(BFM Bourse) - « Il y a probablement encore d'autres provisions », a confié Frédéric Oudéa, le patron de la Société Générale, au Financial Times, une semaine après l'annonce par la banque de dépréciations et provisions de 1,4 milliard d'euros sur ses actifs toxiques.
Des provisions que le dirigeant voit comme une sorte d' « élagage » destiné à renforcer la structure de la banque, et dont celle-ci verra les bénéfices d'ici la mi-2011, lorsque les questions autour des nouvelles exigences réglementaires en capital auront abouti.
Cet élagage va continuer cette année. Mais cela devrait rester « gérable comparé à la génération de revenus de la banque et du fait que le plus gros [des provisions] a été passé », déclare Frédéric Oudéa au FT.
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