(BFM Bourse) - Plus de sept ans après les faits, le procès de la class action lancée en 2002 par des actionnaires estimant avoir été floués par Jean-Marie Messier, ex-PDG de Vivendi Universal, et Guillaume Hannezo, ex-directeur financier, démarre aujourd'hui aux Etats-Unis.
Une procédure judiciaire à risque pour le groupe de télécommunications et de médias. Les Echos soulignent lundi qu'elle pourrait théoriquement déboucher sur le paiement de plusieurs centaines de millions d'euros de dommages-intérêts.
Beaucoup plus d'après La Tribune, sachant que les plaignants estiment le préjudice à plusieurs milliards de dollars et que le droit américain permet d'infliger des dommages allant jusqu'à trois fois le préjudice. Le procès devrait durer deux à trois mois pour un verdict à la fin de l'année. Reste qu'il pourrait être écourté si Vivendi décide de transiger à l'amiable avec les plaignants.
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