NEW YORK, 12 février (Reuters) - Malgré des résultats de sociétés médiocres et les signes

d'un marché suracheté, les "bulls" (ceux qui jouent la hausse) risquent de conserver la haute

main sur Wall Street la semaine prochaine.



Depuis l'ouverture de la "saison" des résultats, 352 sociétés de l'indice S&P-500 ont publié

leurs comptes et seules 63% ont battu le consensus de Wall Street. Ce pourcentage serait le plus bas

depuis le quatrième trimestre 2008. La proportion était autour de 70% en moyenne ces quatre

derniers trimestres.



Malgré ce résultat en demi-teinte, le S&P-500 affiche une hausse de quelque 7% depuis le début de

l'année et il n'a inscrit que des semaines dans le vert à l'exception de cette semaine,

clôturée sur un recul de 0,2%.



L'indice a perdu 0,7% vendredi, sa plus forte perte en pourcentage depuis le début de l'année,

les dernières nouvelles sur le front grec ayant mis un terme à une série de cinq semaines de

gains.



"La demande d'actifs à risque est forte. Il y a un courant acheteur régulier sur le marché et

l'argent ne cesse de tourner", dit Brian Lazorishak (Chase Investment Counsel).



"Il semble que le marché passe outre les faibles résultats de 2011 et anticipe une saisons 2012

prometteuse.. Pour les investisseurs, c'est une sorte de feu vert aux actifs risqués".



La semaine prochaine, 51 sociétés du S&P doivent publier leurs comptes. Le taux de croissance des

résultats du S&P pour le quatrième trimestre 2011 est maintenant de 8,9%, selon Thomson Reuters

I/B/E/S. Mais on exclut Apple, ce taux retombre à 5,8%.



Même si la Bourse est mûre par une dynamique haussière, ce n'est pas pour cela que sa

volatilité va retomber. L'indice de volatilité du CBOE a bondi de près de 12% à 20,79 après un

pic à 21,98 vendredi.



"La forte hausse du VIX, surtout dans la dernière heure, laisse penser qu'il y a de grave soucis

vis-à-vis de la crise de la dette en Europe et les traders cherchent des possibilités de protéger

leur exposition à la Bourse à l'approche du week-end", écrivait un analyste. "Si ces acheteurs

de volatilité ont raison, lundi risque d'être épouvantable".



Les futures sur le VIX ont également eu des variations à la hausse très importantes. Le contrat

de février, dont il ne reste que deux jours de transactions, a gagné 12,5% à 22,50 avant de

terminer à 21,75.



La semaine à venir comptera enfin plusieurs indicateurs économiques à suivre, mises en chantier,

indices des prix de gros et de détail entre autres.

A propos de la grève à Air France, ce qu'en dit un lecteur de l'économie.



Je cite:



L'irresponsabilité des syndicats!



Ce jusqu'au-boutisme des syndicats français est totalement irresponsable. On a très certainement

le record du monde en matière de grèves. Ça mine la compétitivité de notre pays.

Que feront-ils de leurs "accumulations d'acquis sociaux" quand Air France aura été acculée au

dépot de bilan?



Beaucoup d'électeurs se posent des questions! Est-ce que la gauche est mieux que la doite, rien

n'est moins sûr!

Renault se délocalise partiellement au Maroc! Avec un salaire de 250€ par mois ce n'est pas

étonnant que la France soit minée par le chômage !!!



Voir l'article bien plus complet sur Trading Sat.

Toujours à propos des grèves à répétition en France.

Voici les commentaires émis par un investisseur en bourse.



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Je cite:



Attention aux acquis!



Lorsque l'entreprise n'existe plus, et les exemples sont nombreux, adieu les acquis sociaux. Les

jusquauboutistes devraient y réfléchir, mais hélas, eux ne payent pas souvent l'addition, ils

sont là pour faire de la mousse et du vent. Hélas, en France, on fait grève d'abord, et on

discute après, mais c'est souvent trop tard, l'entreprise est alors exsangue; ce n'est pas le

cas de nos voisins allemands, où les grèves sont rares, et les discussions aboutissent le plus

souvent sans conflit. Les Allemands ont toujours le sens du travail que les Français n'ont jamais

eu.

