MASTRAD : résultats annuels 2009/2010
Communiqué
Communiqué
RESULTATS ANNUELS 2009/2010
EBITDA consolidé : +57%
REX consolidé : +148%
Paris, le 11 octobre 2010 : MASTRAD (FR0004155687 – ALMAS), marque innovante dans les ustensiles
de cuisine, annonce aujourd’hui ses résultats annuels 2009/2010 clos au 30 juin 2010.
Résultats consolidés annuels 2009/2010 : forte amélioration de la rentabilité
Malgré une conjoncture difficile, le Groupe Mastrad a poursuivi l’amélioration de sa
rentabilité sur l’exercice, avec une multiplication par 2,5 de son résultat d’exploitation,
remplissant ainsi largement son objectif d’une croissance de la rentabilité supérieure à celle
du chiffre d’affaires (chiffres d’affaires annuels 2009/2010 en progression de 15%).
Normes françaises
En K€
30.06.09
12 mois
30.06.10
12 mois
Var.
(en %)
Chiffre d’affaires
22 639
26 027
+ 15%
EBITDA
1 721
2 700
+ 57%
Résultat d’exploitation
680
1 684
+ 148%
Variation de change nette
0
0
Résultat courant avant impôts
684
996
+45,5%
Impôts
387
566
Résultat net
365
420
+15%
Part des minoritaires *
445
384
Résultat net part du Groupe *
810
804
- 0,1%
* Données proforma au 30.06.09 (Kitchen Bazaar intégré à 49% dans les comptes de juillet 2008 à
mars 2009 et intégré à 100% d’avril à juin 2009)
Part des minoritaires : 314 K€ / Résultat net part du groupe : 679 K€
Le chiffre d’affaires consolidé s’établit à 26,0 M€, en croissance de 15% par rapport à
l’exercice précédent. Cette performance résulte de la reprise de l’activité à l’export et
de l’accélération des ventes de Mastrad Inc. au second semestre.
L’EBITDA consolidé s’établit à 2 700 K€, en progression de 57% par rapport à l’exercice
2008/2009, grâce à l’amélioration de la marge brute et à la maîtrise des frais Marketing et
Logistique, restés au même niveau que l’exercice précédent.
Le résultat d’exploitation consolidé ressort à 1 684 K€, soit une multiplication par 2,5 par
rapport à l’exercice précédent. La marge d’exploitation double en un an, passant de 3,0% à
6,5% du chiffre d’affaires sur l’exercice 2009/2010. Conformément à ses objectifs, MASTRAD a
su réaliser un exercice de croissance de son activité et de sa rentabilité d’exploitation.
Le résultat courant avant impôt s’établit à 996 K€, en progression de 45,5%.
Le résultat net part du Groupe de l’exercice 2009/2010 s’établit à 804 K€, impacté
notamment par des charges exceptionnelles liées aux frais de conseil pour l’acquisition des 49%
restants de Kitchen Bazaar et à la réorganisation de la force de vente. Cette réorganisation
permettra, à moindre coût dans le futur, une meilleure couverture du territoire et un meilleur
service.
Mastrad SA : forte progression de la rentabilité
Sur l’exercice 2009/2010 le chiffre d’affaires de Mastrad SA a progressé de 20,2% à 18,5
M€, notamment grâce à une croissance de ses ventes de près de 22,5% en France et à une reprise
de l’activité à l’export.
Le résultat d’exploitation de Mastrad SA s’établit à 2,5 M€, en hausse de 52,4%, soit un
rythme de progression supérieur à celui du chiffre d’affaires. La marge d’exploitation sur
l’exercice 2009/2010 ressort ainsi à 13,2% du chiffre d’affaires, contre 10,4% sur l’exercice
précédent.
Le résultat courant avant impôt s’établit quant à lui à 2,1 M€, en progression de 15% par
rapport à 2009.
Mastrad Inc. : maintien de la marge brute
Après un premier semestre impacté par le ralentissement de la consommation aux Etats-Unis, Mastrad
Inc. a fait preuve d’une très bonne résistance de son activité sur l’ensemble de l’exercice
et a réussi à maintenir sa marge brute malgré une très forte pression sur les prix.
Le chiffre d’affaires sur l’exercice ressort ainsi en progression de 8,6% à 2,5 M€ sur
l’ensemble de l’exercice, avec une nette reprise des ventes sur le second semestre (+63%). Le
résultat d’exploitation s’établit quant à lui à -142 K€.
La structure de la filiale américaine est donc adaptée et flexible et permet de répondre
efficacement aux tendances positives observées sur le marché américain depuis fin 2009.
Kitchen Bazaar : amélioration de la marge brute
Malgré un ralentissement de la fréquentation et la fermeture d’une boutique au mois de mai 2010,
l’activité de Kitchen Bazaar s’est nettement redressée au second semestre (+ 15% vs.
2008/2009) ; le chiffre d’affaires de l’enseigne sur l’ensemble de l’exercice ressort ainsi
en croissance de 1,2% à 5 M€.
La marge brute s’est légèrement améliorée (+1 point de marge vs. 2009) grâce à une bonne
maîtrise des frais fixes et l’EBITDA s’établit à -232 K€ contre -512 K€ au 30 juin 2009.
Le résultat d’exploitation est de -686 K€ sur l’exercice contre -810 K€ sur la période
précédente.
Le résultat courant avant impôt, impacté par une dépréciation du droit au bail (350 K€),
s’établit à -957 K€ (vs. -925 K€ en 2009).
Structure financière solide
Après l’augmentation de capital réservée de 1,2 M€ réalisée en partenariat avec OTC Asset
Management (juin 2010), les capitaux propres consolidés du Groupe s’élèvent à 10,4 M€ au 30
juin 2010. L’endettement financier brut, intégralement lié à Kitchen Bazaar, reste stable à
1,9 M€.
Malgré une croissance de l’activité sur l’exercice, le besoin en fonds de roulement est
quasiment stable sur l’exercice grâce à l’amélioration du poste créances clients.
Avec une trésorerie de 3,3 M€, la structure financière du Groupe reste donc extrêmement saine
et flexible pour assurer la poursuite d’une croissance rentable.
Perspectives 2010/2011 : poursuite d’une croissance rentable
Mathieu Lion, Président du Groupe MASTRAD, conclut : « MASTRAD a réalisé de bonnes performances
au cours de l’exercice 2009/2010 avec une progression de près de 15% de son activité, et surtout
une amélioration significative de sa rentabilité. Le renforcement de nos équipes R&D et la
réorganisation de notre force de vente nous ont permis de lancer avec succès près de 70
nouveautés cette année et les prestigieuses récompenses obtenues au cours de l’exercice
confirment une fois encore le caractère innovant et technologique de nos produits et la pertinence
de notre positionnement en France comme à l’international Les efforts mis en place nous
permettent ainsi d’envisager la poursuite de notre croissance rentable.»