(Cercle Finance) - La fusion entre Suez et Gaz de France devrait déboucher sur des synergies de l'ordre de 500 millions d'euros par an, provenant pour l'essentiel de l'approvisionnement en énergie et, dans une moindre mesure, d'économies en termes de coûts, a déclaré mardi le président de GDF, Jean-François Cirelli.
Il a tenu à souligner lors d'une conférence de presse que ces synergies, réalisées progressivement, bénéficieraient d'un 'effet plein et entier' au bout de trois ans.
Le nouvel ensemble, dont le nom n'a pas encore été déterminé, affichera une capitalisation boursière supérieure à 70 milliards d'euros, pour un excédent brut d'exploitation (Ebitda) annuel de l'ordre de 10 milliards d'euros.
Gérard Mestrallet, le PDG de Suez, a confirmé que la branche environnement serait conservé au sein du périmètre du groupe, la considérant comme une 'activité performante' ayant su redresser sa situation.
Il a souligné que la branche environnement contribuerait à 'quelques points de synergie supplémentaires' sous l'effet de son recentrage réussi.
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