Forum suspendu temporairement

INFOS GENERALES

26/06/2010 par Ancien20522 0
En plus Barrack il en a une grosse lui ....
27/06/2010 par Ancien28173 0
Moi je suis plutôt favorable à l'approche Merkel qu'Obama pour le coup. Je ne crois pas que

l'endettemement massif soit une solution viable, sinon les Grecs seraient l'une des économies des

+ forissantes au monde ;-).
27/06/2010 par Ancien10186 0
kpknna écrit : En plus Barrack il en a une grosse lui ....



il en a une plus grosse que sarko c'est sur c'est carla qui me la dis



elle ma dis chez sarko tout est rikiki:p et c'est pour cela qu'il s'accorde plus avec angela

,il avait pas ce qu'il fallait pour arriver a la hauteur
27/06/2010 par Ancien19143 0
Un communiqué flou et sans engagements, non chiffré, pour cacher les désaccords entre les pays:

==========================================================

Les pays développés s'engagent à réduire de moitié leurs déficits d'ici 2013, et à

stabiliser leur dette d'ici 2016. Mais le G20 se garde de prêcher l'austérité à tous les

étages.



De notre envoyée spéciale à Toronto.



N'en déplaise aux amateurs d'austérité, le G20 de Toronto n'aura pas été celui de la

rigueur. Sur la forme, les coûts exorbitants du sommet - 1,2 milliard de dollars canadiens, ou 900

millions d'euro-, montre que les pays développés, comme le Canada, ont encore de solides

réserves d'argent public à dépenser pour faire leur propre promotion. Sur le fond, les appels

américains à poursuivre les dépenses à court terme ont été entendus, même si Barack Obama a

eu du mal à laisser une place à «relance» dans le communiqué final.



«Nous devons laisser agir jusqu'au bout nos plans de relance budgétaires pour consolider la

reprise», indique le G20. «Des ajustements simultanés dans les plus grands pays risquent de

compromettre la reprise», ajoute la déclaration, qui porte aussi l'empreinte des grands pays

émergents (Chine Inde, Brésil, Russie).





Rigueur budgétaire



Pessimiste sur la reprise, jugée «fragile et inégale», très inquiet pour «le taux de chômage

qui atteint des niveaux inacceptables dans certains pays», le G20 accorde toujours la priorité à

la croissance. «Même Madame Merkel est d'accord pour faire plus de croissance!» confie Nicolas

Sarkozy.



Pour la première fois, toutefois, les vertus de la rigueur budgétaire sont reconnues au plus haut

niveau. «Des finances publiques solides sont essentielles pour soutenir la reprise, donner des

marges de manœuvre en cas de nouveau choc, et éviter de laisser aux générations futures un

héritage de déficit et de dettes» indique le G20.





Un engagement sans grand risque



Mais, gare aux plans de rigueur précipités! Le G20 ne prône pas l'austérité à tous les

étages. «L'ajustement budgétaire doit être calibré avec précaution pour soutenir la demande

privée» précise le texte. «Les mesures de consolidation doivent être étalées dans le temps,

favoriser la croissance, et différenciées selon les pays.»



Angela Merkel se félicite d'une avancée notable : le G20 entérine des objectifs de déficits et

de dette publique, calqués sur le pacte de stabilité européen, les sanctions en moins. Les pays

développés du G20 s'engagent à réduire leurs déficits de moitié d'ici 2013, et à stabiliser

leur dette sur PIB d'ici 2016. Il s'agissait d'une proposition canadienne, ce qui premier au

premier ministre Stephen Harper de crier victoire, à l'issue d'un sommet sans grande envergure.



Mais cet engagement chiffré du G20 ne fait pas peur à grand monde. L'Union européenne devrait

atteindre sans problème cet objectif, assure José Manuel Barroso. La France a déjà promis de

ramener son déficit de 8% aujourd'hui à 3% en 2013. Quant aux États-Unis, ils se sentent à

peine visés. Dans sa lettre adressée à ses partenaires du G20, pour les mettre en garde contre la

rigueur, Barack Obama avait renouvelé son engagement à réduire le déficit budgétaire américain

de moitié en 2013, afin de revenir à 3% de déficits en 2015.



27/06/2010 par Ancien19143 0
Sur France Info:



Le dirigeants des pays riches et des principaux pays émergents n’ont pas réussi à se mettre

d’accord sur des mesures pour faire revenir la croissance, au G20 de Toronto. Le sommet se

contente de recommander d’entreprendre une réduction des déficits "favorable à la

croissance". En marge du sommet, 500 manifestants ont été arrêtés par la police.

Les 500 personnes arrêtées par la police canadienne dans les rues de Toronto constituent sans la

réalisation la plus concrète de ce G20. Les nouveaux joujous des forces de l’ordre : canons à

eau et canons à sons, ses principales innovations.



