chiffres clés
attention a la grece
06/02/2012 par
0
je vends theolia avec une pv de 10 %
je prefere assurer et alleger retournement en vu
grece puit sans fond 400 milliard et situation inchange
je prefere assurer et alleger retournement en vu
grece puit sans fond 400 milliard et situation inchange
06/02/2012 par
0
jacques38570a écrit : je vends theolia avec une pv de 10 %
je prefere assurer et alleger retournement en vu
grece puit sans fond 400 milliard et situation inchange
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Et après la Grèce, à qui le tour ??
Les Francs nouveaux sont-ils de retour? Bien sur accompagnés d'une belle hausse des prix !!
je prefere assurer et alleger retournement en vu
grece puit sans fond 400 milliard et situation inchange
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Et après la Grèce, à qui le tour ??
Les Francs nouveaux sont-ils de retour? Bien sur accompagnés d'une belle hausse des prix !!
06/02/2012 par
0
Après la Grèce :
Portugal - Espagne,...
Portugal - Espagne,...
06/02/2012 par
0
J'ai oune idée: Si on prenait Angéla Merquel comme Président de la République Française ??
Elle n'est bonne mon idée?
Elle n'est bonne mon idée?
06/02/2012 par
0
ce soir sur France 2 elle devrait se présenter à la place de son fils, elle a plus de chance de
passer.
passer.
08/02/2012 par
0
Tout le monde s'en fiche de la Grèce!!! Le CAC40 y monte, alors...! 
08/02/2012 par
0
Bjorn, tu prends sans doute connaissance des lettres agora, eux prévoit une baisse, situation
GRECE alarmante, ect... Et, en même temps parlent d'un excès de liquidité et d'algorithmes.
Coup bas, peut-être, le temps que tout le monde rentre, pour ensuite plumer les oies.
1er mois de hausse, on se méfie d'un retournement,
2ème mois de hausse, on se méfie toujours, mais ce serait peut-être le moment d'y aller, tout
doux,
3ème mois débute en hausse, là on y va, confirmation d'un intérêt certain, que de temps perdu,
et paf ! c'est là aussi le retournement.
Simple hypothèse d'école...
GRECE alarmante, ect... Et, en même temps parlent d'un excès de liquidité et d'algorithmes.
Coup bas, peut-être, le temps que tout le monde rentre, pour ensuite plumer les oies.
1er mois de hausse, on se méfie d'un retournement,
2ème mois de hausse, on se méfie toujours, mais ce serait peut-être le moment d'y aller, tout
doux,
3ème mois débute en hausse, là on y va, confirmation d'un intérêt certain, que de temps perdu,
et paf ! c'est là aussi le retournement.
Simple hypothèse d'école...
09/02/2012 par
0
Antarès, tu as été à la bonne école!
Mais, on dirait que la Grèce est sauvé, enfin peut-être!
A combien le CAC40 en cas de sauvetage de la Grèce?
Mais, on dirait que la Grèce est sauvé, enfin peut-être!
A combien le CAC40 en cas de sauvetage de la Grèce?
09/02/2012 par
0
ATHENES (Reuters) - Les trois partis de la coalition gouvernementale en Grèce se sont mis d'accord
sur un ensemble de nouvelles mesures d'austérité à mettre en oeuvre en échange d'un deuxième
plan d'aide international à Athènes.
Cet accord a été confirmé par Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne
(BCE), lui-même informé par le Premier ministre grec Lucas Papadémos.
"Il y a quelques minutes, j'ai reçu un appel du Premier ministre grec disant qu'un accord avait
été conclu et approuvé par les grands partis", a dit Mario Draghi à Francfort.
Ces mesures d'austérité sont exigées par la BCE, la Commission européenne et le Fonds
monétaire international (FMI) pour débloquer une deuxième aide d'au moins 130 milliards d'euros
afin d'éviter la faillite à la Grèce.
Les tractations entre socialistes du Pasok, conservateurs de Nouvelle Démocratie et le LAOS
d'extrême droite ont été difficiles en raison de l'hostilité manifestée par une grande partie
de la population, déjà soumise à une cure de rigueur drastique depuis 2010.
Renee Maltezou et George Georgiopoulos; Jean-Stéphane Brosse et Bertrand Boucey pour le service
français
Copyright © 2012 Thomson Reuters
sur un ensemble de nouvelles mesures d'austérité à mettre en oeuvre en échange d'un deuxième
plan d'aide international à Athènes.