Pas mal du tout cette réflexion:





Mon cher Bert



la confusion, infusion ,mixage CSG /impôts sur le revenu est l'illustration d'un énarque qui

n'a jamais rien fait d'autre que de la politique à la recherche de plus de justice pour les uns

ou plus d'impôts pour d'autres , il reste et il demeure que simplifier l'imposition avec une

envie de justice n'est pas une mesure attendue par le peuple sauf si le politique engage sa

responsabilité ,ses revenus et son patrimoine au cas où les résultats fixés par lui ne seraient

pas atteints .

Au cas où Bert croit en l'espoir d'une autre politique , qu'il sache que ses revenus ,

patrimoines sont mis en cause par le politique qui ne lui demande qu'une chose : Tu votes et

pendant 5 ans tu m'admires .

C'est en tout la terrible réalité de la démocratie française!

Moodys!!



Après la perte du triple AAA, la France, ce "fier pays" dirigée par un incapable, est désormais

assortie d'une surveillance négative...Mr Baroin, "prend acte de la décision de

Moodys"...bravo, bel effort...et après, concrètement, que va-t-il se passer ? !!! Nous apprenons

aussi que -je cite - "la politique du gouvernement s'inscrit dans un cadre et une méthode de long

terme".On répond cela lorsque l'on a plus grand chose à dire (et surtout à faire) et que l'on

a définitivement baissé les bras...la fameuse "méthode de long terme", le gouvernement de

Fillon aurait dû l'appliquer depuis au moins 2007...!!! mais nous,le peuple, que pouvons-nous

faire, hein ? (avez-vous une solution ?)

De toute façon, Mr le Président risque d'être réélu avec le report des voix, si le FN

n'obtient pas ses parrainages...(donc pour résumer, c'est reparti pour cinq ans...youpi !!!)

NON MAIS !!



T'imagines tu places 38 € et ça te rapporte 12€ en moins de 2 ans . Je continue à croire

qu'il y a des trucs qui m'échappent et qu'on fait tout pour m'énerver.



Tu m'étonnes que les grecs y trinquent !!!

Réponse excellente faite par un lecteur, je vous laisse juger par vous même.



Je cite:



ON A DE LA CHANCE



Déficits 100 milliards: ON réduit les dépenses et ON augmente les recettes par moitié SUPER

MALIN!

Pour les recettes on fait payer les riches SUPER MALIN!

Pour réduire les dépenses surtout ne pas en parler avant l'élection SUPER MALIN!

et pourtant la réalité nous saute au visage , c'est l'état qui coûte trop cher et pas les

français qui travaillent mais à force de désindustrialiser la France par une administration

omniprésente et asphyxiante il faut comprendre que c'est le privé qui fait vivre ce système et

pas son administration: je regrette mais ce qui crée la richesse ce n'est pas l'administration

même s'il en faut une .

Alors il faut réduire jusqu'à 100 milliards l'ensemble du fonctionnement de l'administration et

il est absurde de croire qu'il y des administrations plus importantes que d'autres lorsque le

déficit est de 100 milliards .

ON LE RÉDUIT ET DANS LE BUDGET SUIVANT ON REPARTIT DIFFÉREMMENT LES RICHESSES.

JE REFUSE D'ETRE GREC DANS CETTE GESTION LAXISTE !

lundi les députés ont refusés de voter une baisse de 10% de leurs rémunérations...

moulbi95a écrit : lundi les députés ont refusés de voter une baisse de 10% de

leurs rémunérations...



Ah oui et combien gagnent les députés grecs ?



Je viens de regarder, ils sont parmi les mieux payés d'Europe, 8500 euros par mois !



http://www.wikistrike.com/article-un-depute-grec-8500-euros-mois-de-salaire-8500-euros-d-indemnites-

pour-ses-frais-logement-bur-99215871.html

Une broutille KOA!!!

Rien de nouveau sous le soleil en Europe... Ah si, pardon : un accord a été trouvé pour le

versement de la nouvelle tranche d'aide à la Grèce !



Mais prudence. Oui, la Grèce va se voir une nouvelle fois sauvée par les efforts conjoints de

l'Europe, de la Banque centrale européenne et du FMI.



La plupart des commentateurs restent cependant très prudents. Certes, la Grèce a évité – pour

le moment – le défaut désorganisé. Certes, elle peut maintenant rembourser les 13,5 milliards

d'euros dus le mois prochain. Mais son problème d'endettement est loin d'être réglé.



Pour respecter l'accord de l'Eurogroupe, la Grèce -- par le biais de 35 privatisations prévues

de 2012 à 2014 -- doit lever 19 milliards d'euros, permettant ainsi l'abaissement de sa dette à

120% de son PIB contre 160% aujourd'hui.