Des incidents ont en effet éclaté. Quatre voitures de polices ont été incendiées, des vitrines

brisées. Et malgré un dispositif impressionnant, la police s’est laissé déborder, notamment

par les “Blacks bloc”, ces militants anarchistes habillés de noir. Les forces de l’ordre ont

dû faire usage de gaz lacrymogènes pour ramener le calme, et interpeler 500 personnes. Des

évènements très rares au Canada, et en particulier dans la très calme Toronto. Ce dispositif de

sécurité pèse lourd dans le coût du G20, qui fait dresser les cheveux sur les têtes des

Canadiens.



PAS D’ACCORD POLITIQUE

Ces incidents ne seront pas compensés par le bilan politique du G20. Les chefs d’Etat des pays

riches et des pays émergents ont eu beau admettre que le risque d’un retour de la récession

était réel, leurs désaccords étaient trop profonds et leurs intérêts trop divergents pour

qu’ils serrent les rangs.



La question était : doit-on consolider la maigre croissance en aidant l’économie, ou faut-il

réduire d’urgence les déficits pour l’assainir, au risque de tuer la reprise dans l’œuf ?

Le sommet n’a pas tranché, laissant à chacun le soin de mener la politique qu’il souhaite.

Chaque pays pourra réduire ses déficits à son rythme. Les participants ont accouché d’une

déclaration incantatoire, appelant à une réduction des déficits publics “favorable à la

croissance”.





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La seconde idée forte du G20 était une taxe sur les banques, qui consistait à les faire payer

pour les risques qu’elles prennent et par conséquent qu’elles font prendre à l’ensemble de

l’économie. Là encore, aucun accord ne s’est dégagé. L’Allemagne, la France et le

Royaume-Uni veulent en mettre une en place de leur côté dès l’an prochain. Les Etats-Unis,

après avoir été parmi les promoteurs de l’idée, ont choisi de ne pas choisir, en évitant de

prendre des décisions. D’autres pays, comme l’Australie, l’Inde ou la Chine y sont opposés,

estimant que leurs banques n’ont pas à être pénalisées pour une crise qu’elles n’ont pas

alimenté.



05/07/2010 par Ancien20522 0
Les marchés ne croient plus au sauveur



Claire Gatinois, Le samedi 3 juillet 2010, à 14h 14





Pour résumer la situation économique actuelle, l'Américain Edmund Phelps, Prix Nobel en 2006 et

fan de cinéma, a imaginé ce titre de film : The Last Dynamism of American Capitalism (Les Derniers

Jours du dynamisme du capitalisme américain).



Malheureusement, M. Phelps a peut-être raison. La vitalité de la reprise aux Etats-Unis, censée

compenser les faiblesses de la Vieille Europe, donne jour après jour des signes de mollesse. Au

point que les investisseurs redoutent de plus en plus une rechute de l'économie mondiale, avec à

la clé un nouvel épisode de récession.



Un scénario cauchemardesque qui a redonné le pouvoir aux Cassandre des marchés, ceux que l'on

appelle les 'bears'. Entre lundi 28 juin et vendredi 2 juillet, ils ont contribué à faire

plonger les indices du monde entier. Sur la période, le CAC 40, à Paris, a notamment reculé de

4,87 %. Le Footsie de Londres a, lui, affiché une baisse de 4,13 %, quand les places de Tokyo et de

New York ont reculé respectivement de 5,48 % et de 4,51 %.



Les investisseurs ont des raisons d'être anxieux, car les mauvaises nouvelles s'accumulent.

Dernière en date : l'emploi américain, l'un des indicateurs les plus suivis par les marchés. Au

mois de juin, la première économie mondiale a supprimé 125 000 postes. Certes, le taux de

chômage a simultanément reculé, à 9,5 %, contre 9,7 % en mai, mais c'est notamment parce qu'un

nombre élevé de 'travailleurs découragés' ont disparu des statistiques, a reconnu le

ministère américain vendredi.



Pour le marché, c'est un nouveau coup dur après la seconde révision à la baisse, une semaine

plus tôt, du produit intérieur brut (PIB) américain pour le premier trimestre, à + 2,7 %, contre

+ 3,2 % initialement prévu.



Cette nouvelle déconvenue est d'autant plus difficile à encaisser que la Chine, îlot de

prospérité, n'endossera sans doute pas le rôle de 'sauveur du monde' qui lui avait été

attribué, indique René Defossez, analyste chez Natixis.



En lire plus sur LeMonde.fr

05/07/2010 par Ancien19143 0
Pour répondre au post de Ken, sans "polluer" le post d'Emot, comme certains le font sur ce

forum:

J'ai mis l'article sur "Elmot" parcequ'il concerne directement le décompte des vagues, et

c'est là dessus que se base Prechter dans sa vision des marchés.

Ainsi le "link" sera plus facile à retrouver, plus tard, lorsque le DOW JONES sera sous les 1000

(En lettres: mille), pour nous raffraichir la mémoire....



