Les cas de coronavirus passent à 16.
Le ministre de la Santé, le Dr Chitalu Chilufya, a déclaré que la Zambie avait enregistré quatre nouveaux cas de COVID-19, ce qui porte le nombre total à 16 comme jeudi.
S’exprimant lors d’un point de presse, jeudi, le Dr Chilufya a déclaré que trois des quatre cas supplémentaires avaient voyagé du Pakistan et l’un d’eux, un résident de Luanshya, avait été en contact avec le voyageur du Pakistan sur leur vol de retour à Lusaka de Dubaï.
« Le nombre de cas confirmés en laboratoire de COVID-19 en Zambie est passé à 16. Nous avons enregistré quatre nouveaux cas, et trois cas concernent des personnes ayant des antécédents de voyage au Pakistan. Une affaire d’ane concernait un citoyen basé à Luanysha qui était sur le même vol de Dubaï à Lusaka quand ils ont interagi avec l’un des passagers qui venaient du Pakistan », a déclaré le Dr Chilufya.
« L’affaire a de nouveau impliqué un Zambien qui s’est rendu au Pakistan le 9 mars et est revenu le 18 mars. Lorsque nous avons donné suite à cette affaire, nous avons découvert qu’il y avait un certain nombre de personnes qui se sont rendues au Pakistan. Nous avons remarqué que le nombre était beaucoup plus que le nombre que nous pensions. Et en suivant tous ces cas et leurs contacts, c’est ainsi que nous avons réussi à identifier les huit cas qui ont ajouté aux quatre pour en faire 12. Les quatre cas dont nous parlons aujourd’hui à nouveau, trois sont liés au voyage au Pakistan et le troisième a également été lié, étant en contact avec l’une des personnes qui ont voyagé [au Pakistan]."
Il a dit que les quatre cas qui ont été enregistrés provenaient des 54 tests de contacts possibles avec ceux qui se sont rendus au Pakistan que lorsque testé mercredi.
« Nous tenons à vous assurer que l’équipe multisectorielle impliquée dans la surveillance du traçage des contacts a intensifié ses interventions conformément aux ordres de marche donnés par le président Edgar Lungu. Nous suivons tous les contacts associés aux cas qui sont entrés dans le pays et comme je l’ai dit plus tôt, le 16e cas est basé à Luanshya et nous savons aussi que l’une des personnes qui ont voyagé de retour du Pakistan s’est rendue à Petauke et nous suivons actuellement tout le monde », a déclaré le Dr Chilufya.
« Il est important de noter que c’est le système de sensibilisation aux alertes qui détecte de tels cas. Nous avons choisi quelqu’un à Luanshya qui vient de s’asseoir à côté du cas positif sur l’un des avions. Lorsque nous avons découvert que cette personne était positive, nous avons examiné les contacts, en commençant par les personnes qui étaient assises à côté ou à proximité de cette personne sur le vol.
Il a déclaré que le gouvernement était transparent dans la divulgation d’informations sur les cas enregistrés dans le pays et a assuré les gens que le pays était bien équipé avec des kits d’essai et des ventilateurs pour gérer l’éclosion du nouveau Coronavirus.
« Nous sommes transparents en tant que gouvernement dans la divulgation de l’information. Il n’y a aucune valeur à ce que nous cachions des informations. Aucun agent de santé n’aurait encore acquis COVID-19. Nous reconnaissons que les agents de santé sont à risque élevé et, en fait, il y a de nombreuses administrations qui ont fait preuve de vulnérabilité de la part du COVID-19 et nous avons mis en place des mesures pour nous assurer que notre personnel de première ligne est protégé contre l’obtention du COVID-19. Nous n’avons signalé aucun cas d’un revêtement avant obtenant COVID-19 », a déclaré le Dr Chilufya.
« Nous disposons de trousses de test adéquates dans le pays et nous continuons d’obtenir le soutien de nos divers partenaires. Nous avons des ventilateurs adéquats stratégiquement positionnés dans diverses régions du pays et nous sommes prêts pour les cas initiaux. Nous continuons d’investir dans l’équipement dans le cadre de notre programme de modernisation.
La Zambie, l’un des 5 pays où les installations de lavage des mains sont pauvres.
Le 25 mars 2020 Déposé sous: Dernières Nouvelles Posté par: Newsroom
458 Vues
Le monde n’étant pratiquement pas au point mort, car le coronavirus mortel menace le bien-être de la population, les données d’ONU Eau révèlent que la Zambie est l’un des cinq pays d’Afrique où les installations de lavage des mains sont pauvres.
Cela s’inscrit dans le contexte où l’une des principales mesures préventives pour faire face au virus mortel est l’hygiène personnelle qui comprend le lavage des mains régulièrement. Et les appels devraient être que le pays améliorer ses installations, si elle est d’arrêter la propagation de la maladie.
Pendant ce temps, selon le Public Service Accountability Monitor (PSAM), un portail d’information de l’ONU 2017 a révélé que cinq pays d’Afrique dotés des pires installations de lavage des mains et la Zambie en fait partie.
Sur les cinq pays, la Zambie comptait la plus forte proportion de la population de personnes qui n’avaient pas d’installations de lavage des mains à la maison dans les zones rurales et urbaines.
En 2017, moins de 20 % de toutes les personnes avaient accès à des installations de lavage des mains de base, selon le portail de données de l’ONU sur les ODD 6 », explique la PSAM.
« Au Zimbabwe, moins de 40 % de la population nationale totale avait accès à des installations de lavage des mains de base à la maison. Cependant, environ 50 % des citadins avaient accès au service de base. Les ménages ruraux sont particulièrement vulnérables », a ajouté la PSAM.
