* Pensées d'OSCAR. *
C'est le moment d'ouvrir les yeux.
Jusqu'ici, la pensée unique partait du principe que la planète abrite entre 1 150 et 1 350
milliards de barils d'or noir.
Au rythme de consommation actuel - quelque 80 millions de barils par jour -, cela nous fait une
bonne quarantaine d'années de consommation.
Les réserves sont exagérées de 30 % !!
Le problème, c'est que l'université d'Oxford vient de révéler que les réserves mondiales
seraient plutôt dans une fourchette de 850 à 900 milliards de barils, soit un tiers de moins.
Soit, au maximum, trente ans de consommation actuelle , sans compter l'augmentation de la
consommation en Chine ou en Inde.
M. M.

chocs pétroliers des années 70.
Bon...
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Alors que l' Europe est sérieusement embourbée, que certaines questions ( justifiées ) se posent
autour de la reprise américaine, il est donc normal que nos yeux se tournent vers les pays
émergents. La croissance mondiale a conduit l'OCDE a être revue à la hausse il y a peu. Les PIB
de pays comme la Thailande sont actuellement en plein boom. En Chine et en Inde on reste également
à des niveaux très élevés. Sur le papier, tout va donc très bien. Mais évidemment, la
problèmatique de la surchauffe n'est pas à sous-estimer. On l'a encore récemment vu avec la
Chine. La problèmatique immobilière de cette dernière devenant chaque jour plus préoccupante. Il
ne faudrait donc pas que ce " beau moteur " de croissance finisse par s'emballer, pour
finalement...casser... !
Les craintes concernant l'inflation des pays émergents ne sont en effet pas à prendre à la
légère. Ils restent très importants, et peuvent toujours mettre à mal la croissance mondiale, ce
qui n'arrangerait évidemment pas les affaires de certains. Ceci étant, il ne faut pas non plus
céder à la panique. Les mouvements de surchauffe ne mènent pas systèmatiquement à une casse
moteur. Quand même pas !
Sur le long terme, les craintes d'inflation des pays émergents ne sont pas de nature à
compromettre la croissance de ces derniers. Il y a bien certes quelques envolées du prix des
denrées alimentaires dans des pays comme la Chine ou le Brésil, mais c'est finalement assez
logique. Ce n'est donc pas bien grave, et il est donc peu probable que cela puisse finalement nuire
à la croissance respective des pays en question.
La Chine, l'Inde et même le Brésil ont manifestement entamé leurs " Trente Glorieuses ".
C'est un fait. Après la demande extérieur, c' est en effet le développement intérieur qui est
en train de véritablement exploser. La pérennité de leur croissance est donc désormais assurée
pour un bon moment, et ce malgré les risques inflationnistes.
Pendant ce temps, l'Europe tente toujours de limiter les dégâts, des déguâts déjà grave !

T. F.

~~~~~~~~~~~~~~ La Tyrannie des vivants. ~~~~~~~~~~~~~~~~
Chaque générations semble croire qu'elle est la 1ère à se tenir debout et que ses pères et
mères marchaient à 4 pattes et hurlaient à la lune ! Même quand les vivants font mine d'admirer
quelque ancêtre défunt, c'est le plus souvent sans prêter la moindre attention à ce qu'avaient
pu dire ou savoir ce pauvre type.
Les morts nous transmettent leurs mémoires, leurs évangiles, leurs histoires et leurs
Constitutions - car qu'est-ce qu'une Constitution, sinon un pacte avec les morts? -, et nous nous
n'en tenons aucun compte.
Nous semblons considérer que tout ce qu'ils ont pu souffrir et endurer, que toutes les erreurs
qu'ils ont pu commettre ne méritent pas plus d'intérêt que la remarque d'un participant à
Koh-Lanta souffrant d'insolation: " C'est ... bizarre... quoi... j'veux dire..."
B. B.

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Qui va payer toutes nos dettes ??
Si le véritable problème était un manque de dépenses, il appellerait la solution la plus
agréable depuis l'invention du sexologue.
Tous les gouvernements s' y mettraient !
Hélas, le VRAI problème est l'inverse. Il s'agit de la conséquence d'un excès de dépenses -
de dettes.