-_-
05/07/2010 par Ancien19143 0
La croissance dans la zone euro peut-être proche de 0% /Roubini

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dimanche 4 juillet 2010 13h52





AIX-EN-PROVENCE, 4 juillet (Reuters) - La croissance économique dans la zone euro pourrait être

proche de zéro cette année, a estimé dimanche l'économiste américain Nouriel Roubini.

Nouriel Roubini est devenu un des économistes de Wall Street les plus écoutés après avoir

prédit la crise financière de 2007.



"Vu les chocs des derniers mois (...), d'ici la fin de l'année, la croissance pourrait être

plus proche de 0%", alors qu'il prévoyait auparavant 1%, a-t-il déclaré lors des Rencontres

économiques d'Aix-en-Provence.



Nouriel Roubini a cité comme facteurs négatifs les écarts de taux croissants sur les dettes

souveraines, les tensions sur le marché interbancaire et les politiques d'austérité que la

majorité des pays de la zone euro ont prévu d'engager.



"Nous voyons maintenant une austérité budgétaire qui, bien que nécessaire, va se traduire par

une pression déflationniste accrue", a-t-il déclaré.



L'état de l'économie mondiale n'est pas très bon "mais nous n'allons pas avoir de récession

à double creux (double dip)", a-t-il poursuivi.



(Lionel Laurent, avec Jean-Baptiste Vey)



05/07/2010 par Ancien20522 0
khoury1a écrit : Pour répondre au post de Ken, sans "polluer" le post d'Emot,

comme certains le font sur ce forum:

J'ai mis l'article sur "Elmot" parcequ'il concerne directement le décompte des vagues, et

c'est là dessus que se base Prechter dans sa vision des marchés.

Ainsi le "link" sera plus facile à retrouver, plus tard, lorsque le DOW JONES sera sous les 1000

(En lettres: mille), pour nous raffraichir la mémoire....



-_-




D'accord autant pour moi :[
05/07/2010 par Ancien23161 0
Article intéressant sur swingbourse, sur le retour du grand Juppé.



http://www.swingbourse.com/info-bourse/news.php?idnews=136



Ils nous prennent vraiment pour des c--s ces politicards ! :p
06/07/2010 par Ancien20522 0
Crise : cinq risques à surveiller cet été

LE MONDE ECONOMIE | 05.07.10 | 19h48 • Mis à jour le 06.07.10 | 10h04





Dans une hilarante parodie des séries Z américaines, le film du réalisateur grec Panos Koutras

L'Attaque de la moussaka géante (1999) met prémonitoirement en scène une moussaka haute comme un

immeuble de trois étages dévalant les rues d'Athènes en écrasant tout sur son passage. Le film

tourne en dérision l'incapacité, la lâcheté et la corruption des politiciens, l'hystérie des

médias et, plus généralement, le soin que porte chacun à reporter la responsabilité de la

gestion du fléau sur son voisin.



Personne ne parvient plus à se débarrasser de la bulle financière géante née dans les années

2000 de l'endettement des ménages américains et européens pour se loger et consommer. Titrisée,

vendue et revendue, elle s'est propagée en 2008 dans les comptes des banques ; devenue menaçante

pour ces dernières, elle a été prise en charge par les budgets publics en 2009 ; insoutenable

pour les Etats, elle revient peser en 2010 sur les retraités et les salariés.



Faute d'avoir été liquidée, la dette privée, puis publique (mais c'est la même) continue,

trois ans après le début de la crise, à miner les espoirs de reprise, les bilans des banques, les

budgets des Etats, les emplois de chacun.



Les économistes estiment que l'été et l'automne 2010 seront dominés par cinq risques majeurs:

la faiblesse persistente de la croissance ; l'incapacité d'un Etat européen à rembourser ses

dettes; la défaillance d'un grand établissement bancaire ; la hausse continue du chômage ; une

explosion sociale due à l'un des événements précédents, ou à leur combinaison.



Une croissance atone

Les perspectives de croissance en Europe comme aux Etats-Unis ne permettront pas de revenir à court

terme aux niveaux d'avant la crise, même dans les pays émergents. La Chine connaît en effet des

signes de surchauffe, qui risquent d'engendrer des bulles spéculatives, en particulier dans

l'immobilier - à l'instar de ce qui s'est passé aux Etats-Unis et en Espagne.





La dette des Etats

Le niveau d'endettement élevé des pays périphériques de la zone euro (Grèce, Espagne,

Portugal, Italie), mais aussi de certains Etats américains comme la Californie et l'Illinois (46

des 50 Etats américains présentent d'importants déficits budgétaires) pourrait causer à court

ou moyen terme une crise sur le marché obligataire.





