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ALERTE TAUX US
d'escompte de 0,5% à 0,75%, avec effet vendredi 19 février, expliquant cette décision par une
amélioration de la situation sur les marchés financiers.
C'est son premier mouvement sur les taux depuis décembre 2008 mais la banque centrale a souligné
que cela n'entraînerait pas une hausse du coût de l'emprunt pour les entreprises et les
ménages.
Le taux d'escompte est celui qu'elle fixe aux banques en cas de financements d'urgence. La Fed
n'a pas touché au taux des Fed funds qui reste dans un couloir de 0,0-0,25%.
Note Michel: cette nouvelle est très mauvaise pour les marchés, pris par surprise.
Ne jouez plus la hausse des indices, on va avoir de graves ennuis avec le CAC.
Michel
je me suis positionne sur BX4quand le CAC etait A 3725 POINT tuen pense quoi

Moi je n'ai plus d'action que du BX4
MICHEL avait dis que nous sommes dans un cycle baissier a court terme et les nouvelles ne sont pas
tres bonne ,certain analyste vois un plus bas du cac A 3200 Qu'en pensez vous?

C'est là que va le CAC:

On fait un tour??

T'auras une carte routière ce WE, Alexa......
pour toi le CAC VA descendre
moi j'ai toujour mes BX4 acheter a 3725 POINT DU CAC
pour toi ou peux desxendre le cac?LES ANALYSTE PARLE de3200
Je vous ai demandé hier sur un autre post si vous saviez pourquoi la Fed avait augmenté son taux
d'escompte de 25 pts jeudi soir, de façon inattendue. Et Bernanke a précisé que cette
augmentation n'aura aucun effet négatif sur les banques ou sur les marchés du crédit.
Le barbu avait même le culot de faire diffuser sur les médias l'idée qu'une telle hausse
prouvait indéniablement la bonne santé de l'économie US, et beaucoup de petits porteurs l'ont
gobé, surtout en Europe.
La réalité est bien plus triste:


Depuis deux mois la Chine et le Japon sont vendeurs nets de Bons du Trésor US, réduisant ainsi
légèrement les sommes prêtées aux US.
Le signal est clair: Le rendement face aux risques n'est pas suffisant, ce qui suppose l'imminence
de la hausse des Fed Funds, actuellement entre 0% et 0,25% . Et ceci concerne directement les
banques et leurs clientes.
Une telle remontée des taux n'est donc pas liée à un début de "surchauffe" économique, dans
un contexte déflationniste, mais bel et bien à un problème grave de placement de la dette
américaine.
Bernanke sera questionné devant le Congrès américain Mercredi, et ses réponses n'auront
d'incidence en Europe que le Jeudi, vu le décalage horaire.
Même si Bernanke est le roi du mensonge, il aura du mal à esquiver les questions.
Il y aura du rodéo.......
Michel Khoury
N'oubliez pas: Baisse des obligations = hausse des taux

Michel
Non, on l'appelle le BEN le BARBU, comme BEN la DEN
:-)
à la Réserve fédérale de maintenir ses taux d'intérêt à des niveaux très bas pendant une
période prolongée, a déclaré son président, Ben Bernanke.
Lors de son audition semestrielle par la commission des Services financiers de la Chambre des
représentants, il a dressé un tableau globalement sombre de l'état de l'économie américaine
en dépit de signes récents de rebond de la croissance.
"Nonobstant les signaux positifs, le marché du travail reste très faible", a-t-il dit dans son
allocution écrite prononcée devant la commission.
La Fed, a-t-il ajouté, "continue d'anticiper que la situation économique (...) devrait garantir
un niveau exceptionnellement bas du taux des fonds fédéraux pendant une période prolongée".
Gagné, Khoury, tu connais bien le barbu.

