*** Situation aux USA ***
juin 18th, 2014 | by News360x
Selon des données de la Réserve Fédérale de Saint Louis, la dette des Etats Unis atteint presque 60.000 milliards de dollars (exactement 59.400 milliards de dollars au 31 mars de cette année), soit une augmentation de 500 milliards de dollars depuis la fin de l’année 2013, indique Russia Today. Mais en fait de dette, il s’agit essentiellement de dette privée, et non d’emprunts du gouvernement, rappelle le site. Or, la progression de cette dette privée pose un risque bien réel de récession.
Il y a quarante ans, la dette des États-Unis ne représentait que 2.200 milliards de dollars. Mais selon James Butler, le recours au crédit est comparable à une maladie virale : « En 50 ans, la dette est passée d’un luxe réservé à une minorité à une commodité pour certains, à une addiction pour beaucoup, et à une maladie pour tous. C’est un virus qui s’est répandu dans chaque aspect de notre économie, du consommateur qui utilise sa carte de crédit pour acheter une barre chocolatée à 0,75 dollar à un distributeur, au gouvernement qui emprunte 17.000 milliards de dollars pour pouvoir continuer à éclairer les rues », écrit-il.
Selon une étude de The Economist de 2012, la croissance de la dette privée est un indicateur de récession plus fiable que l’augmentation de la dette publique, l’offre de monnaie, ou un déséquilibre dans les échanges. Aux Etats-Unis, le crédit à la consommation a connu une hausse de 22% sur les 3 dernières années, ce qui l’a porté au niveau de 18 milliards de dollars au mois d’avril de cette année. De plus, l’utilisation des cartes de crédit a également augmenté de 8,8 milliards de dollars au cours de cette période.
Pendant la récession, les gens ont eu tendance à réduire les crédits souscrits au moyen de leur carte, et plus généralement, à se désendetter. Mais ce n’est plus le cas, désormais, et ils sont revenus à leurs habitudes de consommation à crédit, souligne Michael Snyder d’Infowars. Actuellement, 56% des Américains ont un crédit, et 52% des propriétaires ont eu besoin de retarder l’échéance de leur emprunt hypothécaire, et ne disposent pas des ressources financières suffisantes pour y faire face. Les jeunes adultes sont particulièrement vulnérables ; une étude menée par Wells Fargo est venue à la conclusion que les jeunes de la génération Y consacrent au moins la moitié de leur salaire à leurs échéances de prêt. Et deux ans à la suite de l’obtention de leur diplôme, la moitié des diplômés américains sont toujours obligés de compter sur leurs parents ou des proches pour joindre les deux bouts.
D’après un rapport du Congressional Budget Office, la croissance économique aux Etats-Unis est susceptible de stagner d’ici 2017, parce que la population va continuer à consommer, sans que les salaires ou la richesse du pays n’augmentent suffisamment, ce qui risque d’accentuer les inégalités. L’écart sera en effet comblé par des crédits, selon la même dynamique que celle qui a contribué à la récession. Toutefois, ironiquement, cette dynamique est aussi celle qui a permis de sortir de la crise.
«Les économistes ne s’accordent pas sur la stratégie à adopter pour éviter une nouvelle crise, mais ils pensent que la dépendance des Américains au crédit ne facilitera pas les choses. « Le problème, c’est que plus il y a de dettes, plus le revenu futur qui doit être utilisé à rembourser la dette avec les intérêts doit être conséquent, ce qui réduit l’argent que nous pouvons dépenser sur des choses. Cela agit en ralentissant l’économie », explique James Butler. « Finalement, l’effet négatif de la charge de la dette deviendra plus important que l’impact positif des dépenses supplémentaires, ce qui déclenchera une récession, voire, pire ».
Source : Express
Bonne ou mauvaise nouvelle ? Les petits porteurs amateurs des marchés boursiers sont en passe de se faire tondre... Mais cela, ils ne le savent pas encore. Grâce à une analyse simple digne d'un niveau de 2ème année d'école maternelle, voici comment prédire avec une quasi-certitude l’imminence d'un crash des marchés "actions". Lisez attentivement...
Qui a dit qu'il est impossible de prédire un crash boursier ?
A chaque fois que le marché boursier américain s'élève au-dessus de la valeur du PIB, un crash se produit.
La capitalisation boursière totale des actions américaines est maintenant égale à 120% du PIB, la plus élevée depuis la mi-2000 lors de la bulle du NASDAQ où il a atteint un pic de 142%.
Avant de s'écraser à 70% en 2002...