Les banques

Les banques françaises et allemandes sont particulièrement exposées à un risque souverain des

pays du sud de l'Europe. Une crise de confiance à l'égard d'un de ces pays, voire la

restructuration de la dette de l'un d'entre eux (une solution de plus en plus ouvertement prônée

par certains économistes), pourrait entraîner la défaillance de grandes banques européennes,

tout comme, en 2008, l'effondrement du marché des subprimes avaient conduit Lehman Brothers à la

faillite.





Le chômage

Même si une telle rechute de la crise financière ne se réalise pas, le chômage se maintiendra à

un niveau élevé en raison de la faiblesse de la croissance économique. Si, en moyenne, il se

stabilise - en grande partie grâce aux interventions massives des gouvernements pour maintenir un

"filet de sécurité" - le chômage de longue durée devrait continuer à augmenter.





Les tensions sociales

Une reprise économique, si elle se produisait, ne se traduirait pas immédiatement par une baisse

du chômage. En revanche, les restructurations d'entreprise et les cures d'austérité des budgets

publics mettent déjà à mal le pouvoir d'achat et les filets sociaux des salariés et des

retraités. Le mécontentement social devient de plus en plus palpable, et pourrait donner un

nouveau carburant à la tentation populiste d'un repli sur les égoïsmes nationaux, porteurs

d'une crise économique encore plus grave.



06/07/2010 par Ancien23161 0
Oui, Ken, il va y avoir une misère sociale énorme.



En Suède, des féministes luttent contre les discriminations salariales entre hommes et femmes, du

coup elles ont brûlé un peu plus de 10 000 euros.



Certains pourraient crier au scandale.



http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/07/06/des-feministes-suedoises-brulent-10-000-euros-pour-p

rotester-contre-les-discriminations_1384164_3214.html#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20100706-[

zoneb]
19/07/2010 par Ancien19143 0
L'UE et le FMI suspendent les consultations avec la Hongrie

Reuters | 18.07.10 | 16h10

==========================================================

BUDAPEST (Reuters) - Le Fonds monétaire international et l'Union européenne ont suspendu samedi

l'évaluation du programme d'aide accordé en 2008 à la Hongrie pour lui permettre de surmonter

la crise financière, soulignant que des mesures difficiles doivent être prises pour réduire les

déficits.



La suspension des consultations signifie que, tant que l'évaluation n'aura pas été achevée, la

Hongrie ne pourra avoir accès aux fonds qui n'ont pas encore été utilisés dans le cadre du

prêt de 25,1 milliards d'euros débloqué par l'UE et le FMI .



Les négociations étaient supposées se terminer en début de semaine prochaine.



Selon des analystes, le forint, la devise nationale, pourrait fortement reculer à la réouverture

des marchés lundi. Le prêt de l'UE et du FMI sert aujourd'hui de filet de sécurité à la

Hongrie qui se finance sur les marchés depuis la fin d'année dernière.



"Dans un contexte de surveillance accrue par les marchés des déficits des gouvernements et des

niveaux de dette, les objectifs de déficit budgétaire précédemment annoncés - 3,8% du PIB en

2010 et moins de 3,0% du PIB en 2011 - restent une base appropriée pour le processus nécessaire de

consolidation et la soutenabilité de la dette (...) mais des mesures supplémentaires devront être

prises pour atteindre ces objectifs", a estimé le FMI.



Le nouveau gouvernement de centre-droit, issu des élections d'avril, a fait savoir qu'il

souhaitait prolonger l'accord en cours avec l'UE et le FMI jusqu'à la fin de 2010 et obtenir un

nouvel accord, à titre de précaution, pour 2011 et 2012.



Le ministre de l'Economie, Gyorgy Matolcsy, a dit clairement que le gouvernement souhaitait

reprendre les négociations avec ses créanciers internationaux.



"Le gouvernement va évidemment continuer les discussions avec les organisations internationales,

dont l'UE et le FMI", dit-il dans un communiqué repris samedi par l'agence de presse MTI.



"DÉCISIONS DIFFICILES"



Christoph Rosenberg, qui conduisait la délégation du FMI en Hongrie, a indiqué que

l'organisation internationale souhaitait obtenir davantage de précisions sur le budget de

l'année prochaine. "Lorsque nous viendrons la prochaine fois, à moins que nous ne venions la

semaine prochaine, le gouvernement aura logiquement avancé sur le budget 2011 et ce sera un budget

très important", a-t-il dit à Reuters.



Il a par ailleurs précisé que le FMI n'avait pas discuté avec les autorités hongroises d'un

nouvel accord de financement pour 2011 et 2012.



Dans un communiqué distinct, l'UE a fait savoir que la conclusion de l'évaluation avait dû

être reportée et que de nouvelles consultations seraient organisées.



"La Hongrie est revenue sur la voie d'une croissance économique positive et enregistre

aujourd'hui l'un des plus faibles déficits de l'UE. Je salue l'engagement des autorités envers

l'objectif 2010 de réduction du déficit", a déclaré Olli Rehn, commissaire européen aux

Affaires économiques et monétaires.