Mais la Troïka compte surtout sur une reprise de la croissance en Grèce pour alléger cet

endettement. Comme le soulignaient hier certains hauts fonctionnaires de l'Union européenne,

"nous pensons que la Grèce renouera avec la croissance en 2014 [...] Nous anticipons une

contraction de 4,5% cette année et une stagnation en 2013. Cela correspond à une contraction de

plus de 17% sur quatre ans".



De notre côté, nous serions même plus pessimistes : un retour de la croissance en 2014, est-ce

possible ? Athènes doit encore supprimer 150 000 emplois et réduire le coût du travail de 15%

dans les trois ans à venir !



Pour résumer, la situation de la Grèce ne s'est pas améliorée entre lundi et mardi dernier.

La Grèce considère l'Europe comme sa banque particulière.

Faut bien payer leurs indemnités vu que les riches grecs ne règlent pas d'impôts.

Y'a qu'à regarder le ministre grec des finances, il a abusé de la bonne cuisine

(http://www.authentic-holidays.com/f/habitations_greece/recettes.html) : moussaka...

Après ça, on dit que les Grecs doivent se serrer la ceinture. Je crois qu'il est plus que temps!

Il s'engraisse avec ce que l'Europe leur a donné., donné oui car c'est à fond perdu!!

Savez-vous à quand remonte le dernier budget à l'équilibre de notre pays ?



1973. La France est dans le rouge depuis plus d'une génération ! De 1974 (élection de Valéry

Giscard d'Estaing) à aujourd'hui, la dette française est passée de 21,2% du PIB à 86,2% du

PIB.



C'est pas beau ça???

Qui va rembourser, ne serait-ce que les intérêts ??? Oui qui avec plus de 4 millions de chômeurs.

Alors votez Sarko le roi de France! Avocat du diable oui !!

Perte et gains correspondants.

Soyons logique !



Avant d'être de gauche droite centre... la tipp revient à l'état , les régions ont également

une taxe pétrolière et tous les taxeurs sont actifs mais nous simple payeur nous préférons payer

plus sur le capital suivant la mode taxeuse ou que chacun paie son énergie fossile en fonction de

sa consommation .

En période de déficit volontairement maintenu à 100 milliards€ par un état qui refuse

d'économiser sur son fonctionnement , une baisse de la TIPP doit être compensée .

L'état de part une gestion calamiteuse par des hauts fonctionnaires est en FAILLITE pas moi

...pour l'instant.

Pour ceusses qui pigent l'English: évolution de l'inflation officielle et non officielle.

on nous ment, puique je vous le dis!!!



Bigre, Peugeot est vraiment dans la déche

Peugeot est mort vive Peugeot.

Je suis consterné, envisager une alliance avec un groupe comme GM qui n'arrive ou ne veut pas

aider Opel à sortir de l'ornière.

Et on veut y ajouter psa!!

La politique de GM est de museler son adversaire pour ensuite l'étrangler pour la laisser mourir

doucement mais surement!

Mais quand je lis les commentaires des journalistes qui vantent cette approche suicidaire, je me dis

que le monde est totalement corrompu.

Money money, vaille que vaille et en dépit de tous les peuples de la terre.

Les riches qui se vautrent dans leur matelas de liasse domiciliés en suisse avec la bénédiction

des gouvernements européens!

Mais attention, il y a eu le printemps arabes pour des raisons similaires.

Le monde géré par une petite minorité!!

C'est sur !!



Qu'innover , créer sont des nécessités mais usent des capitaux et à quoi servent les capitaux

de nos fous politiques à résorber un déficit qu'ils ont créées, qu'ils continuent à soutenir

. Peu d'espoir tant qu'un plan INÉVITABLE de rigueur permettant un déficit zero ne sera pas mis

en place.

Tous le savent des médias aux fous politiques et/ou financiers et l'état imperturbable continue

à dépenser plus tout en ponctionnant tout ce qui peut être ponctionner .

Pourquoi croire en l'avenir tant qu'on n'a pas ANNULER ce déficit ??

On peut croire à un plan Marshall , une aide européenne mais il reste et il demeure pourquoi

attendre demain pour annuler ce déficit ?

Demain on rase gratis...

La jalousie est le maître mot du Socialisme.