Le seul autre moment où il s'élevait au-dessus de 100% était en 2007 quand il a atteint 105%, avant de s'écraser à 56% en 2009.
En 1982, la capitalisation boursière totale des actions américaines est tombée à un plus bas de 34% du PIB.

C'est la preuve que le marché boursier américain est extrêmement surévalué avec une grande correction à venir.
Clairement, un crash boursier est sur le point de se produire, mais pas pour toutes les actions...
Seules les actions qui montent pendant que le reste tombe comme une pierre sont les actions minières de métaux précieux et les valeurs de production agricole avec des gains importants en perspective.
Voilà.
Vous êtes en présence d'une prédiction simple et facile à faire.
Vous pouvez téléphoner à votre chargé de compte ou votre courtier pour lui annoncer la nouvelle.
Il est temps de penser à sortir vos gains cumulés depuis 2012 ou de les réorienter vers le bon côté de la hausse (métaux précieux et produits agricoles) avant que le marché ne vous les reprennent !

Bonne nouvelle, Paul Craig Roberts est en forme !
Devant la nocivité et la dangerosité croissante de la politique étrangère américaine, la désaméricanisation du monde est devenue selon lui l’urgence absolue et elle passe par la dédollarisation de l’économie mondiale qui permettait jusqu’à présent à Washington de faire financer ses guerres par les pays étrangers. La Chine et la Russie, poussées par l’agressivité des états-unis dans le conflit ukrainien, ont engagé le processus…
Le chiffre définitif de la croissance réelle du PIB des Etats-Unis pour le premier trimestre 2014 est tombé le 25 juin : pas de progression de 2,6%, comme l’avaient prédit en janvier les économistes qui ne savent rien, mais une baisse du PIB de 2,9%.
Cette croissance négative de -2,9% est en elle-même un euphémisme car, si l’on obtient ce chiffre en déduisant l’inflation du PIB nominal, la mesure de l’inflation est minimisée. Durant les années Clinton, la Commission Boskin a truqué la mesure de l’inflation afin de tromper les bénéficiaires de l’aide sociale sur les ajustements indiciels. Quiconque achète des aliments, du carburant ou autre chose sait que l’inflation est beaucoup plus élevée que le chiffre officiel, et il se peut que la chute du PIB au premier trimestre soit trois fois supérieure au chiffre officiel. Néanmoins, la différence entre la prévision de janvier (+2,6%) et la récession à fin mars (-2,9%) est déjà importante.
Source: Les moutons enragés
Suite à l’affaire BNP-Paribas, notre inénarrable ministre des finances Michel Sapin semble s’être rendu compte qu’il y avait un problème avec l’hégémonisme du dollar. Lors des rencontres du cercle des économistes qui se tenaient à Aix-en-Provence, il a plaidé pour l’abandon du dollar dans les transactions et à notamment déclaré :
Nous autres, Européens, effectuons des transactions en dollars, par exemple lorsque nous vendons des avions. Est ce que cela est nécessaire ? Je ne pense pas!
C’est énorme, on dirait presque qu’il vient de découvrir la lune. Cependant, ce discours quasi révolutionnaire et qui ressemble à une déclaration de guerre pour Washington, n’est malheureusement certainement pas dû à la défense de l’intérêt national. N’oublions pas que le secteur bancaire est le premier pourvoyeur de personnel hautement qualifié à la direction du trésor et aux finances, et que dans le petit milieu de la finance hexagonale, le racket américain passe très mal… On semble néanmoins assister à la naissance d’un front mondial anti-dollar, les déclarations de Sapin venant s’ajouter aux initiatives sino-russes et à celles des BRICS visant à l’abandon la monnaie américaine pour leurs échanges. L’histoire mondiale semble décidément à un tournant car si le dollar perd son statut privilégié de monnaie de référence pour les règlements internationaux, c’est l’hégémonisme de Washington qui s’effondre.
Source: Les moutons fous

On se dirige vers la fin de la suprématie du Dollar en tant que monnaie de transaction internationale. C'est probablement l'info que Christine Lagarde tentait de communiquer en langage codé.

Dans une interview avec le Financial Times, le ministre français des Finances, Michel Sapin, a appelé à un rééquilibrage des monnaies utilisées pour les règlements dans les transactions internationales. Sapin a fait les déclarations en marge des rencontres du Cercle des Economistes à Aix-en-Provence, où se sont réunies des grandes personnalités du monde des affaires français.