"Toutefois, la correction du déficit excessif à partir de l'an prochain nécessitera des

décisions difficiles, notamment en matière de dépenses", a-t-il ajouté.



La Hongrie a besoin de conserver le filet de sécurité que constitue le prêt de l'UE et du FMI

afin de garder la confiance des marchés auprès desquels elle emprunte. Le pays reste vulnérable

à sa dette publique élevée, qui représente 80% du PIB, et à sa dépendance aux financements

étrangers.



"Si nous n'avons pas le filet de sécurité des créanciers internationaux, cela nous pénalisera

là où nous sommes les plus vulnérables", a réagi Zsolt Kondradt, analyste à MKB Bank, ajoutant

qu'un recul du forint est prévisible lundi.



La devise hongroise s'échangeait à 282 forints pour un euro vendredi.



La Roumanie a déjà dû prendre des décisions difficiles le mois dernier pour s'assurer du

déblocage de l'aide du FMI et rassurer les marchés.



24/07/2010 par Ancien19143 0
De Loïc Abadie:

Brillant succès de la France aux « sleep tests » !

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Comme on pouvait s’y attendre, nos banques européennes ont parfaitement réussi leur examen de

passage des « stress tests » : 92% de réussite en Europe (84 banques sur 91), 100% de réussite

en France…C'est encore mieux que notre bac (dont le taux de réussite finira aussi par approcher

100% à la suite d'"adaptations" et "harmonisations" répétées des programmes et barèmes de

notation) !







Nous allons donc avoir droit dans les heures et jours à venir à de multiples articles,

déclarations triomphantes de divers responsables politiques, sur le fait que les banques

françaises font partie des tous meilleurs élèves.







Voyons quand même d’un peu plus près le barême de notation très « spécial » qui a été

retenu pour ces tests.



Il figure dans ces deux pdf communiqués par la banque de France, qui sont de véritables

chefs-d'oeuvre d'autosatisfaction : communiqué et annexe.







Le « scénario de stress » envisagé (censé évalué la résistance de notre système bancaire

aux pires conditions) est le suivant :







1) PIB







Il a été envisagé une récession de 0,1% en 2011 en France après une croissance de 0,7% en

2010…Nous avons eu des chiffres de recul du PIB de –5 à –10% au cours de la première vague

de la crise en cours. Mais visiblement pour les organisateurs du « sleep test », cela ne se

produira plus jamais, et –0,1 % (c’est à dire une gentille stagnation économique) représente

maintenant la pire chose qui puisse nous arriver. Vive la zen attitude !







2) taux de chômage







Dans le scénario du pire, il passerait de 10,2 à 10,5% (hausse de 0,3%). Ce taux de chômage a

progressé de près de 2,5% en 2 ans, d’autres pays ont connu des hausses supérieures à 4%. Mais

là aussi, cela ne se reproduira plus jamais au pays des sleep tests, le pire qui puisse nous

arriver est maintenant une hausse de 0,3% !



Relaxez vous, respirez profondément, tout va bien.







3) Le meilleur de la farce à présent : les dettes souveraines.







Cette partie de l’examen avait pour but de vérifier que nos banques étaient capables de faire

face à un gros problème sur la dette souveraine d’un ou plusieurs états européens.







L’exposition des banques aux dettes souveraines se décompose en deux parties : le portefeuille

bancaire (82% du total environ pour les banques françaises) et le portefeuille de négociation (18%

du total).



Premier tour de passe-passe de nos magiciens du sommeil : n’appliquer les décotes sur les dettes

qu’à la partie « négociation » (soit moins de 1/5 de l’exposition réelle).



Second tour de passe-passe : limiter les décotes appliquées aux pays les plus exposés (Portugal,

Espagne, Irlande, Pologne) à une fourchette de 10 à 15%, à l’exception de la Grèce (décote de

23%, ce qui reste très modéré).



Ces deux tours de passe-passe font que la décote réelle appliquée, si on prend en compte la

totalité de l’exposition est de :









- 6% pour la Grèce



- 2,7% pour le Portugal



- 1,3% pour l’Espagne









Et il s’agit là des décotes censées être les plus dures.







Quelle personne ayant un minimum de bon sens pourrait croire que si un état venait à faire défaut

sur sa dette souveraine, les créanciers ne subiraient qu’1 à 6% de pertes ? Dans le monde réel,

les chiffres se situent plutôt entre 40 et 80%.







C’est pourtant cela bien que le « Comité européen des contrôleurs bancaires (CECB) » voudrait

que nous croyions !







Un dernier point …il existe un « stress test » tout simple, que chacun peut faire sur sa banque,

qui est bien plus sérieux que la comédie du CECB. C’est le leverage ratio. En situation de forte

crise, presque tous les actifs des banques sont exposés à des pertes : les prêts aux entreprises,

aux ménages, les dettes souveraines, les actifs boursiers…etc. Même les emprunteurs les plus

solides peuvent faire défaut (près de 50% des saisies immobilières aux USA sont aujourd'hui le

fait d'emprunteurs de la catégorie "prime" pourtant censée être la meilleure).



