(BFM Bourse) - Silvio Berlusconi, pour qui le maintien d'Alitalia sous pavillon italien est devenu un important argument de campagne, a cité hier plusieurs noms susceptibles de participer à une contre-offre sur la compagnie italienne.
Selon le quotidien la Stampa, le leader de la droite italienne a nommé les familles Ligresti et Benetton, la banque Mediobanca, ainsi que le pétrolier ENI. « Comment le plus grand groupe italien sur le plan international pourrait-il permettre que notre pays perde sa compagnie nationale ? », s'interroge « Il Cavaliere », continuant de jouer la carte de l'italianité pour l'avenir d'Alitalia.
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