Plus de dépenses gouvernementales égalent plus de dettes;
Qui les paiera ? Les contribuables ? Les cons, les consommateurs ? Les épargnants ?
Les investisseurs ? Les prêteurs ? Les jeunes ? Les vieux ? Les femmes ??
Personne ne le sait vraiment.
Vous le savez vous ??
Mais tout le monde va le découvrir. Cela ne fait aucun doute.

B. B.

*** Une vraie restructuration des budgets publics est impérative... ***
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Par Dr. Eberhardt Unger (*)
Dans la plupart des pays de l'OCDE, le secteur financier croît plus rapidement que l'économie
réelle.
Les banques centrales tentent de soutenir la relance économique avec des taux d'intérêt aussi
faibles que possible et leurs "mesures non conventionnelles". Mais toutes ces mesures ne suffisent
pas à faire redémarrer la croissance économique ni à réduire la forte croissance des déficits
publics.
Prenons pour exemple les projections de la Banque des Règlements Internationaux (BRI) concernant le
développement futur de l'économie. Dans un premier scénario (ligne rouge) on suppose que la
dette nationale continue d'augmenter au même rythme, et dans un deuxième (ligne verte) que des
petites économies progressives sont entreprises.
Comme l'expérience le montre, les promesses d'épargne de l'Etat ne sont souvent que des
"belles paroles".
Dans le premier scénario, la dette publique des Etats-Unis passe en 2040 à 450% du PIB. Avec une
hypothèse d'un taux d'intérêt nominal de 5%, la charge d'intérêt représentera alors autour
des 22,5% du PIB.
Dans le deuxième scénario, avec des ajustements progressifs, la charge des intérêts sera
d'environ 15% du PIB américain.
Cependant, cela n'arrivera pas puisque l'économie américaine sera déjà devenue insolvable.
D'ailleurs, les craintes au sujet de l'insolvabilité d'un Etat pourraient déclencher une hausse
significative des taux d'intérêt et ébranler le système financier existant.
Conclusion :
=========
Sans une véritable restructuration financière dans les pays industrialisés, il faudra compter sur
une nouvelle et profonde crise économique accompagnée d'une inflation élevée. Puisque ce
scénario ne peut être exclu, les investisseurs orientés long terme devraient prendre des mesures
de protection de leurs portefeuilles. ( BXX et BX4...etc).
B. B.
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En " bon " politique qui se respecte, Obama n'a pû s'empêcher de crier victoire en ce qui
concerne la régulation financière des USA. Selon lui, WALL STREET aurait donc cédé à ses
exigences en matière de régulation financière. Dans la réalité c'est tout de même un peu plus
compliqué que cela, et force est donc de constater que le Président Obama n'a finalement fait que
de la... " politique " afin de calmer la grogne de l'opinion publique.
La nouvelle loi de régulation financière est en fait basée sur deux axes principaux, à savoir
d'une part, la régulation du système financier, qui reste en fait bien floue ne serait-ce que
dans sa seule définition, et d'autre part la protection du consommateur qui semble quant à elle,
bien plus claire.
Obama, même s'il préfère tirer à vue sur les banques, a tout de même bien compris que la grave
crise qui a eu lieu, provient, notamment, du fait que les " intermédiaires " du " système "
ont proposé tout une gamme de produits à des ménages insolvables. Car, il s'agit bien de cela au
départ. Il s'agissait de vendre du " rêve " à une population qui n'avait pas les moyens d'y
accéder de part le fait d'une politique salariale dégageant des salaires dérisoires ne
permettant donc pas de devenir propriétaire de son habitation.
La nouvelle loi comporte donc notamment des protections concernant le démarchage des prêts
hypothécaires dans un pays où il était aussi facile de vendre du " subprime " qu'un
aspirateur. Une autorité de surveillance a donc été créée en ce sens au sein de la " célèbre
" Fed. On serait tenté de dire : " il était temps ! ".
L'autre volet concerne donc la " fameuse " régulation financière ", dont on ne sait pas trop
de quoi il s'agit en fait. Et c'est là le problème depuis le début de cette crise. La "
régulation financière " ne veut en effet pas dire grand chose dans l'absolu. Cela reste en effet
aussi vaste que vague. Réguler un " système " dont on a peine à définir les contours, en dit
long sur la complexité de la problèmatique.