Il faisait allusion à l'amende à laquelle la plus grande banque française, BNP Paribas, a été condamnée par les autorités américaines parce qu’elle avait effectué des transactions pour le compte de pays qui faisaient l’objet d’un embargo américain.
Nous autres, Européens, effectuons des transactions en dollars, par exemple lorsque nous vendons des avions. Est ce que cela est nécessaire ? Je ne pense pas »
Sapin pense que ce rééquilibrage devrait se faire non seulement pour l'euro, mais aussi pour les monnaies des économies émergentes, qui sont de plus en plus impliquées dans le commerce mondial. Le PDG de Total, Christophe de Margerie, a abondé dans son sens, notant que « bien que le cours d’un baril de pétrole soit donné en dollars, rien n’interdit aux raffineries de prendre ce cours et en utilisant la parité de l’euro/dollar du jour donné, et de s’entendre pour effectuer le paiement en euro ».
D'autres dirigeants du monde des affaires français s’interrogent sur la condamnation de la BNP, estimant qu’elle n’a pas violé de lois européennes. Sapin a promis de discuter de cette affaire avec ses collègues européens à l’occasion d’un futur sommet. Mais il n’a donné aucun détail de la façon dont il veut mettre fin à l'hégémonie du dollar.
Les Français ne sont pas seuls. La semaine dernière, on a appris que les BRICS cherchaient à établir une alliance anti-dollar. En plus de l’accord qu’ils ont conclu avec la Chine pour régler les échanges commerciaux mutuels en yuan et en roubles, les Russes veulent aussi créer un partenariat avec les autres BRICS pour établir un système multilatéral faisant appel à leurs monnaies respectives pour échapper au dollar.
Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, s’était déjà demandé au cours du mois de juin s’il était nécessaire d’utiliser le dollar pour les transactions entre l’Europe et la Chine. Il avait spéculé que les sanctions contre la BNP risquaient d’encourager les entreprises à cesser d’utiliser systématiquement le dollar. Enfin, la Chine et la Corée du Sud ont récemment conclu un accord pour effectuer les paiements de leurs échanges commerciaux dans leurs monnaies respectives.
Plus de la moitié des prêts et dépôts dans le monde sont effectués en dollars, et une récente enquête sur les 5.000 milliards de dollars de valeurs qui sont échangés sur les marchés des changes a montré que le dollar était utilisé dans 87% des transactions. Malgré tous les efforts qu’elles font pour diversifier leurs avoirs, les banques centrales du monde détiennent encore plus de 60% de leurs réserves en dollars en moyenne.
Rorschach sur chaos contrôlé
Les gaz et pétroles de schiste ont été vendus au grand public et aux investisseurs comme un nouvel eldorado énergétique. Les USA étaient ainsi sensés devenir la nouvelle Arabie Saoudite du schiste en redevenant exportateur net. Problème, derrière les miracles annoncés, des coûts d’extraction prohibitifs liés à un déclin extrêmement rapide des puits compris entre 2 et 3 ans, obligeant à forer à tour de bras pour compenser le déclin de ceux déjà en production. Ainsi, pour assurer l’indépendance énergétique des Etats-Unis, il faudrait forer 45 000 puits par an selon le site spécialisé 2000Watts.org. Quand on connaît le cocktail cancérigène nécessaire à la fracturation de la roche, il s’agit d’une véritable catastrophe écologique. La très sérieuse Agence Internationale de l’Energie prévoit désormais un pic de production entre 2018 et 2020 pour les Etats-Unis avant de voir la production irrémédiablement décliner… Selon Max Keiser, de Russia Today, les gaz et pétroles de schiste ne seront donc jamais rentables et constituent une bulle financière entretenue par des rapports et prévisions délibérément faussés de la part des investisseurs financiers… La Grande-Bretagne de David Cameron, qui s’est lancée avec enthousiasme dans l’exploitation de gisements soi-disant gigantesques est elle aussi en train de découvrir l’amère réalité…
Les écolos diront que si, mais pas assez argumentées scientifiquement pour faire le poids, me semble-t-il .... à suivre .
A chacun sa lecture .
16 octobre, 2014 Posté par Ender sur les moutons
La sortie de récession de l’économie US est un mirage pour la classe moyenne dont les revenus ont chuté au niveau de ce qu’ils étaient en 1989. Le taux de chômage est également en trompe l’oeil puisqu’il ne tient pas compte de la baisse continue de la population active et de l’emploi à temps partiel. En réalité, peu de vrais jobs ont été créés depuis 2009… Les seuls à tirer profit de la politique d’assouplissement quantitatif de la FED sont les épargnants et les investisseurs dont les revenus sont dopés par les cours de la bourse… (épargnants boursiers seuls!). Puisqu'on vous le dit!