élevé aux USA
la reprise sera molle et le chomage élevé aux USA
L'allocution écrite et préparée depuis longtemps du Barbu, j'aurais pu la lui écrire,
gratis....
C'est un copier/coller de ce qu'il répète depuis un an et quelques....
J'espère qu'ils l'ont filmé sur YouTube, ça changera des émissions Capital, Dr House, ou Koh
Lanta.
Si les US doivent augmenter les taux pour écouler leurs bons du Trésor et autres obligations, ils
seront obligés de la faire. Les Chinois ne veulent plus financer le "American Way of Life" pour
des clopinettes, va falloir payer maintenant que le système financier mondial est sauvé...
Ne sous-estimez pas les jaunes, l'Afrique leur appartient déjà... Et les matières premières
rares, et l'or, et les usines du monde, et ........
Nin Hao
Michel
forcément besoin de porter son taux d'escompte 100 points de base au-dessus du taux cible des
fonds fédéraux pour normaliser sa politique monétaire, a déclaré mardi James Bullard, l'un de
ses principaux dirigeants.
"Nous allons essayer 50 points de base (d'écart entre le taux d'escompte et celui des fed
funds), nous verrons comment ça se passe", a expliqué le président de la Fed de Saint Louis à
des journalistes après un discours devant une fédération d'entreprises.
"Il n'est pas certain qu'il soit nécessaire d'atteindre 100 points de base pour que le taux
soit suffisamment pénalisant pour que les banques n'utilisent pas le guichet d'escompte pour des
prêts ordinaires", a-t-il ajouté.
=======================================================================================
Note Michel:
Le taux d'escompte "Discount Rate" de la Reserve Fédérale est passé à 0,75% jeudi 18/2. Ce
taux est appliqué aux banques qui empruntent pour 1 nuit (Overnight) à la Réserve Fédérale pour
"boucler" comptablement la journée, quand les autres banques ne peuvent pas se prêter
entre-elles, par manque de liquidités. Ce qui n'est pas du tout le cas aujoud'hui ! Les banques
regorgent de liquidités, puisqu'elles ne prêtent qu'aux riches, et qu'il n'y a plus que des
pauvres (Particuliers et sociétés).
Donc cette hausse du taux d'escompte n'a aucune incidence actuellement sur l'économie US.
Le taux des Federal Funds (fonds fédéraux) est le taux au jour-le-jour que les banques
s'appliquent entre-elles quand elles manquent de liquidités. Il est actuellement entre 0% et 0,25%
(moyenne sur janvier-février= 0,12%).
Donc, si l'écart entre les deux taux devait être de 50 points, le taux de Fonds Fédéraux
devrait passé à 0,25%.
Or, de source bancaire, ce taux passera à 0,50% en début du semestre prochain, et toutes les
banques le savent aujourd'hui.
Il y aura donc simultanément une nouvelle hausse du taux d'escompte de 0,25% dans quelques mois (3
mois probablement).
Vous êtes maintenant tous des initiés....
Et ne divulguez surtout pas vos sources, même sous la torture.... :-)
Michel Khoury
Pour la chrônique Agora, Bernanke, ils l'appellent "big Ben".