Devant la diversité des milieux de recrutement du vote des socialistes, j' ai cherché le point

commun = et je suis arrivée à la conclusion que pour être socialiste ,il suffit d'être jaloux

/// quelle que soit sa propre situation ; il y a toujours quelqu'un de plus haut, de plus riche, de

plus malin etc ... D'où une assez grosse base électorale avec une bonne partie de la Nomenclatura

du pays d'ailleurs (De Berger à DSK en passant par tous ceux qui vous viennent à l' esprit) ...

ils sont d'ailleurs autant d'évadés fiscaux que la droite hyper fric ...>>> Ceci dit = quand on

voit l' état financier des Régions socialistes (emprunts pourris / népotisme/ dépenses

somptuaires -stade -casino) et qu'on lit ROSE mafia ... on n'a pas très envie de les voir à la

Tête de la France !

ils me font rigoler ! ( jaune)!!

Il suffit de voir l'endettement du département de la Corrèze, présidé par Mr Hollande. C'est

le département le plus endetté de France, y compris l'outre mer. S'il est président, avec ce

programme dans moins de cinq ans on est encore plus bas que la Grèce.

Et si l'évolution du marché boursier espagnol préfigurait ce qui pourrait se passer en France

dans quelques semaines ?



L'Ibex 35, le baromètre de la Bourse espagnole, est le seul grand indice mondial à s'inscrire en

repli depuis le début de l'année, à ne pas profiter de l'embellie généralisée des marchés.

Et la divergence s'est confirmée depuis que, le 2 mars, l'encre du pacte de discipline

budgétaire européenne à peine sèche, Mariano Rajoy, le chef du gouvernement espagnol, a averti

qu'il renonçait unilatéralement à l'objectif de déficit public initialement fixé à 4,4 %

pour 2012, annonçant viser désormais 5,8 %. Certes, cette décision n'explique sans doute pas à

elle seule la méforme du marché espagnol, mais elle montre que, même si la crise de la dette est

aujourd'hui moins aiguë qu'à l'automne, les investisseurs restent très vigilants sur le sujet.

A l'inverse, la belle performance du marché italien met en évidence l'accueil favorable

réservé à la politique de Mario Monti.



Le lien avec la France ? L'élection présidentielle, bien sûr. En cette période où, au rythme

d'une nouvelle promesse par jour, les deux favoris jouent de la surenchère dans tous les domaines,

la perspective de la réduction du déficit public pour respecter l'objectif de 3 % du PIB en 2013

passe à la trappe. Il est plus facile et surtout plus populaire de promettre pêle-mêle

d'instaurer une tranche d'imposition à 75 %, de restreindre l'immigration, de mettre en place un

service public de la petite enfance, de réformer le congé parental… Parler de réduction du

train de vie de l'Etat, de cure d'amincissement de la fonction publique est un sujet bien moins

apte à soulever l'adhésion des électeurs. Dans ce contexte, à quelques exceptions près, les

programmes mettent l'accent sur les dépenses plus que sur les économies et prennent pour variable

d'ajustement des taux de croissance économique dont tout le monde sait pertinemment qu'ils ne

seront pas atteints. François Hollande va même plus loin en proposant de ne pas ratifier le

traité européen s'il n'est pas modifié, pour y inclure un volet sur la relance de la

croissance. Si la politique suivie par le président élu suivait scrupuleusement son programme

électoral, cela se saurait. Pour reprendre la formule du « petit père Queuille » remise au goût

du jour par Jacques Chirac, « les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent ». Les

électeurs ne sont pas assez naïfs pour imaginer que toutes les dépenses prévues seront engagées

; il n'en reste pas moins que les premières décisions du président reprennent toujours, peu ou

prou, certaines mesures emblématiques de son programme.



Dans ce contexte, on peut craindre un rapide rappel à l'ordre de nos partenaires européens et des

marchés, même si la mondialisation de la finance fait que la politique intérieure a aujourd'hui

bien moins d'influence sur les Bourses nationales qu'il y a trente ans (au lendemain de

l'élection de François Mitterrand, le 10 mai 1981, aucune grande valeur n'avait pu être cotée,

et les actions françaises avaient chuté de 16 % sur la semaine).



La question est de savoir combien de temps il faudra pour que soit pris l'inéluctable virage de la

rigueur. Deux ans comme en 1981, six mois comme en 1995, après l'élection de Jacques Chirac sur

le thème de la fracture sociale ? Moins, sans doute…



Rémi Le bailly du Journal Investir.

QUI CROIRE ??