Nos banques européennes (et françaises) ont en moyenne un leverage ratio de 20 à 40 actuellement

(certaines dépassent encore 50).



Un leverage ratio de 20 signifie qu’il suffit de 5% de pertes sur l’actif de la banque pour

qu’elle n’ait plus de capitaux propres (faillite potentielle).



Un leverage ratio de 40 signifie qu’il suffit de 2,5% de pertes sur l’actif pour que les

capitaux propres de la banque disparaissent.



Voilà ce qui constitue à mes yeux le vrai « stress-test ». Il montre que notre système bancaire

dans son ensemble est totalement incapable de faire face à une situation de forte crise !







Bonne nuit à toutes et à tous grâce à la pilule du CECB…

24/07/2010 par Ancien27475 0
khoury1a écrit : L'UE et le FMI suspendent les consultations avec la Hongrie

Reuters | 18.07.10 | 16h10

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BUDAPEST (Reuters) - Le Fonds monétaire international et l'Union européenne ont suspendu samedi

l'évaluation du programme d'aide accordé en 2008 à la Hongrie pour lui permettre de surmonter

la crise financière, soulignant que des mesures difficiles doivent être prises pour réduire les

déficits.



La suspension des consultations signifie que, tant que l'évaluation n'aura pas été achevée, la

Hongrie ne pourra avoir accès aux fonds qui n'ont pas encore été utilisés dans le cadre du

prêt de 25,1 milliards d'euros débloqué par l'UE et le FMI .



Les négociations étaient supposées se terminer en début de semaine prochaine.



Selon des analystes, le forint, la devise nationale, pourrait fortement reculer à la réouverture

des marchés lundi. Le prêt de l'UE et du FMI sert aujourd'hui de filet de sécurité à la

Hongrie qui se finance sur les marchés depuis la fin d'année dernière.



"Dans un contexte de surveillance accrue par les marchés des déficits des gouvernements et des

niveaux de dette, les objectifs de déficit budgétaire précédemment annoncés - 3,8% du PIB en

2010 et moins de 3,0% du PIB en 2011 - restent une base appropriée pour le processus nécessaire de

consolidation et la soutenabilité de la dette (...) mais des mesures supplémentaires devront être

prises pour atteindre ces objectifs", a estimé le FMI.



Le nouveau gouvernement de centre-droit, issu des élections d'avril, a fait savoir qu'il

souhaitait prolonger l'accord en cours avec l'UE et le FMI jusqu'à la fin de 2010 et obtenir un

nouvel accord, à titre de précaution, pour 2011 et 2012.



Le ministre de l'Economie, Gyorgy Matolcsy, a dit clairement que le gouvernement souhaitait

reprendre les négociations avec ses créanciers internationaux.



"Le gouvernement va évidemment continuer les discussions avec les organisations internationales,

dont l'UE et le FMI", dit-il dans un communiqué repris samedi par l'agence de presse MTI.



"DÉCISIONS DIFFICILES"



Christoph Rosenberg, qui conduisait la délégation du FMI en Hongrie, a indiqué que

l'organisation internationale souhaitait obtenir davantage de précisions sur le budget de

l'année prochaine. "Lorsque nous viendrons la prochaine fois, à moins que nous ne venions la

semaine prochaine, le gouvernement aura logiquement avancé sur le budget 2011 et ce sera un budget

très important", a-t-il dit à Reuters.



Il a par ailleurs précisé que le FMI n'avait pas discuté avec les autorités hongroises d'un

nouvel accord de financement pour 2011 et 2012.



Dans un communiqué distinct, l'UE a fait savoir que la conclusion de l'évaluation avait dû

être reportée et que de nouvelles consultations seraient organisées.



"La Hongrie est revenue sur la voie d'une croissance économique positive et enregistre

aujourd'hui l'un des plus faibles déficits de l'UE. Je salue l'engagement des autorités envers

l'objectif 2010 de réduction du déficit", a déclaré Olli Rehn, commissaire européen aux

Affaires économiques et monétaires.



"Toutefois, la correction du déficit excessif à partir de l'an prochain nécessitera des

décisions difficiles, notamment en matière de dépenses", a-t-il ajouté.



La Hongrie a besoin de conserver le filet de sécurité que constitue le prêt de l'UE et du FMI

afin de garder la confiance des marchés auprès desquels elle emprunte. Le pays reste vulnérable

à sa dette publique élevée, qui représente 80% du PIB, et à sa dépendance aux financements

étrangers.



"Si nous n'avons pas le filet de sécurité des créanciers internationaux, cela nous pénalisera

là où nous sommes les plus vulnérables", a réagi Zsolt Kondradt, analyste à MKB Bank, ajoutant

qu'un recul du forint est prévisible lundi.