Il va donc s'agir de " surveiller " les marchés, sans qu'on sache une fois encore, ce que cela
peut bien signifier. La principale mesure est donc la création d'un conseil de surveillance de la
stabilité financière rassemblant plusieurs membres de différentes autorités financières
existants déjà, mais absolument pas coordonnées jusqu'alors. En " gros ", il y avait déjà un
système de régulation effective, mais personne ne " communiquait " comme il se devait.
Franchement rien de vraiment nouveau en fait. Il s'agira " juste " d'être un peu plus rigoureux
en évitant de " glander ".
La loi verse cependant dans le " comique " à ce propos, car il est stipulé que le conseil de
surveillance en question sera doté de personnel " très qualifié " rodé au monde de la finance,
ce qui n'était pas le cas jusqu'alors. Le personnel de ce type d'instances ayant le plus souvent
eu la réputation " justifiée " d'avoir trois trains de retard, et d'y connaitre finalement pas
grand chose en matière de marchés financiers. En fait, concernant les autorités en question, aux
USA comme en France par exemple, il s'agit bien souvent de " placards dorés " à destination de
fonctionnaires n'y connaissant strictement rien, et qui se contentent donc de jouer aux cartes
toute la journée. Les dossiers sont toujours traités, quand ils le sont, avec un retard totalement
incompatible avec la réactivité permanente des marchés financiers. On l'a d'ailleurs vu il y a
peu en France, avec l'AMF. L'enquête, fort longue, concernant EADS a en effet finalement
accouché d'une souris. Cela résume tout.
Cette " nouvelle " autorité sera donc chargée de " surveiller " ou même " réguler ", de
son propre chef le cas échéant, des sociétés financières qui peuvent peser lourd sur les
marchés, et qui n'ont pas le statut de banques. Le " meilleur " exemple étant l'assureur AIG
qui n'était absolument pas surveillé malgré son importance.
Le conseil de surveillance va donc surveiller de près tout ce beau monde, ce qui, aussi surprenant
que cela puisse paraitre, ne l'était donc absolument pas. Des recommandations particulières
seront donc effectuées à la FED concernant la complexité des montages financiers susceptibles de
créer des réactions en chaîne pouvant mener à l'éffondrement d'un système.
On remarquera cependant qu'il ne s' agit donc que de " surveillance ". Les montages financiers
toujours plus complexes ne seront en effet absolument pas interdits. En clair, rien ne change
vraiment. On surveille juste. Le but étant que la faillite d'un acteur, n'entraîne pas les
autres. Les éventuels risques devront donc être identifiés, avec une information à l'attention
du public de la part du conseil de surveillance en question, le cas échéant. Transparence donc...
Mouais mouais...
Autre point de la loi : le " fameux Volker Rule " du nom de l'ancien gouverneur de la FED qui
consiste donc à ce que les banques de dépôts n'aient plus d'activités de marché pour compte
propre. En clair, cela signifie que les banques concernées devront se contenter de faire fructifier
l'argent de leurs clients mais sans uliliser leurs propres capitaux pour faire de la spéculation
financière. Là, on a quand même envie de sourire quant on connait la complexité des montages
financiers qui peuvent permettre aux banques de faire croire n'importe quoi à qui veut bien
l'entendre, et ce, précisons le, en toute légalité.
Les capitaux propres seront donc surveillés, sur le " papier " tout du moins. L'effet de levier
sera également limité apparemment. Le but de tout ceci étant que ce ne soit pas le contribuable
qui fasse les frais des " errements" de la Haute Finance.
Et qui dit Haute Finance, dit évidemment " produits dérivés ". Ces produits " complexes "
posent en effet problème, même si leur existence même n'a jamais été remis en cause,
aujourd'hui comme hier. Il s'agira " juste " de les " surveiller " encore et encore. Des
chambres de compensation seront donc-éventuellement-créées. Transparence on vous dit...
