon choix de valeur U.S. plus porteuses de P.V.
Juste Antares, je dois avouer que lorsque je vois le smooth ride des indices boursiers US - a
comparer avec nos girouettes Europeennes - je me dis que je devrais peut-etre mettre mes oeufs
la-bas, prendre une couverture $ et adopter une position Net Long a 50%. Je passerais moins de
temps a la Bourse.
Alpha tu sais sans doute, achat en devises € avec un $ faible, et vente en $ fort, te permet
d'optimiser ton bénef. mais il faut viser juste. Deux parfaites réussites l'an dernier avec GOO
et APPLE.
IBM egalement.
Ce que je veux dire, c'est que 40% des profits des societes du Dow sont realises a l'etranger. La
depreciation du $ est evidemment positive pour ces boites, mais pour le detenteur d'actions base en
Europe, le gain sur les cours peut-etre elimine par la perte sur le taux de change. Ainsi, je ne
suis pas certain que le DOW ou le SPX , exprime en € aient surperforme le DAX.
C'est au moment des turning points sur les devises que les opportunites et accidents arrivent, les
marches actions prenant 6 mois a s'ajuster (en raison de l'inertie, les couvertures de changes
mises en place par les societes etc,...). Par exemple la correlation entre l'ADR de TOTAL (valeur $
par excellente) et Exxon a ete remarquable, jusqu'au moment ou l'Euro a decroche. Cela s'applique
egalement a Shell ADR.
Ca ete long, mais IAG.LN (British Airways - Iberia) est a un cheveux du cours d'achat a 244p en
cloture. Outre la chute des cours du brut, Virgin Airways a annonce une greve ce qui ne manquera
d'aider BA sur la tres profitable route nord-atlantique.
Lufthansa a fait moins bien sur la periode (€14.50) tandis que Air-France KLM a proprement chute
de 15% €10.08, sans que je percoive la raison de la sous-performance de AirFrance par rapport a
Lufthansa.
Le CAC A 3788
Je reste en long sur IAG cote a Londres.
http://www.ft.com/cms/s/0/d58a65d0-b9c8-11e0-8171-00144feabdc0.html
IAG a publie de bons resultats ce vendredi, et bien meilleurs encore en comparaison avec ceux
catastrophique de AF-KLM et dans un moindre mesure de Lufthansa. Le titre a finit en hausse de 2% a
237p.
Depuis l'achat:
IAG - 4%
AF: -29%
LHA: -10%
CAC40: -8%
EURO50:-7%
Bien que n'ayant pas realise de profit en valeur absolue, je vais cloturer la position dans les
jours qui viennent car les analystes ne manqueront pas de souligner des opportunites d'arbitrage
au sens du secteur. En outre le titre a fortement resiste - a juste raison au vu des resultats - en
depit de son Beta eleve et sensibilite au cycle economique. Un des drivers est la forte progression
des booking premium (e.g. business et first class) et la bonne tenue du marche New-York-Londres
(banquiers).
Avec les premieres vagues de licenciements annoncees sur la City qui suivent les faibles resultats
des banques d'investissements en general, les difficultes chroniques de Iberia, la bonne
performance du titre au reste du secteur et du marche et l'arret de la baisse du cours du petrole
(une de mes hypothese lors de mon achat initial), je ne serais pas surpris que le cours viennent
sous pression ou devienne l'objet de trading - qui n'est pas mon fort. Pour garder le portefeuille
Long-Short equilibre, le dois trouver des opportunites de reinvestissement.
Je lirais avec interet les idees a 30%+ sur l'annee que Antares a evoque lorsqu'il les nommera.
CAC40: 3672
Stoxx50:2670
AF: 8.42
LHA: 14.05
Bonsoir Alpha, je manque un peu de temps surtout pour développer mes arguments qui en plus, sont
plombés par le rappel de l'amf.
Je pense qu'avec la dégringolage de ce jour, tu vois des opportunités, mais mon idée est
d'attendre encore des plus bas, correspondant aux supports MAJEURS des valeurs retenues avec des
fondamentaux évalués sur les sites
et, non vérifiés anlysés disséqués sur les carnets de commande et les bilans. Sachant que ces
derniers peuvent contenir des postes difficiles à cerner comme les provisions, les valeurs
mobilières ou immobilières après amortissements.
-Déjà ZODIAC acheté à 52.46; ce matin à 61+16% et je vise 70 voir 72 total +30%
-SECH acheté à 17.88 support env; 15.50 devrait rejoindre ancien support 18.30 et 20 et à plus
long terme bien au delà , les 30% en partant de ce jour y seront....
- ALTEN vendu sur stop, ENFIN piègé sur mon stop, grande meche à la baisse pour aller chercer mon
stop, je verrais vers un support de 24 pour viser 31
-ALSTOM peu toucher son support env. 34.30 pour viser 45.
et d'autres ...
Bien sûr le facteur temps est imprévisible mais MT/LT est envisageable à moins d'une rescession
....
Et pas d'achat, avant que le jeu se calme, en essayant de déterminer le point bas du CAC