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Le blé

30/07/2009 par Ancien20666 0
Achetez du blé avec votre blé.

Ce n'est pas moi qui le dit mais Marc Mayor, "faire du blé avec son blé". Il parait que le blé

va être malade d'ici peu, alors achetez du blé! =/
31/08/2009 par Ancien20666 0
Evolution défavorable sur le blé, éviter le blé. =/
31/08/2009 par Ancien10186 0
Salut OSCAR tu vas bien

HHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAA tu peux m'en parler du ble ,j'en produis et en vends en ce moment et j'en

fais pas beaucoup du ble

Le ble c'est comme le reste des cereales ,c'est un secteur a eviter pour cette annee il peux y

avoir une reprise avant l'hiver et si elle ne se fais pas apres c'est termine pour jusqu'a la

recolte prochaine car apres le mois de janvier les acheteur seront couvert.



Ou a tu eut l'article qui dis que le ble vas etre malade?J'en ai recu un de la vie

financiere(money) et n'arrive pas a le recuperer si tu as cet article peux tu me l'envoyer ,mon

technico_commercial le voudrais



moi j'en ai un bref qui dis que80 pour cent de la production mondiale est menace a cause de la

rouille noire Ug99 QUI A TOUCHE L4AFRIQUE ET L'IRAN

A PLUS BONNE APREM
31/08/2009 par Ancien20666 0
ALEXA,



Je suis désolé, j'ai perdu mon article sur la maladie du blé. Ce qui est certain c'est qu'il

est malade, de quoi? Je n'en sais trop rien, me rappèle plus !



Je te mets un autre article qui devrait t'intéresser au plus haut point:

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Sécuriser ses approvisionnements : la course aux terres agricoles a commencé

Chris Mayer

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Quand l'Iran achète du blé aux Etats-Unis...



Au cours de l'été, l'Iran a acheté une grande quantité -- plus d'un million de tonnes –- de

blé en provenance des Etats-Unis.



C'est quelque chose qui ne s'était pas vu depuis 27 ans. Dans le cas de l'Iran, une sévère

sécheresse a amputé un tiers des récoltes de blé, obligeant le pays à se tourner vers

l'étranger. Mais tout de même, le fait que l'Iran ait dû s'adresser aux Etats-Unis est

révélateur. C'est un peu comme si Lee avait demandé à Grant de partager quelques rations au

cours de l'été 1863.



Probablement l'Iran n'avait-il pas le choix!

Comme le dit un analyste : "Vous pensez vraiment que les Iraniens se tourneraient vers les

Etats-Unis s'ils avaient la possibilité de s'adresser à qui que ce soit d'autre... Ils

ratissent le monde entier à la recherche de blé. Ils achètent le blé américain parce que c'est

le seul qu'ils puissent acheter."



Les marchés, comme pour de grands drames improvisés, élaborent leurs propres intrigues en temps

réel. Aujourd'hui, une nouvelle histoire se trame au sein du boom de l'agriculture. Elle débute

avec des importateurs qui ont de moins en moins d'alternatives quand ils partent à la recherche de

grandes quantités de céréales de qualité. Mais en toile de fond, on découvre un problème bien

plus profond : une émergente pénurie en sols fertiles.



Une nouvelle tendance émerge : la pénurie en sols fertiles.



En fait, d'ici quelques années, les terres arables pourraient devenir plus importantes pour la

valeur des terrains que le pétrole ou les minéraux souterrains. Certains prétendent qu'elles

sont déjà des atouts stratégiques au même titre que le pétrole.



Vous en doutez ?



Tendance au repli des pays exportateurs.



Considérez les restrictions grandissantes sur les exportations tout autour du globe, qui agissent

comme des barrières afin de conserver les denrées à l'intérieur des frontières. L'Inde

restreint ses exportations de riz. L'Ukraine suspend tout bonnement ses expéditions de blé. Le

nombre de régions exportant des céréales a fondu, comme les troupeaux de bisons en voie de

disparition.



Les pays exportateurs sont de moins en moins nombreux!



Avant la Seconde Guerre mondiale, seule l'Europe importait des céréales. Aussi récemment que

pendant les années 30, l'Amérique du Sud produisait deux fois plus de céréales que l'Amérique

du Nord. L'ancienne Union soviétique, quelque soient ses défauts, exportait. L'Afrique était

autosuffisante. Aujourd'hui, restent seulement trois exportateurs majeurs : l'Amérique du Nord,

l'Australie et la Nouvelle-Zélande.



D'où les risques grandissants sur l'approvisionnement mondial

C'est donc sans surprise que la confiance en l'approvisionnement de la chaîne alimentaire

mondiale se trouve au plus bas.



Voilà aussi pourquoi la course à l'obtention de terres agricoles a commencé. L'Arabie Saoudite,

par exemple, possède très peu d'atouts qui lui permettraient de produire sa propre nourriture.