Les rénumérations des dirigeants ne seront également pas oubliés. Enfin, sur le " papier "
surtout. Le nouveau cadre défini ne semblant en effet pas vraiment stricte. Quant au sort des
opérateurs de marchés, à savoir les fameux TRADERS, il n'est même pas évoqué...
Les " fameux HEDGE FUNDS " montrés du doigt à plusieurs reprises devront également
s'enregistrer auprès de la SEC. En fait, rien de nouveau à ce propos. Et quand on connait la
complexité des montages financiers de ce type d'officines on a une fois encore envie de sourire...
Etc... Etc... et BLABLABLA... 2300 pages sont disponibles...
En fait, rien de vraiment neuf. Il s'agit de SURVEILLER encore et encore. Les grandes lignes sont
les mêmes qu'auparavant, sauf qu'elles doivent désormais être respectées. Reste qu'avec le
temps, chacun sait que la surveillance finit toujours par se relacher peu à peu, à fortiori avec
des intervenants qui n'y connaissent pas grand chose, et qui préfèrent " glander ".
La nouvelle loi de régulation financière n'INTERDIT donc STRICTEMENT RIEN. Elle préconise
simplement plus de TRANSPARENCE par le biais d'une surveillance accrue. Reste que ceux qui
surveillent doivent être compétents, et surtout réactifs. C'est pas gagné!
Au final, on peut donc dire qu'OBAMA a compris que la Finance pesait très lourd pour les USA, et
qu'il ne fallait donc absolument pas tuer la poule aux oeufs d'or. Les obstacles sont donc très
peu nombreux, et comme l'homme s'adapte toujours, il passera outre relativement facilement. Le
reste du BLABLA n'est que politique.

T. F.

Obama souhaite laver plus blanc que blanc. La " nouvelle " réforme financière de WALL STREET est
donc en route. Un des volets de cette réforme est celui concernant les activités de trading pour
compte propre des grandes banques américaines. Les " spécialistes " américains souhaitent en
effet limiter la spéculation pure et dure, afin de tenter d'éviter de nouvelles grosses crises
comme celle que nous venons de vivre. Les banques américaines vont donc devoir s'organiser. Enfin,
elles ont quand même le temps, car la nouvelle legislation n'entrera en vigueur qu'en...2017 !
Juste par rapport à cette date, on a quand même envie de rire au passage. Plus de 6 ans pour
passer à travers les mailles du filet, cela en dit quand même long. Réguler sans vouloir vraiment
réguler en somme. En fait, il ne s'agit surtout pas de TUER WALL STREET. Bien au contraire.
Même si 2017 parait à juste titre une échéance lointaine, certaines banques, telle CITIGROUP par
exemple, ont quand même choisi de prendre les devants. Il s'agit donc de s'organiser au plus vite
afin que les TRADERS ne quittent tout de même pas le navire. La concurrence demeurant toujours
aussi rude dans le secteur, il est plus que nécessaire de s'adapter.
A terme, c'est à dire en 2017, les banques américaines ne pourront donc plus " spéculer " pour
compte propre. Enfin sur le papier surtout. Dans la réalité, il va en effet être assez facile de
contourner la problèmatique. Lorsqu'un obstacle apparait, il " suffit " simplement de
l'éviter, et quand en plus on vous laisse le temps de le faire, c'est appréciable.
CITIGROUP a donc déjà trouvé la parade. En fait, elle est tellement simple, qu'une fois encore,
on a quand même envie d'en rire. CITIGROUP, comme toutes les entités financières de la planète,
possèdent en effet de nombreux...HEDGE FUNDS... Les équipes de TRADERS pour compte propre seront
donc " gentiment " déplacées vers un ou plusieurs HEDGE FUNDS de la banque. Et voilà que le
tour est joué. Simple comme bonjour. Les TRADERS de la banques vont donc devenir des gérants de
HEDGE FUNDS. Car il faut bien le dire, le trading rapport très gros pour les banques. On voit donc
mal comment elles pourraient s'en passer. Impossible à l'heure actuelle de faire l'impasse sur
le trading. Bien au contraire. C'est une des seules activités qui soit-paradoxalement-sûre à
l'heure actuelle. Le trading rapporte beaucoup d'argent et ne connait pas la crise.