La devise hongroise s'échangeait à 282 forints pour un euro vendredi.



La Roumanie a déjà dû prendre des décisions difficiles le mois dernier pour s'assurer du

déblocage de l'aide du FMI et rassurer les marchés.






Il te reste des pilules ?? Je souffre, j'en ai besoin pour ma conso. :p



24/07/2010 par Ancien19143 0
a écrit :

Il te reste des pilules ?? Je souffre, j'en ai besoin pour ma conso. :p






Oui, des bleues si tu veux....:p
11/08/2010 par Ancien19143 0
Les bonnes nouvelles arrivent toujours en même temps:



WASHINGTON (MarketWatch) -- Growth in the U.S. economy from April through June was probably softer

than first estimated by the government, private economists said Wednesday after updated trade

figures for June were published showing higher imports. Instead of growing at a 2.4% annualized pace

in the second quarter, real gross domestic product will likely be revised down to a 1.3% annual

rate, according to economists surveyed by MarketWatch. The forecasters are looking for growth of

about 2.5% in the final two quarters of the year.



:-)
11/08/2010 par Ancien27475 0
khoury1a écrit : Les bonnes nouvelles arrivent toujours en même temps:



WASHINGTON (MarketWatch) -- Growth in the U.S. economy from April through June was probably softer

than first estimated by the government, private economists said Wednesday after updated trade

figures for June were published showing higher imports. Instead of growing at a 2.4% annualized pace

in the second quarter, real gross domestic product will likely be revised down to a 1.3% annual

rate, according to economists surveyed by MarketWatch. The forecasters are looking for growth of

about 2.5% in the final two quarters of the year.



:-)




J'y comprends que dalle! J'ai pas fait science po. moa !! =/



26/08/2010 par Ancien19143 0
Roubini Says Q3 Growth in U.S. to Be `Well Below' 1%

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Nouriel Roubini, the New York University economist who predicted the global financial crisis, said

U.S. growth will be “well below” 1 percent in the third quarter and put the odds of a renewed

recession at 40 percent.



Roubini, chairman of Roubini Global Economics LLC, said his forecast assumes the government will

lower its estimate for growth in the second quarter to an annual rate of 1.2 percent “at best.”





“All the growth tailwinds of the first half of the year become headwinds in the second half,” he

said in an e-mail message, including the government’s $814-billion stimulus plan, hiring for the

census, and incentives such the cash-for-clunkers program and tax credits for first-time home

buyers.



In the best scenario, he said he expects an “anemic, sub- par, below-trend U for many years given

the need and process of deleveraging” by households, governments and the financial system.



“With growth at a stall speed of 1 percent or below, the stock markets could sharply correct, and

credit spreads and interbank spreads widen while global risk aversion sharply increases,” he said.

“Thus a negative feedback loop between the real economy and the risky asset prices can easily then

tip the economy into a formal double-dip,” he said, referring to two recessions in a quick

succession.



The Commerce Department may report revised figures in two days showing the economy grew at a 1.4

percent pace in the second quarter, according to the median estimate of economists surveyed by

Bloomberg News. That’s down from an earlier estimate of 2.4 percent, because of a widening trade

deficit, a smaller buildup of inventories and weaker construction.



Bloomberg.

04/09/2010 par Ancien19143 0
Je vous adresse cet article au préalable, concernant les éléctions législatives US à venir le 2

Novembre.

Il est important pour comprendre la suite sur ma file "retournement tendance CAC", sur laquelle je

vais vous poster un graphe (une sorte "d'essai théorique";) du CAC jour, avec un scénario

"possible", lié à une AT respectant Elliott, mais lié également aux fondamentaux, la réalité

politique de ce monde.

Je développe le reste dans l'autre file.

A+

===========================================================



À deux mois et demi d'élections législatives cruciales, le locataire de la Maison-Blanche a

mangé mercredi dans la cuisine d'Américains moyens afin de défendre son bilan économique.



À l'approche des élections de mi-mandat, fixée au 2 novembre, Barack Obama se démène pour

convaincre les Américains du bien-fondé de sa politique économique et sociale, une tâche

difficile en période de chômage obstinément élevé. "Nous avons traversé la pire période

économique depuis la Grande dépression" des années 1930, a-t-il rappelé face à un petit groupe

venu chez les Weithman spécialement pour l'occasion. "Lorsque j'ai pris mes fonctions il y a

environ 18 mois, nous avions déjà perdu plusieurs millions d'emplois, et nous étions sur le

point d'en perdre plusieurs millions de plus", a-t-il expliqué, en insistant sur "les mesures

d'urgence" qui ont, selon lui, évité une autre dépression.



Cette volonté de l'équipe Obama de vanter l'efficacité des mesures adoptées répond à

l'incrédulité de nombreux Américains face au bilan des démocrates. Le chômage, les coupes

claires dans les budgets des Etats, le colossal déficit fédéral et la déprime persistante de

l'immobilier se ressentent sur le moral des électeurs. Ils nourrissent la crainte d'un

vote-sanction pour le parti du président, actuellement majoritaire aux deux Chambres du Congrès.