Le QE3 n’a pas eu les effets escomptés et l’économie américaine va retomber en récession à moins que la Fed commence un nouveau programme de QE4. QE4 retarderait encore une récession qui est pourtant nécessaire pour éliminer les mauvaises dettes et les acteurs non performants sur le marché. Ces acteurs qui ont été sauvés par les interventions de l’État au détriment d’une meilleure allocation de ce capital. Il y a « ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas » comme l’explique Bastiat et le capital alloué par décision politique aurait pu être investi et créer de la richesse par production de biens et services que les consommateurs désirent. Les taux d’investissement des entreprises américaines sont d’ailleurs très faibles : celles-ci ne font pas aujourd’hui les investissements qui leur auraient permis d’assurer la production et l’innovation de demain. Les entreprises américaines n’hésitent en revanche pas à racheter leurs actions pour gonfler les cours et à verser de généreux dividendes qui profitent aux dirigeants.
Le FOMC (Federal Market Committee) qui décide des actions de la Fed finira par augmenter les taux d’intérêt mais ceci n’arrivera que lorsqu’il n’aura plus d’autres choix ; il le fera pour juguler une hyperinflation qui se retransmettra même dans les chiffres officiels pipés. Mais la Fed prendra soin de trouver des causes externes aux catastrophes financières auxquelles elle aura à faire face alors qu’elle en est la cause.
Pour surmonter l’éclatement de la bulle immobilière en 2008, la Fed a ainsi décidé de regonfler la bulle ainsi que celle des actions et du dollar alors que cette bulle avait gonflé à cause des taux bas sous Greenspan. Si le marché prévoit une hausse des taux, le dollar s’apprécie et la Fed en profite alors pour prétendre qu’il n’y a pas besoin d’une augmentation des taux étant donné que le dollar s’apprécie. Les anticipations et les prévisions de croissance ne se réaliseront pas et ne peuvent constituer une preuve de réussite. Elles ne permettront pas à la Fed de se dérober d’une situation où elle doit augmenter les taux d’intérêt à cause de pressions extérieures ou elle devra laisser le dollar se déprécier violemment. On peut parier qu’elle choisira d’abord la deuxième de ces options, en effet le QE s’arrêtera et les taux bas remonteront quand le marché comprendra que la Fed ne compte pas vraiment arrêter QE ni augmenter les taux.
Les USA, les maîtres de l'embrouille dans tous les domaines !
Près de 2,5 millions d’enfants aux États-Unis, soit un enfant sur 30, ont connu l’année dernière une période sans domicile fixe, selon une nouvelle étude parue lundi.
21 novembre, 2014 Posté par Benji sous les moutons
Avec le nombre de pauvres sur le sol américain, et le nombre de personnes dépendantes des bons alimentaires, on peut facilement se demander à quoi mène la politique d’Obama qui veut régulariser la situation de millions de clandestins. Les États-Unis en ont-ils encore réellement les moyens financiers?
Vive la reprise US ! 20 pour cent des ménages aux « Food stamps » ! Z .
(CNSNews.com) – Le nombre d’Américains bénéficiaires des coupons alimentaires a dépassé les 46.000.000 , après 35 mois consécutifs de hausse, selon les données du ministère de l’Agriculture (USDA).
De Septembre 2011 à Juillet 2014, le dernier mois pour lequel des données sont disponibles, le nombre de personnes qui participent au programme « Supplemental Nutrition Assistance » (SNAP, ou « Food stamps ») a dépassé les 46 millions. En Juillet 2014, il y avait 46.486.434 bénéficiaires du programme SNAP.
Alors que le nombre de personnes participant à SNAP en Juillet a légèrement diminué, depuis les 46 496 252 de personne qui participaient en Juin, le nombre de ménages participants a augmenté dans le même laps de temps de 22.714.042 en Juin à 22.715.583 en Juillet.
Durant l’exercice 1969, la participation mensuelle moyenne dans le programme SNAP était de 2 878 000. Au cours de l’exercice 2013, c’est monté à 47.636.000, soit une augmentation de 44,758 millions ou 1 555 pour cent.