Reste que les TRADERS devront aussi s'adapter. En étant au sein des HEDGES FUNDS de leur employeur
respectif, ils serront en effet en contact assez direct avec les investisseurs. La " pilule "
devrait cependant passée assez facilement avec la promesse de bonus ou autres " petits "
avantages. A part les spécialistes du trading, les banques américaines " classiques " qui
veulent encore spéculer n'auront pas vraiment le choix, et prendront donc probablement toutes les
même dispositions en ce qui concerne le trading.
Obama n'a donc fait que de la politique. Pour le reste, il ne fait que rendre service aux grands
établissements bancaires américains. Il leur permet en fait de mieux travailler pour faire de
l'argent. En séparant leurs différentes activités, les banques y verront en effet bien plus
clair, en leur permettant donc d'être bien plus rentable à terme.
De l'autre côté, le peuple qui n'y comprend pas grand chose, pour ne pas dire rien du tout, sera
rassuré. Par contre, les " petites " banques américaines continuent de " couler " chaque jour,
et ce dans l''indifférence la plus totale, et ce alors qu'elles n'ont jamais eu la moindre
activité de trading.
On ne prête décidemment qu'aux riches. Les autres n'ont qu'à crever la bouche ouverte. Charge
aux politiques de juste faire croire le contraire.
Trading F.

classements), elle reste dans le palmarès des pays les mieux notés par les agences de notation.
Depuis 1975, elle conserve ainsi son « AAA », la meilleure note qui soit pour un état émetteur
de dette, notamment grâce à de bons revenus fiscaux et un déficit budgétaire plus faible que
celui des Etats-Unis par exemple.
Mais dans un contexte de crise mondiale, et suite à un ralentissement de croissance, la France
va-t-elle réussir à garder son triple A décerné par les grandes agences de notation ?
Le 18 août 2011, l'agence de notation Standard & Poor's, qui avait abaissé peu avant le triple A
des Etats-Unis, rassurait le gouvernement français, en assurant qu'elle restait « confiante sur
cette note ».
La note de la France désormais menacée
Mais la situation a bien changé depuis. La perspective d'une perte du triple A se fait de plus en
plus forte, surtout depuis novembre : l'agence Moody's avertissait il y a peu qu'une hausse des
taux des obligations françaises serait néfaste pour la note de l'Hexagone. Elle estime ainsi que
l'abaissement de la note permettrait à la France d'emprunter à des taux avantageux sur les
marchés.
Cette même agence a d'ailleurs menacé le 28 novembre la note de tous les autres pays de l'Union
Européenne, même celle de l'Allemagne, considérée comme "le modèle européen" !
Le 30 novembre, une petite agence de notation américaine, Egan-Jones, a de son côté abaissé de 2
crans la note de la France, passant de "AA-" à "A". Pour cette agence, le pays avait déjà
perdu son "AAA" en juillet...

d'après-midi dans une séance extrêmement volatile, les investisseurs jugeant anxiogènes les
propos d'Angela Merkel sur la crise en zone euro.
A 15h13, l'indice CAC 40 recule de 1,13% après avoir gagné plus de 1% quelques minutes
auparavant, soutenu alors par les propos de Mario Draghi, le président de la Banque centrale
européenne (BCE) qui a par ailleurs annoncé une baisse des taux directeurs.
Depuis le début de la journée, le CAC 40 évolue entre 3.126,94 et 3.215,59 points.
La Bourse de Londres cède 0,23%, celle de Francfort 1,24% et la place milanaise abandonne 1,91%.
L'indice paneuropéen EuroStoxx 50 perd 1,09%.
"Le marché plonge après les propos une nouvelle fois anxiogènes d'Angela Merkel. Selon elle, il
faudra des années de travail pour se remettre de la crise et l'euro reste en danger", commente un
vendeur actions en poste à Paris.

responsabilité.
C'est la naiveté de ma jeunesse
sous-performer presque toutes les autres régions du globe.
N'oublions pas que les USA vont devenir indépendant en énergie pétrolière grace au shiste. Ils
n'auront plus tellement besoin des pays de moyen orient. Ne pas oublier que les ricains possèdent
les quasi meilleures universités du monde. Et les bons ingénieurs y sont accueillis les bras
ouverts. Le système fiscal est bien loin d'être aussi féroce que le système Français. C'est
bien connu que, trop d'impôts tue l'impôt.
