(BFM Bourse) - Annoncées avec fracas jeudi, la rupture des négociations entre Air France et Alitalia et la démission du PDG de la compagnie italienne, Maurizio Prato, sonnaient comme une fin définitive. Pourtant, rapportent Les Echos, le gouvernement italien encore en place avant les élections législatives des 13 et 14 avril va vérifier s'il existe encore une possibilité d'accord avec les syndicats.
"J'espère que le bons sens prévaudra et que les discussions reprendront" a ainsi déclaré Romano Prodi, le Président du Conseil des ministres italien, estimant que les syndicats ont "commis une grande erreur en rompant [les discussions] car la négociation était sérieuse et concrète".
Ces derniers commenceraient d'ailleurs à faire machine arrière. Le syndicat CGIL a ainsi indiqué "être prêt à négocier avec tous, et même le groupe français sur le futur d'Alitalia", rapporte La Tribune.
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