25 novembre, 2014 Posté par Ender sur les moutons

La candidate démocrate Hillary Clinton est la favorite des néo-conservateurs et des faucons de Washington pour la prochaine élection présidentielle. Ils souhaitent en effet qu’elle reprenne en main la politique étrangère qu’ils ne trouvent pas assez interventionniste. L’élection de Madame Clinton signerait donc le retour des fous de guerre au pouvoir, comme le néo-conservateur Robert Kagan : « Si elle poursuit la politique que l’on pense qu’elle suivra, a-t-il ajouté, c’est quelque chose que l’on a autrefois appelé ‘néoconservatisme’, mais il est clair que ses supporters ne vont pas l’appeler comme ça ; ils trouveront un autre nom. «
Hillary Clinton est aussi la favorite du lobby bancaire de Wall Street mais également du lobby israélien. Selon Aaron David Miller, du journal Foreign Policy : « Hillary est bonne pour Israël, elle a des relations avec ce pays que l’actuel président n’a pas. Hillary n’est pas de la même génération, et elle a travaillé dans un milieu politique dans lequel être bon pour Israël était à la fois obligatoire et intelligent. »
Nous voilà prévenus…
27 novembre, 2014 Posté par Benji sur les moutons fous
Véridique, j’ai pu voir aujourd’hui-même une séquence sur BFMtv dans laquelle ils osaient comparer la croissance européenne et celle complètement bidonnée des États-Unis, en expliquant que les USA n’avaient aucun problème de ce côté-là! Quelle honte!!! L’économie étasunienne est complètement foutue, elle ne tient qu’avec les multiples planches à billets et les magouilles bancaires, et plombe littéralement la nôtre entre autre grâce aux lobbyistes qui sévissent à Bruxelles! Et cela se prétend journalistes….
30 novembre, 2014 Posté par Benji sur les moutons
Dans mes deux articles précédents, « Un accident bizarre qui en rappelle un autre » et « Un embarras TOTAL », j’ai souligné les ressemblances entre les circonstances de la disparition d’Enrico Mattei, le PDG de la pétrolière nationale italienne ENI au début des années 1960, et celle de Christophe de Margerie, le PDG de TOTAL, survenue il y a un peu plus d’un mois à l’aéroport Vnoukovo de Moscou.
J’ai également démontré que les États-Unis étaient à l’origine de la première, et qu’il existait d’excellentes raisons de croire qu’ils étaient aussi à l’origine de la seconde. En effet, autant Mattei que de Margerie constituaient des menaces claires à leurs intérêts pétroliers et financiers, en plus de défier ouvertement leur hégémonie mondiale, et la menace posée par de Margerie était sans doute encore beaucoup plus existentielle que celle qu’avait posée Mattei, comme nous allons le voir un peu plus bas.
Mon intérêt pour cette affaire s’explique à la fois par les connaissances que j’ai acquises au cours de ma carrière au service de deux grandes multinationales du pétrole, ESSO (maintenant connue sous le nom d’Exxon Mobil), et Texaco (aujourd’hui intégrée à Chevron), et par celui que j’ai développé pour l’Empire Desmarais, à la tête du grand conglomérat financier canadien Power Corporation, associé au groupe belge Frère, les deux étant d’importants actionnaires de TOTAL par le truchement d’une structure suisse de coparticipation, Pargesa SA, constituée par leurs soins.
Au Québec, comme j’ai eu l’occasion de le démontrer dans deux ouvrages récents, Desmarais : la Dépossession tranquille, et Henri-Paul Rousseau, le siphonneur de la Caisse de dépôt parus respectivement à Montréal aux Éditions Michel Brûlé en 2012 et 2014, les visées de l’Empire Desmarais sur ces principaux leviers de développement que sont Hydro-Québec et la Caisse de dépôt et de placement sont carrément prédatrices et spoliatrices.
L’intérêt soulevé par mon second article (repris sur plus d’une vingtaine de sites dont vous trouverez les liens à la fin de celui-ci), et notamment en Europe, m’a convaincu de pousser plus loin mon enquête, en m’intéressant non pas tant aux circonstances de l’accident/attentat – aucun nouvel élément n’a été rapporté depuis deux ou trois semaines – qu’à la conjoncture géopolitique internationale dans laquelle il est survenu, à la place qu’y occupe le pétrole, au rôle qu’y joue TOTAL, et à celui qu’y jouait son PDG Christophe de Margerie jusqu’à son décès.
Comme nous l’apprend cet article de l’Express.be, la crôôôassance est loin d’être mirifique aux USA. Encore une fois, il ne s’agit pas de dire que tout va mal. Les USA vont objectivement moins mal que l’Europe mais au prix d’une relance ayant nécessité une création monétaire monumentale et un déficit budgétaire colossal… Donc il n’y a pas de quoi pavoiser non plus vu les sommes injectées dans l’économie pour un piètre résultat qui préfigure à mon sens une nouvelle récession américaine.
