Gold au jour le jour
son.
Moi, je fais tout ça sans vidéo. Ici c'est moi le spécialiste des matières premières.
Sais-tu que les pubs sont très difficilement admissibles ??

As-tu un portefeuille spécial Mat. 1ères ?? Si oui, on verra les résultats au bout d'un an. Je
te rappèle que je suis parti avec 10 000 Euros.

Ce n'est pas "l'esprit de la pub". Je ne vends rien. Je sais que les plus débutants d'entre
nous peuvent tirer qulque chose d'utile de ces vidéos. Le site me rapporte quelques centimes par
jour...Les meilleurs jours.


Ces derniers temps, un certain nombre de banques centrales de pays émergents se sont mises à
acheter de l’or pour diversifier leurs réserves de changes. Au début du mois, l’Inde a fait
savoir qu’elle en avait acquis 200 tonnes. Quelques jours plus tard, c’est la banque centrale du
Sri Lanka qui a révélé en avoir acheté 5 tonnes au mois de septembre. Si la quantité apparaît
bien modeste, elle est révélatrice d’un état d’esprit des pays émergents. Or au niveau
mondial, le métal jaune représente moins de 5% des réserves de changes, et les banques centrales
des pays émergents sont souspondérées par rapport à leurs homologues occidentales.
Alors que les banques centrales européenne et suisse ont commencé à vendre leur or en 1999,
année où l’once a touché un plus bas, on voit mal comment l’arrivée de nouveaux acheteurs
pourrait faire baisser les prix, même si la BCE et la BNS sont censées continuer à alimenter le
marché au cours des cinq prochaines années !
Ce ne sera donc pas une surprise si nous vous disons que le sentiment haussier sur l’once d’or a
progressé depuis le mois de septembre. Pour autant, s’il y a désormais un consensus haussier
bien établi sur les perspectives du métal jaune, celui-ci n’a pas encore atteint un niveau qui
nous inciterait à adopter un comportement contrarien, c'est-à-dire à vous conseiller de vendre
vos lingots, vos pièces ou vos trackers.
Les derniers chiffres du « Hulbert Gold Newsletter Sentiment Index » font apparaître un consensus
haussier de 54%. Or sur les deux dernières années, cet indice qui reflète l’opinion moyenne sur
l’or de 160 lettres financières américaines, a atteint un plus haut à 65% et son record
historique a même culminé à 89%. Replacé dans cette perspective, la hausse du métal jaune
amorcée depuis quelques mois ne nous paraît pas encore excessive.
Preuve par neuf des perspectives encore haussières de l’or, l’analyse technique indique qu’au
début du mois d’octobre, le métal précieux s’est affranchi d’une importante résistance
dont le point de départ remonte au mois de mars 2008.
Notre dernière recommandation sur l’once d’or envisageait un objectif de hausse à 1100$. Cet
objectif ayant été atteint il y a quelques jours, que convient-il de faire maintenant ? Notre
réponse est sans ambigüité et elle tient en trois mots : conserver les positions.
Le franchissement des 1000$ a libéré de nouvelles énergies. A Chicago, les positions ouvertes sur
les échéances février 2010 et avril 2010 ont fortement progressé, ce qui témoigne de
l’intérêt grandissant des investisseurs pour le métal jaune. Concernant les volumes échangés,
alors que le Money Flow avait atteint les 70% au mois de juillet 2008, celui-ci s’est vivement
dégonflé pour atteindre un an plus tard le niveau de 45% . Son niveau actuel, autour de 60%
n’indique pas un marché particulièrement suracheté.
Dans ces conditions, il n’est pas irrationnel d’envisager pour l'or un nouvel objectif de
hausse à 1300$.