Entre ceux qui veulent réduire le déficit en intégrant une croissance qui forcément sera atone

puisque tous les pays à l'initiative de l’Allemagne sont engagés en même temps dans un

processus de rigueur, et ceux qui veulent réduire le déficit par une baisse sans délai des

dépenses publiques pour respecter le pacte budgétaire .

En fait vous n'avez pas le choix car personne ne propose une baisse sans délai des dépenses

budgétaires pour respecter le pacte budgétaire .



Le choix qui vous reste c'est soutenir un bras de fer avec l’Allemagne qui reste la 1ère place

économique Européenne ou converger vers elle .



Nous sommes tous prêts à faire des efforts pour remettre notre pays à son niveau mais nos

politiques ont de vielles méthodes et la démocratie est totalement figée par l'absence de

référendum d'initiative populaire comme il en existe dans une démocratie moderne .



Le changement est possible il faut faire évoluer la démocratie.

NEW YORK, 20 mars (Reuters) - Wall Street a reflué mardi, réagissant aux signes semblant

témoigner d'un ralentissement de l'économie chinoise.



La Chine a relevé les prix des carburants pour la deuxième fois en moins de six semaines, ce qui a

pesé sur la cote en général et les valeurs de l'énergie en particulier.



BHP Billiton, le premier groupe minier mondial, a dit qu'il semblait que la demande de minerai de

fer de la deuxième économie mondiale stagnait.



L'indice Dow Jones perd 68,94 points (0,52%) à 13.170,19. L'indice S&P-500 cède 4,23 points

(0,3%) 1.405,52. L'indice Nasdaq Composite abandonne 4,17 points (0,14%) à 3.074,15.



Les participants ne voient toutefois dans cette baisse qu'une pause qui permettra de repartir de

l'avant.



"Est-ce que je pense qu'on est mûr pour un recul? Oui. Est-ce que je pense que ce n'est que le

début? Non", a dit Mike Shea (Direct Access Partners) durant la séance. "Les nouvelles de Chine

ont poussé tout le monde à faire une pause mais le sentiment n'a pas changé; il reste

haussier".

La fourmi: victime du système financier !



D'abord, la pauvre, ne reçoit pas l'éducation nécessaire: point ou peu de connaissances

financières dans les écoles! Au contraire! "Faut se méfier de la bourse", ces "boursicoteurs"

(propos dénigrant), ne sont que des rapaces! L'"actionnaire" est un ogre et non pas un allié

économique!

Les politiciens eux touillent cette mélasse et punissent ces "exploiteurs" qui sont -forcément-

des richards "cossus", pas du tout des petits épargnant qui prennent des risques créateurs

d'emplois ! Alors on les assomme avec le gourdin de la taxation et les badauds d'applaudir !!

Faut revoir sa copie et "éduquer" le peuple : tâche immense !!!

LONDRES (Dow Jones)--Le nombre de chômeurs dans la zone euro a atteint un nouveau record historique

en février, tandis que le taux de chômage a de nouveau progressé par rapport au mois

précédent.



Selon les données fournies par l'agence européenne de la statistique Eurostat, le taux de

chômage est monté à 10,8% en février, contre 10,7% en janvier. Ce taux, qui ressort conforme aux

attentes, est à son niveau le plus élevé depuis juin 1997.



Le nombre de chômeurs a crû au total de 162.000 personnes en février, à 17,13 millions, dans la

zone euro, enregistrant son plus haut niveau depuis la création de cette statistique en janvier

1995.



Au sein même de la zone euro, la situation du marché de l'emploi diverge fortement d'un pays à

l'autre, les Etats membres confrontés à d'importants problèmes de dette et ayant adopté des

programmes d'austérité étant ceux qui enregistrent l'augmentation la plus rapide du chômage.



En Allemagne, le taux de chômage est ressorti stable à 5,7%, tandis qu'il est passé en Espagne

de 23,3% à 23,6% en février. En Grèce, le taux de chômage a atteint 21%, mais cet indicateur

remonte à décembre 2011 et devrait avoir encore progressé depuis.



-Paul Hannon, Dow Jones Newswires

La France prospère , on peut considérer que cela est fini ! Effectivement , le plus dur est devant

nous . On nous parle de relancer la croissance à crédit, qui va le croire ? Renault , Peugeot ...

sont à la peine. Wolkswagen affiche une croissance insolente ! Nos politiques ne se sont pas

souciés de la croissance pendant des décennies , on ne rattrape pas comme cela le temps perdu .

Les premiers chocs pétroliers n'ont pas étés suivis d'effets . Nous n' avons pas pensé

l'après pétrole, et les nouvelles énergies verront le jour dans la précipitation et

l'amateurisme de nos politiques . Et là , nous nous ferrons encore dépasser !

