(CercleFinance.com) - Le directeur général de la branche Raffinage-Marketing de Total estime à 150 millions d'euros le coût de la crise d'approvisionnement des stations-service de l'automne dernier, dans un entretien aux Echos.
Selon lui, le coût pour le raffinage s'élève à un peu plus de 100 millions d'euros, tandis que celui pour le marketing et la pétrochimie atteint environ 50 millions d'euros.
Michel Bénézit, qui plaide pour une modernisation des installations de chargement, souligne que la crise a démontré l'efficacité logistique du groupe.
Par ailleurs, il indique que la cession de la raffinerie britannique de Lindsey reste d'actualité mais s'avère 'un peu compliquée'.
Quant à la vente du réseau de 800 stations-service en Grande-Bretagne, elle devrait intervenir dans les mois qui viennent.
Enfin, Michel Bénézit affirme que le groupe, volontaire pour participer à la construction d'une raffinerie en Chine, ne projette pas de réaliser d'autres acquisitions en Afrique, étant donné que l'essentiel des objectifs de développement sur le continent a été atteint.
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