"Le royaume", rapporte le Financial Times, "parcourt le globe à la recherche de terres arables,

recherche qui a conduit les officiels saoudiens au Soudan, en Ukraine, au Pakistan et en

Thaïlande." La quête de l'Arabie Saoudite n'est pas de celles qui peuvent être poursuivies en

solitaire. Il y a beaucoup d'autres chasseurs.



La course aux terres agricoles a commencé.



La Libye cherche à louer des fermes en Ukraine. La Corée du Sud s'intéresse à la Mongolie et

vient de signer avec Madagascar un bail de 99 ans portant sur la location de 1,3 million d'hectares

de terres potentiellement arables. C'est la moitié de la superficie de la Belgique !



Même la Chine contemple la possibilité d'investir dans des terres agricoles en Asie du Sud-Est.

Car si la Chine possède d'abondantes surfaces cultivables, elle ne possède pas assez d'eau !



Sécuriser ses approvisionnements en alimentation de base.



"C'est une nouvelle tendance au sein de la crise globale de la chaîne alimentaire", déclare

Joachim von Braun, directeur le l'Institut international de recherche sur les politiques

alimentaires. "La force dominante aujourd'hui est d'assurer l'approvisionnement en nourriture."

Les prix des produits alimentaires reflètent cette tension.



La crise du futur ? Celle des terres arables!



Les médias se concentrent sur des problèmes de population, de changements des habitudes

alimentaires et sur l'impact des biocarburants. La chose dont on ne parle pas pourrait pourtant

s'avérer la plus importante : une pénurie grandissante en terrains cultivables de qualité.

Appelez ça la crise des terres arables.



Un sol de qualité est lâche et tassé, rempli de poches d'air et regorge de vie. C'est un

microsystème complet. En moyenne, la planète ne possède pas plus d'UN mètre de terre cultivable

sur sa surface. Le problème est que nous la perdons plus vite que nous ne pouvons la remplacer. Et

la remplacer n'est pas facile.



Nos fermiers sont assis sur une mine d'or !



Cela n'a pas échappé aux investisseurs avisés. Jeremy Grantham, le patron de la société de

gestion GMO, a écrit à propos du déclin des terres dans sa dernière lettre trimestrielle. "Nos

fermiers sont assis sur une mine d'or ! Oui, la terre est incroyablement profonde, mais elle a ses

limites."



Au cours des dernières décennies du XXe siècle, la superficie allouée à de nouvelles cultures

par défrichage compensait les pertes globales. Dans les années 80, la surface des terres agricoles

a commencé a diminué pour la première fois depuis que cette humble humanité a commencé à

cultiver les riches terres du Tigre et de l'Euphrate. Elle continue à chuter aujourd'hui.



Les terres cultivables diminuent dramatiquement, partout sur la planète.



Nous perdons des surfaces cultivables au profit du développement, de l'érosion et de la

désertification. "Globalement, il est clair que nous érodons les sols beaucoup plus vite qu'ils

ne peuvent se reformer", déclare John Reganold, un géologue de l'université de Washington.



Les estimations sont variables. Aux Etats-Unis, l'académie nationale des Sciences dit que nous

sommes en train de détruire les sols 10 fois plus vite qu'ils ne se régénèrent. Les Nations

unies disent que sur le plan mondial, les pertes sont 10 à 100 fois plus rapides que les

remplacements.



Quoi qu'il en soit, il est prudent de reconnaître que les réserves en terres arables sont

clairsemées.



Acheter des terres agricoles ?

C'est difficile à réaliser en tant qu'investisseur individuel, mais il existe quelques

possibilités. Au cours du temps, davantage d'idées d'investissement vont apparaître. La crise

des terres arables va durer longtemps. D'ici là, les investisseurs pourraient revisiter

l'expression "aussi bon marché qu'une poignée de terre".



Voilà, voilà !!! ^^
31/08/2009 par Ancien10186 0
OUI MAIS COMMENT PEUT ON INVESTIR DANS DES TERRE AGRICOLE,,,,,,,,,,,,,,,,,,,??????????
01/09/2009 par Ancien20666 0
ALEXAa écrit : OUI MAIS COMMENT PEUT ON INVESTIR DANS DES TERRE

AGRICOLE,,,,,,,,,,,,,,,,,,,??????????




Je crois qu'il faut attendre. Pour le moment il n'y aucun moyen à ma connaissance. -_-
01/09/2009 par Ancien10186 0
salut osczar et les parts de GFA groupement foncier agricoles tu connais?

AU

01/09/2009 par Ancien20666 0
ALEXAa écrit : salut osczar et les parts de GFA groupement foncier agricoles tu

connais?

AU




Salut ALEXA,



J'en ai entendu parler mais je crois que c'est assez spécial comme placement. Les parts doivent

être très cher. Je préfère rester sur la bourse. :-)
01/09/2009 par Ancien10186 0
Mais tu etais pas specialise sur les bons?????

ET orpea ou ca en est et tu en a d'autre en vu?
15/10/2009 par Ancien20666 0
:p UP où DOWN !
19/10/2009 par Ancien20666 0
Bon sang mais achetez du blé, depuis le temps qu'on vous le dit ! =/

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