Cette hypothèse est d’ailleurs renforcée par le « Black Friday » de cette année qui a révélé la pauvreté des Américains puisque loin d’être euphorique, cette journée a été plutôt particulièrement décevante. Les ventes dans les commerces traditionnels n’ont pas été compensées cette année par une augmentation suffisamment importante des ventes en ligne…
Charles SANNAT
29 janvier, 2015 Posté par Benji sur les moutons nouveaux
Les États-Unis continuent la grande arnaque! La Grèce n’était pas en mesure de rejoindre l’Union Européenne, trop faible financièrement, elle ne correspondait pas aux critères, ce qui n’arrangeait pas les affaires des États-Unis qui avaient pour but d’affaiblir l’Europe pour pouvoir y imposer le traité transatlantique. La Goldman Sachs a donc aidé la Grèce à truquer les comptes du pays pour pouvoir intégrer l’UE, ce qui justifierait vraiment un Grexit pour irrégularité soit-dit en passant…
La victoire de Syriza quand à elle ne plait pas du tout, vraiment pas, dont aux Etats-Unis qui voient les réformes et décisions du nouveau gouvernement d’un très mauvais oeil, l’agence Stanrd&Poor’s qui ne représenta pas grand chose à part les intérêts américains menace donc menace de baisser la note de la Grèce suivant un article de RTS.
Car ce nouveau gouvernement mérite d’être acclamé pour ses premières décisions courageuses détaillées dans un article d’Okeanews, réformes qui ne vont pas dans le sens de la Troïka:
◾Gratuité de l’électricité pour les chômeurs de longue durée
◾Fin immédiatement de la privatisation de l’organisme public d’électricité DEI qui redeviendra une entreprise publique fonctionnant uniquement avec des critères de développement et d’environnement
◾Arrêt immédiat de la privatisation de ce qui restait de l’Organisme du Port du Pirée, signée en décembre.
31 janvier, 2015 Posté par Benji sur les moutons vrais
Vu que depuis quelques temps, la France qui défend tant et si bien la liberté d’expression (voir ici, ici et ici entre autres articles) se met à vouloir censurer internet et a lancé une campagne de décrédibilisation des sites d’informations alternatives, pour preuves les deux articles publiés, le premier sur Rue89.NouvelObs et le second sur l’Express, un petit rappel s’imposait, principalement sur le « Nouvel Ordre Mondial » qui ne serait officiellement qu’une théorie du complot. D’ailleurs, celui-ci est cité en tant que théorie du complot dans de récents articles sur ce jeune étudiant ayant débarqué armé sur un plateau-télé des Pays-Bas.
Et pourtant, ce Nouvel Ordre Mondial est officiel et indiscutable, de nombreuses preuves vont être fournies ici et ne laissent que peu de place au doute, mais il est bien plus pratique de décrédibiliser les discours sur le sujet, puisque le but est d’imposer ce système plus que discutable sans que les populations ne puissent réagir et empêcher la mise en place, et donc, il ne faut pas les informer, ce que certains médias parviennent très bien à faire soit-dit en passant…
Ce Nouvel Ordre Mondial a pourtant d’autres noms, plus « passe-partout » afin de ne pas trop alerter les personnes sur sa vraie nature: TAFTA, TTIP, Traité transatlantique, Accords de libre-échange.

Posté par Benji sur les moutons américains
La CIA soupçonne une modification du climat par une nation en particulier , oui mais laquelle? Russie? Iran? Syrie? Chine? Aïe, on me dit dans mon oreillette qu’il existe un projet américain du nom de HAARP qui va dans ce sens, et la CIA ne serait pas au courant? À moins qu’ils se foutent légèrement du monde….
Les responsables de la CIA redoutent que des Etats tentent de manipuler le climat du monde, a affirmé le professeur Alan Robock, de la Rutgers University dans le New Jersey, au cours de la conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of Science.
Il a relaté que des consultants travaillant pour la CIA l’avaient appelé et lui avaient demandé s’il était possible de savoir si quelqu’un pouvait contrôler le climat du monde. Il leur avait répondu que toute tentative de modifier le climat à grande échelle serait détectable.
La géo-ingénierie, qui vise à modifier le climat, comprend un ensemble de techniques allant de l’ensemencement de nuages, qui consiste à répandre des produits chimiques par avion pour déclencher des averses, au tir de miroirs dans l’espace pour refléter la lumière du soleil et rafraîchir la Terre.
