(BFM Bourse) - Le gouvernement n'exclut pas de monter au capital de certains groupes automobiles, indique Luc Chatel dans un entretien au Figaro.
« Les besoins des constructeurs ne sont pas forcément en fonds propres, mais en contrepartie de notre soutien financier, la montée dans le capital peut, dans certains cas, être une monnaie d'échange », explique le secrétaire d'Etat à l'industrie, à la veille de la tenue des Etats généraux de l'automobile.
« Les choses ne sont pas tranchées », indique M. Chatel à propos du plan de soutien d'aide au secteur. « Crédits bonifiés, garantie d'emprunts, obligations convertibles… On étudie toutes les possibilités. La question majeure est celle des contreparties », ajoute-t-il, précisant que « ce plan ne sera pas un cadeau » et que « les constructeurs devront s'engager […], notamment sur le maintien des sites industriels en France ».
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