(BFM Bourse) - La transformation de Thomson, qui vient d'obtenir un accord avec ses créanciers pour restructurer sa dettte et se recentrer sur son coeur de métier, "va aussi passer par un changement de nom", déclare Frédéric Rose dans un entretien aux Echos.
Le PDG du fournisseur de services de travail de l'image aux créateurs de contenus juge en effet que le nom "Thomson" est une devenu un "fardeau", dans la mesure où le public rapproche toujours cette marque de l'électronique grand public, "alors que cela n'a plus rien à voir avec notre nouveau métier", souligne Frédéric Rose.
Au terme du délai qui lui était imparti, Thomson a présenté vendredi 24 juillet l'accord signé avec la quasi-totalité des banques créancières lui permettant de réduire sa dette et de poursuivre son activité. Près de la moitié de la dette de 2,8 milliards d'euros sera convertie en capital, tandis que Thomson va lancer parallèlement une augmentation de capital de 350 millions d'euros. Enfin, la dette restante de 1,5 milliard d'euros va être rééchelonnée.
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