Cet accord a été confirmé par Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne
(BCE), lui-même informé par le Premier ministre grec Lucas Papadémos.
"Il y a quelques minutes, j'ai reçu un appel du Premier ministre grec disant qu'un accord avait
été conclu et approuvé par les grands partis", a dit Mario Draghi à Francfort.
Ces mesures d'austérité sont exigées par la BCE, la Commission européenne et le Fonds
monétaire international (FMI) pour débloquer une deuxième aide d'au moins 130 milliards d'euros
afin d'éviter la faillite à la Grèce.
Les tractations entre socialistes du Pasok, conservateurs de Nouvelle Démocratie et le LAOS
d'extrême droite ont été difficiles en raison de l'hostilité manifestée par une grande partie
de la population, déjà soumise à une cure de rigueur drastique depuis 2010.
Renee Maltezou et George Georgiopoulos; Jean-Stéphane Brosse et Bertrand Boucey pour le service
français
Copyright © 2012 Thomson Reuters
09/02/2012 par
0
Le 1er ministre Grec a démissionné, donc, ça continue!
09/02/2012 par
0
????.....
09/02/2012 par
0
bjornborga écrit : J'ai oune idée: Si on prenait Angéla Merquel comme
Président de la République Française ?? Elle n'est bonne mon idée?
C'est pas Angéla MERKEL mais ses prédécesseurs qui ont tout fait... elle ne vit que sur leur
acquis, c'est tout..
Président de la République Française ?? Elle n'est bonne mon idée?
C'est pas Angéla MERKEL mais ses prédécesseurs qui ont tout fait... elle ne vit que sur leur
acquis, c'est tout..
10/02/2012 par
0
(CercleFinance.com) - La monnaie unique européenne cédait du terrain ce midi sur fond
d'incertitude et de scepticisme quant au fameux “accord grec” avec le reste de l'Europe sur
son devenir budgétaire. Vers 13 heures 15, l'euro cédait 0,59%à 1,3207 dollar.
Idem avec les autres devises, un recul de 0,47% étant enregistré contre la livre à 0,8361, ainsi
que 0,46% face au yen à 102,72 et 0,16% contre le franc suisse à 1,2094.
Hier, la BCE et la Banque d'Angleterre ont grosso fait ce que le marché attendait d'elles. Les
taux ont été maintenus, et la Banque d'Angleterre a étendu de 50 milliards de sterlings son plan
d'assouplissement quantitatif. A la BCE, Mario Draghi a évoqué des signes de stabilisation de la
conjoncture européenne, quoique sur de bas niveaux d'activité.
Mais c'est finalement le dossier grec, et ses accords - ou demi-accords - qui alimente
l'incertitude. 'Les dirigeants grecs se sont engagés verbalement à faire adopter des mesures
d'austérité, mais les responsables de la zone euro ne semblent pas convaincus et veulent obtenir
des engagements noir sur blanc', explique Chris Weston, chez IG Markets.
“Les problèmes de la dette grecque ne sont évidemment pas soldés. Les conditions de
l'opération d'échange ne sont encore complètement arrêtées. La mise en place du nouveau plan
de rigueur est difficile. Le déblocage du deuxième plan d'aide internationale de 130 milliards
d'euros n'est pas acquis”, explique Etienne Pourny, patron de Stelphia AM. “Le risque de
défaut sur les 14,5 milliards d'euros qui arrivent à échéance le 20 mars n'a pas disparu',
conclut-il.
Il semble, rapportent les cambistes de la banque canadienne Scotiabank FX, qu'Athènes ait du mal
à s'accorder avec ses partenaires sur un des aspects de l'accord, dont celui sur les retraites.
L'équipe Changes de Pictet & Cie ajoute encore que “le programme des privatisations de la
Grèce, qui devait porter sur 50 milliards d'euros d'ici 2015, ne s'élèvera finalement qu'à
19 milliards d'euros. Les partis politiques grecs ne sont toujours pas parvenus à un accord sur le
deuxième plan de sauvetage et sur les mesures à prendre pour sauver l'Etat”.
Chez Scotiabank FX, on relativise cependant : 'la Grèce compte effectivement au nombre des
paramètres à prendre en considération, mais à moyen terme pour le marché des changes, ce que
fait la BCE est bien plus important'.