Pertinent.

Le jour de gloire est arrivé!



" T' es sur facebook ? ". Cette question au moins aussi débile, voir même largement plus en

fait, que le " t' es où " du téléphone mobile, on a sûrement dû déjà vous la poser au

cours des derniers mois. Si ce n' est pas le cas, rassurez vous, cette question tombera tôt ou

tard. Et attention à la réponse. Vous avez en effet tout intérêt à y être préparé, et autant

dire qu' il sera préférable pour vous de répondre avec un grand OUI, si possible accompagné d'

un enthousiasmant : " C' est génial !!! ". Dans le cas contraire, vous serez immédiatement, et

sans le moindre appel, catalogué comme étant le plus RINGARD qui soit. Votre vie ne sera alors

plus. En 2012 il faut en effet ABSOLUMENT être sur FACEBOOK, même si personne n' est

véritablement capable de dire pourquoi. Toute une génération de débiles a donc désormais envahi

la toile, suivi par toutes les autres générations qui ne veulent surtout pas passer pour des

hasbeens. On vous le dit et répète, FACEBOOK c' est tout simplement génial. On y dévoile son

intimité en s' étonnant par la suite, avec stupéfaction, que tout le monde y a finalement

accès. La photo du petit dernier se balade donc sur la toile sans savoir quel en est l' intérêt.

On y donne aussi rendez-vous à d' autres crétins pour une boum chez mémé prévue avec dix

invités au départ et 3000 à l' arrivée, alors qu' il paraît tout de même plus simple de

décrocher son téléphone pour appeler ses potes. C' est le progrès on vous dit. Le progrès a

tout de même une drôle de gueule parfois, convenons en, surtout quand on voit la tronche des

accros à FACEBOOK. Des geeks à l' image du PDG de FACEBOOK qui ressemble à s' y méprendre à

n' importe quel étudiant mal dégrossi évoluant tant bien que mal en colocation. Mais ne vous y

trompez pas, sous ses airs d' étudiant un rien boutonneux, Mark Zuckerberg, PDG du groupe, a de la

suite dans les idées. Le but final étant en effet MERCANTILE. Il s' agit en effet de faire des

dollars. Un maximum de dollars. Facebook va donc changer de statut. Le réseau " social " ( un

bien grand mot ), s' introduit donc ce vendredi sur le Nasdaq, en signant par la même la plus

grosse entrée en Bourse pour une valeur " internet " avec à la clé une valorisation qui devrait

être supérieure à plus de 100 milliards de dollars. Du lourd donc. Du très lourd même. L'

entrée s' annonce fracassante pour Facebook. Huit ans après son lancement dans une chambre "

crado " d' étudiants d' Harvard sera donc probablement la plus importante entrée en Bourse du

marché américain. 421 millions d' actions au prix de 38 dollars pièce seront donc mis sur le

marché. L' histoire dit déjà qu' on s' y bouscule, et qu' il n' en aurait donc pas pour tout

le monde. Notre " geek " des temps modernes, âgé de 28 ans, sera bien entendu au siège de

Facebook pour fêter l' évènement comme il se doit.



Reste donc à savoir ce que vaut vraiment FACEBOOK à terme. Les mauvaises langues disent pas

grand-chose. Le groupe ne serait qu' une coquille vide au potentiel assez limité. Le site aux plus

de 900 millions d' utilisateurs a en effet quelques boulets aux pieds. La croissance du groupe

étant en effet, dans l' absolu, loin d' être phénoménale, même si elle a encore atteint 45 %

au premier trimestre. A noter que beaucoup d' utilisateurs sont des mobinautes, entendez par là,

des crétins évoluant dans la rue, et que dans ces conditions, il est difficile d' avoir une

couverture publicitaire éfficace par le biais d' appareils mobiles. Surtout que sur les 900

millions d' utilisateurs il y a quand même un maximum de demeurés au pouvoir d' achat peu

conséquent. D' un point de vu financier, FACEBOOK n' est donc pas encore la panacée. Mais bon,

au stade actuel, FACEBOOK reste incontournable. Personne ne peut le nier. En attendant, MARK

ZUCKERBERG n' a pas trop de soucis à se faire. Il a en effet toutes les chances de grimper encore

dans la liste des milliardaires avec sa part de près de 20 % dans la société. En attendant, le

jour de gloire est arrivé !



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