Mais Sarkosy et ses ministres ne sont pas des économistes loin de là. Ce sont, pour la mojorité,
des avocats qui promettent monts et merveille à qui veut bien les écouter.
A vos méditations...

France, selon Crédit Agricole Cheuvreux. Le gouvernement souhaite mettre en place une TVA sociale,
qui consiste à diminuer les cotisations sociales en compensant cette baisse par une augmentation de
la TVA. Une baisse de 6 points de pourcentage des charges sociales aurait un effet positif net de 2%
sur le résultat net 2010 de BNP Paribas , de 3% sur celui de Société Générale et de 9% sur
celui de Crédit Agricole . BNP Paribas recule de 0,9%, à 28,19 euros, tandis que Société
Générale perd 2%, à 15,26 euros. Crédit Agricole cède 1,5%, à 4,07 euros.
Dow Jones Newswires

Et le petit porteur dans tout ça? Et la place bousière de Paris, que devient-elle???

trimestre, selon des données publiées vendredi par l'institut national des statistitiques, contre
21,5% au troisième.
Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé en moyenne un taux de 22,2%. L'Espagne
connaît le chômage le plus élevé de l'Union européenne.

pas trop étonné qu'il y ait récession dans certains pays.


membre de la zone euro, a affirmé Lakshmi Mittal, président-directeur général d'ArcelorMittal
(MT) lors d'un entretien téléphonique mardi.
"Il y avait beaucoup d'appréhension avant Noël, mais j'étais à Davos pour m'entretenir avec
des responsables politiques et des hommes d'affaires et ils font tout leur possible pour préserver
l'unité", a-t-il expliqué. "Je pense que le risque d'un démantèlement de l'euro est bien
plus faible à présent".
L'Europe "va se sortir de cette crise vaille que vaille en 2012", a estimé Lakshmi Mittal. Dans
l'ensemble, néanmoins, "l'Europe reste un vrai motif d'inquiétudes", a-t-il ajouté.
Le géant sidérurgique ArcelorMittal a annoncé mardi une perte nette de 1 milliard de dollars au
titre du quatrième trimestre 2011, contre une perte nette de 780 millions de dollars à la même
période un an plus tôt. Pour l'ensemble de l'exercice 2011, il a dégagé un bénéfice net de
2,26 milliards de dollars, contre 2,92 milliards de dollars en 2010. :-)
a dit mercredi une source gouvernementale, citant des chiffres figurant dans un projet d'accord,
envoyé au Fonds monétaire international (FMI), relatif au nouveau plan d'aide du pays.
Le recul du produit intérieur brut (PIB) 2012 sera donc bien plus important que la baisse de 2,8%
retenue dans le budget 2012 présenté en novembre.
Les économistes interrogés fin janvier par Reuters voient le PIB de la Grèce baisser de 3,7% en
2012.
Selon d'autres sources, il figure dans le projet d'accord transmis au FMI l'engagement de prendre
des mesures fiscales représentant 13 milliards d'euros d'ici 2015.
Les chefs des trois partis de la coalition gouvernementale grecque sont actuellement en réunion
pour tenter de se mettre d'accord sur les réformes exigées par les bailleurs de fonds d'Athènes
en échange d'un deuxième plan d'aide.
Le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a annoncé mercredi dans un communiqué avoir
convoqué une réunion des ministres des Finances de la zone euro jeudi à Bruxelles, réunion qui
doit notamment permettre de décider des grandes lignes du nouveau plan d'aide à Athènes.
On n'est pas sorti de l'auberge si je puis dire.

Ils ne sont pas un peu bargeots ???

Comment va -t'on produire de l'électricité ???

d'ici à 2025!!!
Ils ne sont pas un peu bargeots ???

Comment va -t'on produire de l'électricité ???
en faisant pédaler le écolos ...
ou il faudra revenir à la bougie pour s'éclairer et ... se chauffer.
J'espère que ceux qui prônent ça sont prêts à aller dans les mines de charbon ou à souffler
très fort sur les éoliennes
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