Robock a rappelé que ces techniques avaient déjà été employées par le passé comme armes de guerre, et notamment au cours de la Guerre du Vietnam, et de la crise cubaine. Au Vietnam, les scientifiques américains ont tenté d’augmenter la pluviométrie en diffusant des particules dans les nuages pour entraver l’avancée des troupes du Front national de libération du Sud-Viêt Nam. La CIA a également ensemencé des nuages au dessus de Cuba pour provoquer des pluies et ruiner la récolte de canne à sucre. (more…)

dimanche 15 mars 2015 par Sinead Carew
Wall Street est suspendue au communiqué de politique monétaire que publiera la Réserve fédérale mercredi et dans lequel elle pourrait cesser d'évoquer la nécessité d'une politique de taux "patiente", ce qui donnerait le signal d'une prochaine remontée de ses taux d'intérêt pour la première fois depuis 2006.
NEW YORK (Reuters) - Wall Street est suspendue au communiqué de politique monétaire que publiera la Réserve fédérale mercredi et dans lequel elle pourrait cesser d'évoquer la nécessité d'une politique de taux "patiente", ce qui donnerait le signal d'une prochaine remontée de ses taux d'intérêt pour la première fois depuis 2006.
Le Standard & Poor's 500, l'indice de référence des gérants américains, a perdu 2,6% depuis le 6 mars, date de la publication de chiffres de l'emploi bien meilleurs qu'attendu qui ont renforcé les anticipations d'une hausse des taux dès le mois de juin.
La Bourse devrait encore marquer le coup si, comme beaucoup s'y attendent, la présidente de la banque centrale Janet Yellen ne fait plus référence à une attitude "patiente" dans le communiqué qui suivra la réunion de deux jours du Comité de politique monétaire (Fomc).
Cette subtilité sémantique sera interprétée comme une pré-annonce de hausse des taux mais les économistes sont divisés quant à savoir si le premier resserrement interviendra dès juin ou alors en septembre, selon une enquête Reuters effectuée jeudi.
Les futures sur les fed funds sont plus tranchés, avec seulement 19% des traders qui anticipent une hausse de taux en juin et 58% en septembre, selon CME Group FedWatch.
Bon nombre de traders ne croient pas à un tour de vis dès juin du fait de la faiblesse de l'inflation. Mais cela devrait changer mercredi, avertit Torsten Slok, économiste pour l'international chez Deutsche Bank Services à New York.
"Le retrait du mot 'patient' sonnera le réveil général", dit-il en prédisant une réaction négative de Wall Street.

Posté par Benji sur les moutons américains
La seule crédibilité qu’ont encore les Etats-Unis, c’est celle qu’ils veulent bien se donner tout en menaçant le reste de la planète, même quand les pays sont soi-disant alliés. Il n’y a même pas à tergiverser, l’économie américaine est foutue, complètement déconnectée de la réalité, perdu et va entrainer non seulement l’ensemble de sa population dans sa chute, mais le reste de la planète également. Et le souci, c’est que les fissures apparaissent de partout et que plus personne ne parvient à les dissimuler. Leur seule issue, c’est la technique qu’ils utilisent systématiquement: la guerre, puisque ce pays n’a vécu que grâce à elle: Depuis leur création, les États-Unis ont été en guerre 222 années sur 239, quand ils ne font pas des génocides…

Comme la France, les US sont ruinés...
Pendant ce temps là, Obama comme mimolette se pavanent !

Enfin eux, parce que nous, comme d’habitude, on va pas se marrer.
Sinon je maintiens le fait que je pense que la FED ne réussira pas à augmenter ses taux autrement que symboliquement et que si elle le faisait, alors cela viendrait faire exploser toutes les bulles spéculatives actuelles à commencer par la bulle la plus monstrueuse et la plus dangereuse de tous les temps… la bulle obligataire mondiale… Et là, rien ni personne ne pourra survivre à son explosion. Je persiste à penser (au risque évident d’avoir tort) que jamais la FED n’ira jusqu’à faire exploser cette bulle obligataire… ou alors ce sera un acte volontaire de suicide économique collectif.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
Charles SANNAT

Posté par Benji sous Argent et politique
Voilà encore une autre reprise « supérieur au consensus ».
Et le pire est sur le point d’être encore pire car tandis que la Fed maintient l’illusion en camouflant une économie stagnante voire presque inexistante, la réalité est que sur le mois de mars, le nombre de personnes qui ont été exclus de la population active a augmenté de 277 000 avec une hausse de 2,1 millions dans la dernière année en ayant atteint un nouveau record à 93 175 000.
