(CercleFinance.com) - Mardi midi sur le Vieux Continent, le baril de Brent de mer du Nord livrable en mars 2017 se reprenait de 0,9% à 56,4 dollars, le WTI américain d'échéance février gagnant 0,6% à 52,9 dollars.
Cité par CMC Markets France, Khalid Al-Falih, le ministre saoudien de l'Energie, a déclaré, concernant une éventuelle prolongation de l'accord de l'Opep sur la baisse des extractions : 'nous ne pensons pas que ce soit nécessaire, compte tenu des niveaux atteints et des anticipations de la demande. (...) Le rééquilibrage (du marché pétrolier), qui a commencé lentement en 2016, aura son plein impact sur le premier semestre.”
A plus court terme, chez Commerzbank, les analystes spécialisés en matières premières rappellent que 'les opérateurs attendent que l'Opep concrétise les baisses de production annoncées, et en attendant évitent de prendre position à l'achat. Après tout, ils ont déjà accumulé des positions haussières avant que ces mesures ne soient mises en oeuvre'.
Et les analystes d'ajouter : 'bien que les positions nettes longues (haussières, ndlr) se soient dernièrement amoindries, elles se situent toujours, à cette heure, juste au-dessous du niveau record qu'elles avaient atteint mi-décembre'.
EG
Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
chiffres clés
Portefeuille Trading
+336.80 % vs +55.09 % pour le CAC 40
Performance depuis le 28 mai 2008