Ces inquiétudes interviennent dans une conjoncture toujours déprimée en Europe, qui semble
s'être traduite par une baisse de 0,5% des exportations de la Chine le mois dernier. ' La chute
de 15% des importations chinoises devrait toucher aussi l'Allemagne...', ajoute un analyste.
Toujours au chapitre des indicateurs économiques, on notera que la production industrielle de la
France a chuté de 1,4% en décembre, tandis que le déficit courant du pays s'est creusé à trois
milliards d'euros.
Les marchés prendront connaissance, cet après-midi aux États-Unis, des chiffres de la balance
commerciale, puis de l'indice de confiance du consommateur 'UMich', qui pourrait ressortir en
légère baisse en février à 74,8 points, contre 75 points précédemment.
Copyright (c) 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
================================
C'est ENCORE la Grèce qui met la zizanie!
d'incertitude et de scepticisme quant au fameux “accord grec” avec le reste de l'Europe sur
son devenir budgétaire. Vers 13 heures 15, l'euro cédait 0,59%à 1,3207 dollar.
Idem avec les autres devises, un recul de 0,47% étant enregistré contre la livre à 0,8361, ainsi
que 0,46% face au yen à 102,72 et 0,16% contre le franc suisse à 1,2094.
Hier, la BCE et la Banque d'Angleterre ont grosso fait ce que le marché attendait d'elles. Les
taux ont été maintenus, et la Banque d'Angleterre a étendu de 50 milliards de sterlings son plan
d'assouplissement quantitatif. A la BCE, Mario Draghi a évoqué des signes de stabilisation de la
conjoncture européenne, quoique sur de bas niveaux d'activité.
Mais c'est finalement le dossier grec, et ses accords - ou demi-accords - qui alimente
l'incertitude. 'Les dirigeants grecs se sont engagés verbalement à faire adopter des mesures
d'austérité, mais les responsables de la zone euro ne semblent pas convaincus et veulent obtenir
des engagements noir sur blanc', explique Chris Weston, chez IG Markets.
“Les problèmes de la dette grecque ne sont évidemment pas soldés. Les conditions de
l'opération d'échange ne sont encore complètement arrêtées. La mise en place du nouveau plan
de rigueur est difficile. Le déblocage du deuxième plan d'aide internationale de 130 milliards
d'euros n'est pas acquis”, explique Etienne Pourny, patron de Stelphia AM. “Le risque de
défaut sur les 14,5 milliards d'euros qui arrivent à échéance le 20 mars n'a pas disparu',
conclut-il.
Il semble, rapportent les cambistes de la banque canadienne Scotiabank FX, qu'Athènes ait du mal
à s'accorder avec ses partenaires sur un des aspects de l'accord, dont celui sur les retraites.
L'équipe Changes de Pictet & Cie ajoute encore que “le programme des privatisations de la
Grèce, qui devait porter sur 50 milliards d'euros d'ici 2015, ne s'élèvera finalement qu'à
19 milliards d'euros. Les partis politiques grecs ne sont toujours pas parvenus à un accord sur le
deuxième plan de sauvetage et sur les mesures à prendre pour sauver l'Etat”.
Chez Scotiabank FX, on relativise cependant : 'la Grèce compte effectivement au nombre des
paramètres à prendre en considération, mais à moyen terme pour le marché des changes, ce que
fait la BCE est bien plus important'.
Ces inquiétudes interviennent dans une conjoncture toujours déprimée en Europe, qui semble
s'être traduite par une baisse de 0,5% des exportations de la Chine le mois dernier. ' La chute
de 15% des importations chinoises devrait toucher aussi l'Allemagne...', ajoute un analyste.
Toujours au chapitre des indicateurs économiques, on notera que la production industrielle de la
France a chuté de 1,4% en décembre, tandis que le déficit courant du pays s'est creusé à trois
milliards d'euros.
Les marchés prendront connaissance, cet après-midi aux États-Unis, des chiffres de la balance
commerciale, puis de l'indice de confiance du consommateur 'UMich', qui pourrait ressortir en
légère baisse en février à 74,8 points, contre 75 points précédemment.
Copyright (c) 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
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C'est ENCORE la Grèce qui met la zizanie!