PSAM dit dans le sillage du coronavirus mortel populairement connu sous le nom COVID-19 manque d’installations de lavage des mains dans ces pays est une cause de graves préoccupations. PSAM est une organisation de la société civile qui promeut la responsabilité sociale en Afrique australe par la recherche, le renforcement des capacités et la défense des droits.
En Afrique du Sud, les habitants des zones rurales ont le plus faible accès aux installations de lavage des mains à la maison. En 2017, moins de 50 % de la population nationale disposait d’installations de lavage des mains de base à la maison.
Au Malawi, la majorité des gens avaient un accès limité aux installations de lavage des mains à la maison; avoir une certaine forme de station de lavage des mains, mais sans savon et eau.
Parmi les cinq pays, la Tanzanie s’en est mieux tirée car elle a eu la plus forte proportion de la population ayant un accès de base aux installations de lavage des mains à la maison; 60% dans les zones urbaines et 40% dans les zones rurales.
PSAM déclare que; « Cela est aggravé par l’effondrement des infrastructures, le manque de compétences pour y remédier, le manque d’entretien et les défaillances de la prestation des services municipaux locaux [entraînant] des eaux usées partiellement ou non traitées qui s’écoulent directement dans les ressources en eau dont dépendent les Sud-Africains.»
La pollution de l’eau en Afrique du Sud est endémique, ce qui entraîne des eaux de ruissellement encore moins appropriées disponibles provenant de l’irrigation, des effluents industriels et des rejets provenant d’établissements miniers et humains contribuent tous à nos problèmes de qualité de l’eau.
Dans le même temps, l’Objectif de développement durable numéro 6 comprend l’accès à une hygiène adéquate et équitable d’ici 2030. Les normes pour les soins de santé comprennent la disponibilité de l’offre à l’échelle de l’établissement de handrub d’alcool à chaque point de soins et un approvisionnement continu de nettoyage en cours d’exécution.
Les ODD, anciennement Objectifs de développement du millénaire (OMD) sont des objectifs de développement visant à répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.
Selon ONU Water, 3 milliards de personnes dans le monde (40 % de la population) vivent sans installations de lavage des mains de base; 1 établissement de soins de santé sur 6 n’a pas de service d’hygiène , pas d’installations d’hygiène des mains aux points de soins et pas de savon et d’eau dans les toilettes.
L’Agenda 2030 pour le développement durable, adopté par tous les États Membres des Nations Unies en 2015, fournit un plan commun pour la paix et la prospérité pour les peuples et la planète, aujourd’hui et dans l’avenir.
Au cœur, il y a les 17 ODD, qui sont un appel urgent à l’action de tous les pays, développés et en développement, dans le but de s’associer à l’échelle mondiale. Ils reconnaissent que la fin de la pauvreté et d’autres privations doit aller de pair avec des stratégies qui améliorent la santé et l’éducation, réduisent les inégalités et stimulent la croissance économique, tout en s’attaquant au changement climatique et en s’efforçant de préserver nos océans et nos forêts.
Coronavirus - Zambie : Réponse du gouvernement à l’éclosion du coronavirus 2019 (Covid-19)
À la suite de l’épidémie mondiale de coronavirus (COVID-19), l’Organisation mondiale de la santé a déclaré l’épidémie de COVID-19 une urgence de santé publique mondiale le 30 janvier 2020. L’épidémie a ensuite été mise à niveau vers un statut pandémique à la suite de la propagation mondiale de la maladie au début de mars 2020. Le gouvernement prend des mesures pour prévenir, détecter et veiller à ce que le risque de propagation du COVID-19 soit évité. À ce jour, la Zambie a enregistré trois (3) cas de la maladie.
À la suite de ce qui précède, les mesures suivantes s’appliquent avec effet immédiat
Les voyages non essentiels dans tous les pays ne doivent pas être autorisés;
Le retour des employés de la fonction publique des pays touchés est mis en quarantaine pour une période d’au moins quatorze (14) jours;
Toutes les autorités qui ont été accordées jusqu’à présent pour voyager à l’étranger sont révoquées par la présente. Une nouvelle approbation devrait être demandée pour les voyages essentiels à l’étranger seulement;
Les déplacements non essentiels en dehors des limites du district sont également annulés;
Les déplacements discrétionnaires dans des endroits comme les centres commerciaux ou les visites sociales devraient être réduits au minimum;
Les agents de supervision doivent s’assurer :
l’adhésion aux mesures de sécurité et de santé en milieu de travail;
des soins médicaux sont demandés immédiatement pour tout employé observé pour afficher des symptômes de COVID-19 sur le lieu de travail; Et
un employé qui se sent malade ou qui a un membre du ménage qui a obtenu un résultat positif pour que COVID-19 reste à la maison.
Les institutions devraient prendre des mesures pour s’assurer qu’il n’y a pas d’encombrement au poste de travail;
Les institutions devraient prendre des mesures pour s’assurer qu’il n’y a pas d’encombrement aux points de service;
Toutes les institutions pour fournir des installations d’assainissement à leur personnel et aux visiteurs ainsi que le maintien de bonnes pratiques d’hygiène dans l’environnement de travail;
Tous les employés sont tenus de s’assurer qu’ils respectent strictement les mesures préventives prescrites par le ministère de la Santé pour se protéger et protéger les autres contre la passation de marchés du COVID-19;
Des conférences, des réunions et des ateliers auxquels participent de grands groupes de personnes ne devraient pas avoir lieu avant d’être avisés;
Tous les comités provinciaux et de préparation aux épidémies de district sont activés par la présente et devraient être pleinement appuyés; Et
Tous les intervenants du secteur devraient participer pleinement à la mise en œuvre du Plan d’urgence Covid-19.