Si les républicains devaient contrôler tout ou une partie du pouvoir législatif, Barack Obama

verrait sa marge de manœuvre fortement réduite à deux ans de la fin de son mandat.



=/

Michel
07/09/2010 par Ancien19143 0
C'est à partir de là que tout a commencé:





Le Wall Street Journal met en doute les tests des banques européennes

(AFP) – Il y a 4 heures



WASHINGTON — Le Wall Street Journal a mis en doute mardi les résultats des tests de résistance

des banques menés dans l'Union européenne, estimant que certains risques qu'elles couraient

avaient été sous-évalués.



Ces tests "ont sous-estimé les montants de titres de dette publique potentiellement risqués

détenus par certains établissements, selon une analyse du Wall Street Journal", écrit le

quotidien new-yorkais, un mois et demi après la publication des résultats.



Selon le journal, "des banques ont exclu certaines obligations", ou en ont minimisé le montant

grâce aux paris qu'elles prenaient contre certains de ces titres de dette, "des faits que ni les

régulateurs ni la plupart des banques n'ont révélés" au moment de la publication des

résultats le 23 juillet.



Les tests portaient sur les comptes des banques au 31 mars. Or, a fait valoir le quotidien, les

titres de dette publique de certains pays européens étaient à cette époque sur le point de

perdre une part considérable de leur valeur sur les marchés.



Le Wall Street Journal a cité la britannique Barclays et la française Crédit Agricole parmi les

banques où il a constaté un écart entre d'une part les comptes trimestriels et d'autres

documents financiers, et d'autre part les données présentées dans le cadre des "tests de

résistance".



"Crédit Agricole n'a pas comptabilisé la dette publique détenue par sa filiale d'assurances",

a expliqué le quotidien.



Les banques concernées lui ont répondu qu'elles avaient scrupuleusement suivi les lignes

directrices fournies par le Comité des régulateurs bancaires européens (CEBS).



Le Wall Street Journal a également cité un économiste de Royal Bank of Scotland, qui a estimé

incompatibles les montants de titres de dette publique détenus par les banques européennes tels

que les comptabilise la Banque des règlements internationaux (BRI), et tels qu'ils apparaissent

dans les tests.



D'après la BRI, les banques françaises détenaient, au 31 mars, 35 milliards d'euros de dette de

l'Etat espagnol et 20 milliards d'euros de dette de l'Etat grec. Or, selon les tests, quatre

banques représentant près de 80% des actifs du secteur (BNP Paribas, Crédit Agricole, Natixis et

Société Générale) n'en détenaient respectivement que 6,6 milliards et 11,6 milliards

d'euros.



Seules sept des 91 banques européennes soumises à ces tests censées vérifier leur solidité

financière avaient été recalées, dont cinq caisses d'épargne espagnoles, une banque allemande

fortement investie dans l'immobilier, et une banque grecque.



"Nos conclusions mettent à mal un but essentiel des tests de résistance, à savoir de réassurer

les investisseurs et les banquiers dans le monde entier quant à la santé du système financier

européen", a affirmé le Wall Street Journal.

07/09/2010 par Ancien19143 0
Pour ceux qui souffrent d'Alzheimer, petit rappel du vendredi 23 Juillet (champagne tout le

week-end avec l'appui des médias):

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Associated Press le 23/07/2010 à 18:47

Lagarde : les banques françaises ont réussi les stress tests "haut la main"



La ministre de l'Economie Christine Lagarde a estimé vendredi que les banques françaises avaient

réussi "haut la main" les stress tests européens réalisés pour évaluer la résistance du

secteur en situation de crise. Sur les 91 établissements soumis à l'épreuve dans l'Union

européenne, sept ont échoué.



"Les banques françaises ont réussi l'examen, je dirais: avec mention bien", a-t-elle déclaré

à la presse après la publication des conclusions du Comité européen des contrôleurs bancaires

(CEBS). Quatre banques françaises ont été mises à l'épreuve (BNP Paribas, Crédit Agricole,

BPCE, Société Générale).



"Le test était particulièrement difficile", a jugé Mme Lagarde, soulignant que la simulation

portait à la fois sur une hypothèse de récession économique et de crise de la dette souveraine

de pays de l'Union européenne.



Ainsi, "on vérifiait si elles tenaient bon et si leurs fonds propres étaient suffisants", or

"les banques françaises passent le test haut la main", a affirmé la ministre. "C'est

évidement un sujet de satisfaction", a-t-elle poursuivi, "parce que ça signifie qu'on va

pouvoir financer l'économie, financer les ménages, les entreprises, et que la défiance des

marchés devrait maintenant disparaître, compte tenu de cet exercice de transparence".





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