A titre indicatif, cela signifie que le taux de participation au marché du travail a chuté une fois de plus, de 62,8% à 62,7%.
Un retour au niveau de Février 1978, alors même que le BLS ait indiqué que l’ensemble de la population active a diminué pour le deuxième mois consécutif, en baisse de près de 100 000 en Mars à 156 906.
Pour tous ceux qui auraient des doutes, il suffit de vérifier le nombre d’américains exclus de la population active en le constatant sur le graphique de la Réserve fédérale de Saint-Louis à savoir 93,175 millions. C’est astronomique !
Posté par voltigeur sur les moutons US
Si ça se confirme, après avoir mis le souk partout sur la Terre, les USA vont continuer vers le ciel. Rien ne doit empêcher les « démoNcrates/libérateurs /humanistes/ » d’assoir leur hégémonie. Chacun y va de ses « analyses » et « expertises », en occultant les milliers de morts de « dommages collatéraux ». Bienvenus dans le « Nouvel Ordre Mondial (ou Bestial) ». Le peuple américain crève de faim, et la préoccupation première des dirigeants bellicistes, est d’investir pour encore plus d’armes et de guerres, qu’elles soient sur terre ou spatiales, qu’elle est la différence? Vous avez un avis sur la question?
Les USA sont habituels des chaos !

Vous l’aurez compris, tous les indicateurs économiques sont au rouge. Si les USA connaissent une nouvelle récession, alors il est fort possible, compte tenu des niveaux d’endettement jamais atteints et de l’accumulation des bulles financières, que tout cela se transforme en une crise immense d’une gravité sans doute supérieure à celle dite des « subprimes » qui pourtant n’est toujours pas finie.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
Charles SANNAT
Il n’y a pas à dire, même si c’est ce que je pense cela fait du bien de l’entendre dire par d’autres. Au-delà, je ne suis pas persuadé, compte tenu de l’imbrication des économies mondiales, qu’un effondrement américain laisserait des gagnants par ailleurs car tout cela aurait évidemment des implications planétaires.
Pour ne donner qu’un seul exemple, je pense en particulier à tous les flux logistiques qui cesseraient aussi vite que cesseraient les flux financiers.
Or nous vivons dans un monde interconnecté fonctionnant en flux tendus… pas de quoi être optimiste.
Charles SANNAT
Les États-Unis sont le plus gros débiteur au monde, et le dollar cède ses positions dominantes face à la devise chinoise, estime le milliardaire américain Jim Rogers.
L’apparition dans le monde d’un contrepoids à la monnaie américaine est tout à fait logique, et la politique des États-Unis y a largement contribué, a estimé le milliardaire américain Jim Rogers dans une interview à la chaîne de télévision RT.
« Les États-Unis ont eux-mêmes tendu le piège dans lequel ils sont tombés, ne voulant rien partager avec les nouveaux acteurs économiques, notamment avec la Chine. Aussi, le reste du monde a-t-il décidé d’agir. C’est un désastre pour les Américains, mais une aubaine pour tous les autres. Il faut un contrepoids au dollar, il faut quelque chose pour concurrencer les États-Unis », a déclaré M.Rogers.
Et d’ajouter qu’on voyait aussi apparaître des alternatives aux institutions financières telles que la Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI), qui ne seront plus d’actualité sous peu.
Le yuan, cinquième devise la plus utilisée au monde
« La Banque mondiale et le FMI ont pratiquement fait leur temps. Je ne sais pas si vous avez vu leurs projets et prévisions, mais leur situation est bel et bien sans espoir. Ils sont tout bonnement inutiles (…) et ne tarderont pas à disparaître », a expliqué le milliardaire. Selon lui, la suprématie économique des États-Unis n’est qu’une fiction qui ne s’appuie sur rien. Le dollar dominait dans le monde, faute de contrepoids. Dès que les pays pourront choisir, le dollar cèdera ses positions dominantes au yuan.
« Il se peut que le yuan tienne un jour le haut du pavé, ou peut-être le rouble », a supposé M.Rogers.

Non seulement la production industrielle américaine a dépassé son niveau d’avant la crise, mais de nouveaux emplois se sont créés dans le secteur, ce qui n’était pas arrivé depuis plus de quinze ans. L'avènement des pétroles de schiste explique en partie le phénomène, mais pas seulement. L'action des pouvoirs publics y est aussi pour beaucoup.
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