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Notre cher métal jaune est partout, dans La Tribune du 18 novembre (le
magnétisme retrouvé de l’or), dans le Financial Times, sur BFM le matin du
19 novembre…
Il ne manquerait plus que l’or fasse la une du journal télévisé ce soir. Tout bon contrarien
s’angoisse quand l’investissement qu’il a repéré attire le troupeau. La phase maniaque, la
bulle et
son éclatement ne sont pas loin. Faut-il encore acheter ?
Dylan Grice, un de mes analystes préférés – contrarien et visionnaire - récemment recruté par
la
Société Générale, a sorti une note consacrée à l’or le 18 novembre, intitulée « Popular
delusion »
sous-titre « A minskian road to the next gold mania ». Traduction « Illusion populaire – la
future
phase maniaque de l’or selon Minsky* ».
C’est donc fébrilement, que j’ai ouvert ce document.
Si le dollar devait être garanti par de l’or, comme durant les années 1970, l’or vaudrait… 6
300 $
(4 200 €), commence Grice, donc l’or est bon marché. La dernière fois que les banques
centrales
ont été globalement acheteuses d’or, c’était entre 1968 et 1970. L’or valait moins de 50 $.
Deux
chocs pétroliers et dix ans après, l’or culminait à 780 $. Donc l’or est bon marché, dit
Grice.
Mais l’or vaut-il quelque chose ? Depuis le XVII siècle l’usage du papier-monnaie s’est
répandu.
Mais le papier a toujours été convertible en or, argent ou garanti par de l’or. Sauf depuis
trente
ans.
Mais une rupture vient de se produire : les gouvernements des pays riches sont insolvables, les
banques centrales qui impriment de l’argent sont discréditées, elles n’ont pas vu venir la
crise,
elles sont aux bottes des politiques et non au service de la souveraineté de leur monnaie.
Cette rupture est en fait la première phase du boom de l’or selon Grice. Ouf !
L’or n’est pas encore cher. Les vieux briscards attendront une consolidation, mais les nouveaux
croyants peuvent rentrer en confiance. :-)
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Depuis le début novembre, le cours de l’once d’or vole de record
en record à Londres. Ce 25 novembre il atteignait 1 193 dollars,
alors qu’il débutait le mois à 1 050 dollars.
La barre symbolique des 1 000 dollars est donc durablement
franchie. Et les experts s’accordent à dire que les 1 200 dollars ne
sont plus très loin, et même 1 300 pour les analystes américains !
En revanche, ils ne s’accordent pas vraiment sur la cause de cette
hausse record, ce qui rend difficile la prévision.
Est-elle liée à une très forte demande, essentiellement spéculative ?
Ou à la baisse continue du dollar, reflet d’une masse monétaire
non maîtrisée par la Réserve Fédérale US, ce qui affaiblit son rôle
comme monnaie-refuge ?
Notez néanmoins que le 17 novembre, le FMI a annoncé que l’île
Maurice a acquis 2 tonnes d’or pour une valeur de 71,7 millions
de dollars, toute petite partie des 403,3 tonnes mises en vente par
le FMI. Pour mémoire, la banque centrale indienne en a acheté 200
tonnes début novembre et le Vietnam va importer prochainement
6 tonnes pour sa Banque centrale.
Tout comme la Russie d’ailleurs (qui vient d’en acheter 15 tonnes
et prévoit d’en acheter encore autant d’ici la fin de l’année).
Ajoutez à ceci que la production aurifère mondiale est en baisse
depuis 2001 (2 400 tonnes en 2008). La seule possibilité de s’en
procurer sera de recycler le stock actuel.
Vous comprendrez que la hausse ne devrait pas s’arrêter tout
de suite. D’autant que, lorsque le cours descend un jour, il se
maintient à un niveau bas plus haut que le précédent.
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11 minières aurifères constituent l'indice XAU coté sur la place de Philadelphie : Agnico Eagle
Mines, Anglogold Ashanti, Barrick Gold Corp, Freeport-McMoran Copper & Gold, Gold Fields Ltd,
Goldcorp, Harmony Gold Mining, Kinross Gold, Meridian Gold, Newmont Mining, Pan American Silver.
matinal et 1.190,25 dollars vendredi après-midi.
Conseil: acheter aux approches de 1 100 $. Pas peur non plus !!


ouais, faut pas oublier que TOUS les emergents veulent de l'or.
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