Un petit extrait fort intéressant :
Avec Bernanke, les subprime, quand il n'y en a plus, il y en a encore !
par Philippe Béchade
Jeudi 25 Février 2010
- Ah ah ah ! Nous lisons dans les pensées de "Big Ben" Bernanke... Souvenez-vous de la conclusion
de notre chronique de mercredi : "[les investisseurs] comptent toujours sur Mister Big Ben pour
leur ménager encore six mois de récréation sous azote et leur permettre de rêver à un bouquet
final -- avant que la psychologie du marché passe en mode dépression".
Le patron de la Fed a vu le moral des troupes décliner depuis un mois et les indices piquer du nez
à la moindre mauvaise nouvelle. Il s'est donc empressé de remettre les pendules à l'heure
(d'où ce surnom de "Big Ben", parce qu'avec lui, c'est toujours l'heure pour ses potes de
Wall Street d'aller chercher du cash gratuit auprès de la Fed !) en réaffirmant que les taux
resteront bas pour "une période de temps très étendue".
Pour bien illustrer son propos, il invoque des usines qui tournent au ralenti, une inflation
maîtrisée. Il mentionne aussi une reprise fragile qui n'est pas encore autonome ("notoirement
incapable de s'auto-entretenir", pour rester plus fidèle au texte original) et devra être
soutenue par des moyens monétaires appropriés et une politique monétaire non restrictive.
La récréation sous azote va donc pouvoir se poursuivre... même si une reprise graduelle des
liquidités peut se dérouler lorsque les conditions le permettront.
Mais inviter les passagers des premières à s'enivrer jusqu'à rouler sous les tables de jeu
n'empêchera pas le Titanic de sombrer !
- Je sais ce que vous pensez : il va nous ressortir la vieille tirade des pertes cachées qui sont
comme la déchirure dans la coque du navire provoquée par l'iceberg géant des créances
titrisées.
Que nenni ! Il ne s'agit pas de vous resservir tout à trac un plat de vieilles dettes faisandées
-- nous savons que l'épaisseur de moisissures augmente chaque jour et chaque semaine, pas la peine
de le ressortir tous les 25 du mois pour savoir que son aspect est de plus en plus repoussant...
Non, nous ne faisons que rendre compte du dernier communiqué de la FDIC, qui traite effectivement
-- à sa manière -- de cette douloureuse question.
La FDIC estime désormais que 702 banques sur les 8 000 qu'elle supervise (et assure en cas de
difficulté) sont susceptibles de faire faillite. C'est un chiffre 30% supérieur aux 552 banques
en difficulté identifiées fin septembre 2009... et 70% plus élevé que les 416 repérées fin
juin 2009. Il ne fait pas de doute, pour répondre aux questions de nombreux lecteurs transmises par
courriel, que la normalisation est en marche (c'est du second degré naturellement !).
Les actifs à problème sont désormais estimés à 402,8 milliards de dollars contre 346 milliards
au terme du troisième trimestre. Cela va obliger la FDIC à rechercher de nouveaux financements.
L'essentiel des pertes (660 milliards de dollars de dettes classées junk, soit 10 affaires Madoff)
devrait se matérialiser dans le secteur de l'immobilier commercial -- ce n'est pas un scoop !
Mais nous pensons que les prêts aux particuliers de type "Alt-A" (à mensualités révisables)
pourraient générer des pertes dépassant celles déjà constatées sur les subprime. Plus de 25%
des emprunteurs ont vu la valeur hypothécaire de leurs biens chuter sous le montant à rembourser
-- et 40% des dossiers sont déjà jugés suspects, à cause d'incidents ou de situation avérée
de défaut de paiement.
Vous connaissez par coeur ce piège des prêts "aménagés" qui aboutissent au gonflement des
intérêts au fil des mois -- de telle sorte qu'au bout de trois à cinq ans, le cumul "principal
+ intérêts courus" se révèle supérieur à l'enveloppe initiale.
L'encours de cette arnaque pyramidale atteint les 1 300 milliards de dollars, ce qui correspond à
une vingtaine de Madoff, selon une étude de Fitch Rating. Ladite arnaque reposait sur
l'anticipation d'une hausse perpétuelle des prix immobiliers permettant une revente avec
plus-value avant l'échéance du réajustement de taux.
Elle a piégé des dizaines de millions de ménages séduits par le mot d'ordre des années Bush :
"tous propriétaires" (d'un Himalaya de dettes ?)... Les banques et agences hypothécaires
américaines en détiennent l'équivalent de 900 milliards de dollars, soit 14 Madoff.
- Et il ne faut pas compter sur une "embellie miracle" du secteur immobilier, comme le démontre
la rechute de 11,2% des ventes de maisons neuves aux Etats-Unis en janvier. Le rythme des
transactions est le plus bas observé depuis 1983 et les stocks d'invendus augmentent de 0,4%.
Ils représentent 9,4 mois de délais d'écoulement pour les promoteurs pris à la gorge et
contraints de se refinancer auprès de banques de plus en plus frileuses... et qui constatent que le
prix de vente moyen a reculé de -2,4% en 2009.
Soutenu par les mauvais chiffres américains, l'euro s'est ressaisi un peu mercredi après-midi
(+0,5%). Il a cependant nettement reperdu du terrain en début de soirée, à 1,3545 $. Après la
Grèce en quête de refinancement (et en grève générale ce mercredi), les cambistes se demandent
plus que jamais : "et maintenant, à qui le tour ?". Notre favorite demeure d'ailleurs
l'Espagne.
Le pétrole a profité de rachats techniques pour rebondir de 1% à 79,5 $. Les stocks de pétrole
brut ont augmenté de 3,03 millions de barils la semaine dernière aux Etats-Unis, alors que les
stocks d'essence ont diminué de 895 000 barils.
- Wall Street a favorablement réagi aux propos de Big Ben ; les indices américains ont rapidement
affiché une hausse de 0,9% à 1,1%, ce qui effaçait intégralement les pertes de la veille. Le CAC
40, en revanche, est péniblement ressorti de la zone rouge après avoir fléchi jusque sur 3 683
points (-0,65%... soit -2% en 48 heures).
Au final, l'embellie atteint à grand-peine +0,23% à Paris, +0,2% à Francfort, +0,15% sur
l'Euro-Stoxx 50. La Bourse de Madrid, de son côté, chutait de 0,6%, entraînée par le secteur
bancaire espagnol, craignant de voir leur notation dégradée -- une mésaventure dont avaient été
victimes les quatre principales banques grecques la veille.
Et une nouvelle fois, nous constatons que les volumes d'échanges sur les actions se sont avérés
inférieurs de 15% d'une séance (négative) à l'autre (rebond technique), ce qui conforte notre
conviction de l'établissement d'un biais baissier sur les indices depuis la mi-janvier.
Je l'aime bien, mais un peu trop noir...
Parfois.
Mais il dit vrai.
Michel
(= baisse de la valeur de l'obligation, passée le 24/2 de 118,05 à aujourd'hui 117,14)

http://www.usdebtclock.org/
Je vous conseil de l'ajouter dans vos sites favoris, et d'imprimer la page une fois par mois, pour
faire un comparatif
Michel
(que certains qualifient comme "l'éternel pessimiste"

les mauvaise nouvelles arrivent je viens de lire sur le RV QUE LE PROCHAINE OBJECTIF DU CAC etais
3650POINT? QU'EN PENSE TU?
somme nous toujour dans un canal baissier a court terme et moyen terme?
MERCI DE TES CONSEIL
Est-ce une impression, le forum me paraît moins actif, vacances pour un grand nombre ?
ou portefeuilles évidés ?
On t'attendait............ voilà, c'est tout :-)
Mais maintenant que tu es là, enfin, on va se remettre au boulot.
Michel
Antarès, je parie que tu es une fille.... Je te dirai pourquoi, mais plus tard.
Ne t'avise pas de maintenir cette analyse, je me fache.
Ne t'avise pas de maintenir cette analyse, je me fache.
Ah,ah,ah, .....:-)
Bon, promis juré, plus aucune analyse dans ce sens....
Ma question était un piège, maintenant je suis au courant.
Sans rancune mec, et bonne bourre...
Michel
Valeur marché des obligations d'état US 10 ans (Treasury Notes 10 Years):
Evolution sur 20 ans:

Evolution sur 2 ans:

Et n'oubliez pas = Baisse de la valeur des obligations = Hausse du rendement/taux
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