(BFM Bourse) - Livrets, PER, assurance-vie, titres vifs, OPCVM, immobilier… La question de la diversification des actifs est au cœur des problématiques de tout investisseur. Le but de l’article est de voir comment il est possible, dans des conditions tarifaires particulièrement avantageuses, et un intermédiaire fiable, de diversifier ses investissements avec les actions et les trackers (ETF). Mais avant toute chose, de se poser les bonnes questions.
Bien se connaître, et se poser les bonnes questions
Diversifier ses investissements ? "Pourquoi" est la première porte d’entrée, la première question à se poser. Tout dépend naturellement de votre situation, vos besoins, vos projets. L’exemple de la construction d’une assurance-vie est à ce titre parlant : en fonction de votre propre appétence au risque, il est possible de faire varier la poche monétaire, et la poche en UC (Unités de Compte), et au sein même de cette poche en UC, de créer des briques à risque plus ou moins important.
Une fois identifié votre profil, en fonction de vos besoins, de votre personnalité, et de vos aspirations, vous pouvez construire une stratégie de diversification d’actifs. Sachant que le degré de liberté maximale est atteint lorsque vous choisissez vous même vos actifs, et que vous en décidez dans le temps le degré d’exposition, par des achats, des renforcements, des allègements et des reventes. C’est possible sur compte-titre ordinaire, en particulier sur actions (on parle de titres vifs que vous négociez vous même) et trackers (ETF).
Les intérêts de cette diversification
L’intérêt majeur, pour cette "poche" actions et ETF de vos investissements, c’est d’avoir la latitude complète dans vos choix d’allocations stratégiques. Sans intermédiaire - à part le courtier qui transmet vos ordres et s’assure de leur passage sur le marché -, les frais sont mécaniquement réduits. D’autant que des courtiers en ligne de grande fiabilité proposent désormais des frais de transaction particulièrement réduits. Ils sont particulièrement bas chez le néo-broker Trade Republic : 1 euro par transaction. Vous êtes alors votre propre conseiller en gestion de patrimoine..
Concernant la gestion passive, elle offre un intérêt, notamment dans la gestion des risques et la diversification sur des secteurs, des zones géographiques, voire des thématiques (la robotique, l’intelligence artificielle, l’investissement responsable, etc). Concrètement, on trouve dans cette famille les trackers ou ETF (Exchange Traded Funds). Il faut voir l’ETF comme un "panier" de valeurs. Il est catégorisé dans la gestion dite "passive", et se distingue ainsi d’un OPCVM classique de gestion dite "active". Concrètement, l’ETF suit les performances d’un indice. Il n’est pas le fruit des décisions d’achat et de vente d’un gérant. La composition des indices calqués est toutefois régulièrement révisée, par un travail de collaboration entre l’émetteur de l’ETF et le fournisseur de l’indice.
Encore faut-il pouvoir avoir le choix des actifs, minimiser ses frais, et opter pour une technologie sérieuse
La question naturelle de l’investisseur à l’heure du choix de son courtier est celle des frais de transactions. Car en multipliant le nombre de transactions, on multiplie les frais de transaction par opération, ce qui pénalise mécaniquement la performance de l’investissement sur la durée. Or chez les principaux courtiers en ligne - ne parlons pas des banques traditionnelles ! -, il n’est pas rare de voir des tarifs de courtage entre 0,30% et 0,40% par ligne, soit entre 30 et 40 euros pour une ligne de 10 000 euros. Idem à la revente. Or, Chez Trade Republic, seul un montant de 1euro par transaction est prélevé quelle que soit la transaction. Les plans d’investissement programmé en actions et ETF sont même sans frais de courtage.
Trivialement, se poser la question de la diversification de ses actifs, c’est chercher le cas échéant un courtier qui propose une réelle diversité d’actifs ! S’orienter vers une stratégie de diversification en actions et ETF demande donc de se renseigner sur la qualité et la profondeur du catalogue disponible chez le courtier de votre choix. Le bon courtier est celui qui vous permet d’investir là où vous le souhaitez. Par exemple, un focus sur Trade Republic : le courtier permet l’accès à plus 8 500 actions et EFT en France et à l’international.
La question de la technologie utilisée par le courtier, de sa fiabilité et par là même de votre confiance en ses services est indispensable à éclaircir. Mieux vaut donc un broker qui propose une infrastructure technologique solide, et ergonomique, qui se traduit côté client par une simplicité et une fluidité d’utilisation, gage de réactivité sur les marchés. Trade Republic a développé son système d’infrastructure technologique propriétaire, vous permettant des investissements en toute autonomie et sécurité, depuis votre ordinateur, ou pour les utilisateurs "nomades", depuis votre mobile, via l’application idoine. Placer un ordre ne vous coûtera qu’1 euro de frais externes. Les achats via les plans d’investissement programmés sont même sans aucun frais.
Dès lors, comment s’outiller pour commencer ? Quel type d’intermédiaire choisir ?
Par l’intermédiaire du néo-broker Trade Republic, vous investissez via la plateforme de négociation électronique LS Exchange gérée par la Bourse de Hambourg. Seulement euro par ordre est prélevé pour couvrir les frais externes, peu importe le montant de la transaction.
Ce broker, supervisé par la Bundesbank et la Bafin, donne accès à plus de à plus 8 500 actions et EFT en France et à l’international et plus de 3 500 actions ou ETF négociables en plan programmé, via une application mobile intuitive, sans commissions. Les transactions peuvent être effectués sans aucune commission variable chez Trade Republic, ce qui est rendu possible par une plateforme numérique de pointe permettant d’automatiser des processus complexes.
Créée en 2015, Trade Republic Bank GmbH allie la technologie de pointe d’une fintech à la fiabilité d’une banque de courtage de titres financiers allemande.
Ce contenu a été réalisé en partenariat avec Trade Republic. La rédaction de BFM Bourse n’a pas participé à la réalisation de ce contenu.