10/02/2012 par
0
La Grèce en pleine confusion
Les ministres du parti d'extrême droite ont présenté leur démission du gouvernement de
coalition en Grèce. Pendant ce temps, la colère gronde toujours dans la rue. Des manifestations,
parfois violentes, émaillent une grève de 48h.
Les ministres du parti d'extrême droite ont présenté leur démission du gouvernement de
coalition en Grèce. Pendant ce temps, la colère gronde toujours dans la rue. Des manifestations,
parfois violentes, émaillent une grève de 48h.
13/02/2012 par
0
Un intervenant s'exprime sur la Grèce. A lire...
Je cite:
Pas d'accord Big
pour croire que la seule solution pour le peuple grec est l'Europe .
D'accord détruire ,casser c'est absurde surtout quant on demande des prêts mais comme nous leur
classe politique abuse avec arrogance d'une démocratie balbutiant le respect du au peuple .
le peuple est souverain, pas ses représentants et la rue est dans nos démocraties de castes le
dernier moyen du peuple pour se faire respecter ?
Que faire Big lorsque le prochain président élu par des urnes décidera de réduire le Smig , les
pensions de retraite , les plafonds de remboursement...pendant que dans le même temps les armateurs
seront délocalisés dans les paradis fiscaux et les prêtres grecs non soumis à l'impôt .
Le peuple grec a entre ses mains le devenir de l'Europe soit plus de démocratie soit plus de
servilité à ses propres représentants gavés de l'argent du contribuable.
========================================
Il s'adresse à Big, vous l'aurez compris!
Je cite:
Pas d'accord Big
pour croire que la seule solution pour le peuple grec est l'Europe .
D'accord détruire ,casser c'est absurde surtout quant on demande des prêts mais comme nous leur
classe politique abuse avec arrogance d'une démocratie balbutiant le respect du au peuple .
le peuple est souverain, pas ses représentants et la rue est dans nos démocraties de castes le
dernier moyen du peuple pour se faire respecter ?
Que faire Big lorsque le prochain président élu par des urnes décidera de réduire le Smig , les
pensions de retraite , les plafonds de remboursement...pendant que dans le même temps les armateurs
seront délocalisés dans les paradis fiscaux et les prêtres grecs non soumis à l'impôt .
Le peuple grec a entre ses mains le devenir de l'Europe soit plus de démocratie soit plus de
servilité à ses propres représentants gavés de l'argent du contribuable.
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Il s'adresse à Big, vous l'aurez compris!
13/02/2012 par
0
Autre chose édifiant:
Le système privé mis à mal par les politiques ne peut plus prêter puisqu'on leur demande
pratiquement comme pour les emprunts russes de faire une croix sur leur argent si les grecs restent
en zone Euro.
Quant au peuple grec on l'a surendetté sans jamais lui demander de s'engager sur ses dettes mais
seulement sur le politique qui prétendait la gérer .
Le peuple grec est manipulé comme d'autre et la démocratie occidentale dans son hypocrisie est en
cause .
Revenons à la France et demandons non pas des comptes mais juste de l'information à ceux qui la
manipule : combien a coûté à la France sa gesticulation en Libye ????
et pour quel résultat alors est-on en droit de dire que les Français sont des abrutis qui n'avait
qu'à se renseigner avant de faire la guerre en Libye sans jamais l'avoir voté!!!!!
En démocratie actuelle ou Monopoly pour riches celui qui est manipulé est Responsable et pas
coupable...
Le système privé mis à mal par les politiques ne peut plus prêter puisqu'on leur demande
pratiquement comme pour les emprunts russes de faire une croix sur leur argent si les grecs restent
en zone Euro.
Quant au peuple grec on l'a surendetté sans jamais lui demander de s'engager sur ses dettes mais
seulement sur le politique qui prétendait la gérer .
Le peuple grec est manipulé comme d'autre et la démocratie occidentale dans son hypocrisie est en
cause .
Revenons à la France et demandons non pas des comptes mais juste de l'information à ceux qui la
manipule : combien a coûté à la France sa gesticulation en Libye ????
et pour quel résultat alors est-on en droit de dire que les Français sont des abrutis qui n'avait
qu'à se renseigner avant de faire la guerre en Libye sans jamais l'avoir voté!!!!!
En démocratie actuelle ou Monopoly pour riches celui qui est manipulé est Responsable et pas
coupable...
Portefeuille Trading
+334.80 % vs +56.10 % pour le CAC 40
Performance depuis le 28 mai 2008